Le cabinet Jeantet dans le journal Les Echos

Catherine Saint Geniest, avocate associée en charge de la pratique de droit immobilier, et Karl Hepp de Sevelinges, avocat associé spécialisé en Fusions/Acquisitions, tous deux Co-Managing Partner sde Jeantet depuis janvier 2019, ont été interviewés par Delphine Iweins, journaliste pour le journal Les Echos.

L’interview avait pour objectif d’expliquer les nouveaux modes de management des cabinets d’avocat suite au changement de locaux.

Article complet à retrouver ici

Salon International de l’Agriculture 2020 Jeantet décrypte les enjeux de la filière agro-alimentaire

Paris, le 19 février 2019 – Alors que les relations fournisseurs-distributeurs font l’objet d’une actualité particulièrement riche (propositions de loi aménageant l’encadrement des promotions, condamnation de certains distributeurs pour non-respect de la date butoir du 1Er mars lors des négociations commerciales, rupture des relations commerciales…), que les «scandales» sanitaires et alimentaires continuent d’occuper la une de la presse, et que le rôle des autorités de contrôle, et notamment de la DGCCRF, apparait plus que jamais central notamment s’agissant de l’information du consommateur, les avocats du cabinet Jeantet décrypteront comme chaque année les enjeux juridiques de la filière agroalimentaire à l’occasion de tables rondes qu’ils animent tous les jours sur leur stand au salon de l’agriculture (Pavillon 4, allée C n°59).

Les « Rendez-vous Jeantet » sont animés par des avocats du cabinet, en présence de professionnels et de représentants de l’Administration et de professionnels du secteur de l’agroalimentaire.

Avec un chiffre d’affaire de 180 milliards d’euros, le secteur agricole est un pilier de l’économie en France et au niveau mondial. Dans la mesure où il œuvre depuis des années sur les questions agricoles et agroalimentaires, le cabinet Jeantet est présent pour la 8ème année consécutive au salon de l’agriculture.

« Le secteur agricole est un pilier de notre économie en France et au niveau mondial. Il est en profonde mutation et fait face aujourd’hui à de nouveaux défis dans un environnement juridique qui évolue constamment.

Le salon de l’agriculture est une occasion unique qui nous permet de pouvoir commenter tous les jours, en présence de professionnels et à l’occasion de tables rondes (« les rendez-vous Jeantet ») que nous animons, l’actualité juridique et les enjeux de la filière agroalimentaire. Ces rendez-vous, qui se déroulent sur notre stand dans une ambiance conviviale et informelle, sont devenus pour Jeantet, et notre équipe en particulier, un évènement incontournable auquel les professionnels sont d’ailleurs très attachés », commente Loraine Donnedieu de Vabres-Tranié.

Plusieurs rendez-vous sont d’ores et déjà fixés :

Retrouvez-le cabinet du 22 février au 1er mars 2020 : Porte de Versailles, Pavillon 4 destiné aux services et métiers de l’agriculture, Pavillon 4, Allée C n°59.

Inscription obligatoire à : jbombardier@jeantet.fr

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À propos de Jeantet

Jeantet est l’un des principaux cabinets d’avocats d’affaires français indépendants, délivrant des services personnalisés et à forte valeur ajoutée, avec un attachement à l’éthique et aux valeurs humaines.
Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux.

Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients.
Jeantet, présent à Paris et aussi à Budapest, Casablanca, Genève, Kiev et Moscou, compte plus de 120 avocats dont 24 associés.

Site : http://www.jeantet.fr

Contacts médias

Agence OZINFOS : Marie-Céline Terré / Manon Vautier. Tél : 07 72 21 46 48 – 01 42 85 47 30 – jeantet@ozinfos.com

Valérie Dreyfuss, DG du Laboratoire de la Mobilité inclusive invitée de France Culture

Ne ratez pas l’émission Matière à penser @franceculture diffusée le 12 février avec Valérie Dreyfuss, Déléguée générale du Laboratoire de la #Mobilitéinclusive à l’occasion des 6es Rencontres de la Mobilité inclusive qui se sont tenues le 5 février dernier.

Ecouter l’émission  

 

Le cabinet Jeantet dans Entreprise & Carrières

Laetitia Ternisien, avocate spécialisée en droit social au sein du cabinet Jeantet a été interviewée par un journaliste du magazine Entreprise & Carrières au sujet de la responsabilité des entreprises françaises vis-à-vis des expatriés mais aussi de leurs employés locaux suite à l’épidémie de Coronavirus touchant la Chine.

Article complet ci-dessous :

12022020 – Entreprise & Carrières – Coronavirus

 

Pharmabest fait le choix dès 2020 ne plus utiliser de sac plastique en caisse

 

#Engagement – #ZeroPlastique – #Environnement  

Alors que 37% des français disent éviter systématiquement ou régulièrement le plastique*, le groupement Pharmabest décide de s’engager pour lutter contre ce fléau et bannit les sacs plastique au 1er janvier 2020 pour les sacs papier. Un enjeu de taille lorsqu’on sait que les 88 officines donnent chaque année plus de 10 millions de sacs.

Après avoir décidé en 2019 de supprimer les notices pour les produits de sa marque propre Pharmascience, avec pour effet plus de 100 000 notices non imprimées, Pharmabest renonce au plastique en caisse.

Ce changement est le fruit d’une réflexion engagée depuis plusieurs mois et d’une volonté d’agir concrètement et à son échelle pour contenir l’empreinte carbone du Groupement.

La mise en place a entrainé une réorganisation de la gestion des stocks de sachets dans la mesure où le volume de stockage du papier est 20% supérieur à celui du plastique. Le groupement s’engage à proposer systématiquement une solution alternative au sac jetable lors de la remise des médicaments ou des produits. Des sacs réutilisables ont également été développés aux couleurs de l’enseigne pour inciter les clients à ne pas surconsommer de sacs.

« Certains de nos clients nous le demandaient, venant avec leur propre cabas et puis voir notre marque sur les plages de Marseille n’était pas concevable » souligne David Abenhaim, Président du groupement et co-tituaire de la pharmacie Prado Mermoz à Marseille.

Nous sommes à votre disposition pour tous renseignements complémentaires ou pour organiser un reportage sur cette initiative dans nos officines Pharmabest.

*Selon l’étude Global Consumer Insights menée par PwC depuis 8 ans évaluant le comportement, les habitudes et les attentes de plus de 21 000 consommateurs dans 27 pays

 

A propos de PHARMABEST

Pharmabest s’est hissé en trois ans parmi les tout premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe en janvier 2020, 88 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse, à la Martinique et en Guadeloupe. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 780 millions d’euros en 2019. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’ordre accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 16 millions d’ordonnances. Pharmabest, c’est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 700 000 abonnés et 70 marques – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement 100% naturelle autour d’une gamme de compléments alimentaires et d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de pré-dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site internet national www.pharmabest.com–novembre 2019, lancement du Click & Collect.
Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur internet, dans une application et avec un magazine mensuel distribué à 500 000 exemplaires. Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur Général, Alain Styl.

 

Agence Ozinfos

Manon Vautier – 07 72 21 56 48 / 01 42 85 47 30 – pharmabest@ozinfos.com

33 préconisations à retenir de l’étude sur les jeunes au sein des territoires ruraux

#RMI #Mobilité #Jeunes #Territoires

 

 

Paris, le 10 février 2020 – À l’occasion des 6es Rencontres de la Mobilité inclusive qui se sont déroulées le mercredi 5 février 2020, à la Cité internationale universitaire de Paris, le Laboratoire de la Mobilité inclusive, accompagné par des deux auteurs, a présenté les résultats de l’étude menée sur le sujet des jeunes au sein des territoires ruraux.

Fruit de mois de travail du sociologue, Alain Mergier, et du docteur en Sciences de l’Education, Gérard Hernja, le Laboratoire de la Mobilité inclusive a mis en avant les résultats de l’étude et propose 33 préconisations pour rendre la mobilité des jeunes en territoires ruraux plus inclusive :

Les axes de préconisation proposés intègrent l’idée première que la mobilité et les territoires doivent être envisagés comme des ressources et des lieux favorisant l’inclusion.

Axe de préconisation 1 – Rétablir la confiance dans le territoire

1. Penser le territoire rural, son animation et son développement en mobilisant ses habitants, dont les plus jeunes, autour de projets locaux précis, choisis et pilotés par eux-mêmes.
2. Sortir de la verticalité, de l’effet d’annonce, de l’idée que l’on apporte la solution toute faite sur place
3. Adapter les outils existants aux territoires et ne pas les imposer.
4. Créer des gammes d’outils privilégiant l’autodiagnostic plutôt que le diagnostic ou l’audit, l’autoévaluation à la seule évaluation.
5. Faire émerger des personnes relais dans les territoires capables d’impulser des mouvements et de servir d’interlocuteurs et d’intermédiaires entre les habitants et les pouvoirs publics.
6. S’appuyer sur le tissu associatif, sans court-circuiter le politique mais avec l’idée de le compléter.
7. Tenir compte de la défiance de la population rurale envers les experts, les élites, les médias et les politiques, accepter d’être remis en question par des personnes qui n’attendent parfois plus rien.
Axe de préconisation 2 – Avoir le souci des parents dans la ruralité

1. Penser la ruralité par rapport aux besoins des parents et à la volonté de donner à leurs enfants les mêmes chances qu’ailleurs.
2. Mettre en place une aide spécifique aux parents, par rapport aux déplacements contraints pour donner à leurs enfants l’accès au sport, à la culture, aux loisirs.
Axe de préconisation 3 – Penser l’orientation et l’accès aux métiers utiles de la ruralité 

1. Donner à l’orientation une place spécifique dans le cadre de la ruralité, tenant compte du désir d’y rester et de l’indécision potentielle quant à l’avenir.

2. Explorer avec les jeunes citadins, les pistes d’orientation vers la ruralité, dans l’ensemble des métiers.

3. Anticiper la revitalisation des territoires ruraux à travers l’exploration des métiers en tension mais aussi des métiers en devenir.

Axe de préconisation 4 – Repenser le rôle spécifique de l’automobile dans la ruralité 

1. Réfléchir le rapport à l’automobile en tenant compte des spécificités du territoire rural, des représentations et des besoins de ses habitants.

2. Prévoir des solutions de remplacement tenant compte des attentes et des besoins réels dan sles territoires.
3. Accompagner les changements de pratiques de déplacement sans les imposer.
4. Réfléchir à la direction des aides en faveur du permis de conduire et inverser le processus, passer de « financer un permis pour un emploi » à « un emploi pour financer un permis », avec l’engagement de véhiculer le jeune à son travail en attendant qu’il ait son permis de conduire.

5. Relier la dimension écologique des déplacements au terrain et aux effets visibles sur les environnements immédiats.
Axe de préconisation 5 – Valoriser les parcours professionnels dans la ruralité

1. Rapprocher les lieux de formation professionnels des besoins de la ruralité

2. Valoriser les avantages de la vie professionnelle dans la ruralité

3. Communiquer sur les besoins de la ruralité en termes d’emplois et decompétences.
Axe de préconisation 6 – Faciliter la vie des jeunes dans les villages et soutenir leurs projets 

1. Développer des activités dédiées aux jeunes et proposer des lieux de rassemblement et de projets
2. Faire participer les jeunes aux projets des communes

3. Mettre en place un crédit covoiturage pour les jeunes ruraux, sous leur responsabilité propre
4. Mettre en place une plateforme d’échange entre jeunes du village et des villages alentours pour favoriser le covoiturage intergénérationnel.
Axe de préconisation 7 – Valoriser les territoires à partir d’une mobilité inversée

1. Mettre en place une mobilité inversée. Faire venir des citadins à la campagne, leur montrer la vie dans la ruralité, changer leurs représentations et peut-être construire leur appétence future pour la ruralité.
2. Valoriser les territoires, à partir de leurs atouts, en relation avec les problématiques environnementales dans les campagnes de communication et les programmes scolaires.
Axe de préconisation 8 – Éducation et accompagnement à la mobilité

1. Réfléchir à une définition de la mobilité incluant les changements psychogénétiques mais aussi anticipant les éléments de rupture.
2. Construire une approche de la mobilité s’intégrant dans un continuum éducatif de mobilité écoresponsable, tenant compte de la diversité des territoires
3. Relier le continuum éducatif de mobilité responsable à l’orientation, aux choix des métiers, plus particulièrement dans les territoires
4. Construire une approche de la mobilité prenant en compte les changements liés aux évolutions climatiques observées sur le terrain
5. Proposer un modèle d’éducation reposant sur les principes d’éducabilité et sur une approche socioconstructiviste de l’apprentissage.
6. Proposer un modèle d’analyse de la mobilité adapté aux objectifs d’apprentissage et d’éducation.
7. Former des professionnels de l’accompagnement pédagogique vers la mobilité, notamment en lien avec l’Éducation Nationale.
Méthodologie de l’étude :

Nous avons croisé les regards de deux chercheurs, à partir de leurs expériences dans le champ des Sciences de l’Éducation et de la Sociologie. L’un des chercheurs habite et vit à Thuillières depuis quinze années, et n’a jamais vécu que dans la ruralité.
Nous avons abordé la question de la mobilité en la reliant avec le concept d’autonomie, un concept fécond dans l’ensemble des Sciences Humaines. Nous l’avons également définie en relations avec les potentialités d’action et de déplacement des jeunes, dans un sens s’approchant du concept de motilité développé par Vincent Kaufmann.

Nous avons observé, suivi et mené des entretiens avec les jeunes du village, répartis a priori en fonction de leurs âges, pour comprendre le déroulement de leur vie ordinaire dans le village. Nous avons menés des entretiens semi-directifs avec l’ensemble des parents, avec les personnes en couple dans le village et en âge d’avoir des enfants.

Nous avons effectué un traitement qualitatif des donnés. Les éléments de compréhension tirés du traitement des données ont vocation à être réintroduit sur le terrain lui-même pour donner des réponses opérationnelles à la problématique de la mobilité des jeunes dans la ruralité.

Biographie des auteurs :

Gérard Hernja, docteur en sciences de l’Education, est coordinateur de formation et de recherche pédagogique à l’École de Conduite Française. Il a été chercheur associé au Laboratoire Interrégional des Sciences de l’Éducation et de la Communication (LISEC Lorraine) entre 2005 et 2014. À ce titre, il a pu mener des travaux de recherche sur les problématiques du risque routier, de l’Éducation à la sécurité routière et du permis de conduire. Il a également travaillé sur l’apprentissage de la conduite dans les écoles de conduite sociales et associatives, avec un focus particulier sur la prise en compte des publics dits en difficulté. En tant que consultant, il a accompagné et piloté l’évaluation du dispositif permis de conduire de la plateforme mobilité du grand Nancy. Il intervient aujourd’hui lors de la formation des Conseillers Mobilité Insertion. Il accompagne le Laboratoire de la Mobilité Inclusive sur les problématiques d’apprentissage et d’Éducation à la mobilité.

Alain Mergier, sociologue consultant, il a enseigné la sémiologie aux universités de la Tadeo-Lozano et Javeriana à Bogota (Colombie). Il est aujourd’hui expert associé à la Fondation Jean-Jaurès. Il intervient auprès d’institutions, d’associations, d’entreprises sur les grandes problématiques des sociétés contemporaines : rupture sociale des milieux populaires, perception des risques, solitude, incivilité, mobilité en milieu rural, santé en milieu désindustrialisé, culture numérique des jeunes…

Il fut chargé durant trois ans des études qualitatives de
l’Observatoire de la Confiance chez les jeunes de La Poste. Il réalise
des études qualitatives sur les problématiques de mobilité pour SNCF et RATP depuis plus de vingt- cinq ans.

A propos du Laboratoire de la Mobilité Inclusive

CONSTRUIRE UNE MOBILITÉ ACCESSIBLE À TOUS

La mobilité est un facteur clé d’insertion sociale et de développement économique. En France, 20% des personnes en âge de travailler rencontrent des difficultés de mobilité. Depuis sa création en 2013, le LMI soutient le développement d’une mobilité pour tous. Le Laboratoire se positionne comme un centre de ressources et d’expertises et comme un partenaire institutionnel, acteur incontournable du débat public. Il s’est donné pour mission de produire des données et des analyses permettant de mieux comprendre les obstacles à la mobilité ainsi que d’expérimenter et de proposer des solutions innovantes de l’apprentissage du déplacement, à sa réalisation.

Le Laboratoire se compose de 19 membres issus des sphères publiques et privées de la société, tous réunis autour de la volonté d’agir en faveur de la mobilité des publics les plus vulnérables : Ademe, AG2R La Mondiale, Apreva, Croix-Rouge française, École d’urbanisme de Paris, FACE (Fondation Agir Contre l’Exclusion), FASTT (Fonds d’Action Sociale pour le Travail Temporaire), Keolis, fondation MACIF, fondation Michelin, Mob’in, Fondation PSA, Groupe La Poste, Pôle Emploi, Secours Catholique, SNCF, Total, Transdev. www.mobiliteinclusive.com

Contact presse :

Agence Ozinfos

Marie-Céline Terré – Sothany Tum 06 09 47 47 45 / 01 42 85 47 30 –

mobiliteinclusive@ozinfos.com

8ème édition du Printemps de l’Economie du 24 au 27 mars 2020 à Paris

« Guerres et Paix »

Quels combats pour un monde plus solidaire ?

Paris, le 6 février 2020 – Les conflits, qu’ils soient économiques, monétaires ou encore sociaux rythment aujourd’hui le quotidien de nos sociétés. Guerre technologique, cybersécurité, guerre territoriale, guerres des données ou de souveraineté, guerre commerciale ou des monnaies, guerre climatique, guerre et développement, guerre fiscale, guerre des sexes, guerre des générations, guerre contre la pauvreté les inégalités, économie de la paix, guerre sociale, guerre des classes, guerre aux idées reçues …. sont autant de facettes d’une même problématique, dans un contexte où se redistribuent les cartes entre grandes puissances mondiales. Vers un grand basculement du monde ?

Du 24 au 27 mars 2020, la 8ème édition du Printemps de l’économie se propose d’examiner les enjeux économiques de ces différentes facettes à travers un thème générique : “Guerres et paix : quels combats pour un monde plus solidaire ? ”. Plus de 30 événements sur des formats variés (table ronde, master class, battle, interviews ou débats, etc.), avec plus de 110 intervenants (économistes, sociologues, politistes, historiens, chefs d’entreprise, syndicalistes, politiques, journalistes, etc.) dans plusieurs lieux emblématiques de Paris (Conservatoire national des Arts et Métiers, Mairie du 3e, Lycée Turgot, Université Paris-Dauphine).  L’ensemble de ces événements sera enrichi en ouverture du Printemps de l’éco, le 24 mars 2020, par une matinée spéciale de présentation des résultats d’une étude inédite réalisée par OpinionWay, ainsi que par un magazine dédié au thème de l’édition présentant quelques grandes signatures.

Le Printemps de l’économie, un événement qui fait place à la jeunesse et à l’expertise

Un conseil étudiant à côté du conseil scientifique

Même s’il s’adresse au grand public, citoyens curieux désireux d’en savoir plus sur les enjeux économiques de notre temps, le Printemps de l’économie est le seul événement dont la part des jeunes (lycéens, étudiants, jeunes actifs…), représente plus de 50% des participants. La clé ? Un Conseil étudiant constitué d’étudiants en économie des grandes écoles et universités de la capitale (Sciences Po, Paris Dauphine, Sorbonne, Faculté Catholique, INSEEC, SKEMA, etc.). Comme un « shadow cabinet », le conseil donne son avis sur le programme et les angles des conférences. De plus, ses membres contribuent à la production de contenus sur les conférences, pour les rendre accessibles à un large public (fiches pédagogiques, interview d’intervenants en amont ou en aval des événements, vidéos thématiques, interventions sur les réseaux sociaux…). Enfin, ils participent à l’animation des tables-rondes, par un pitch qui plante le décor et présente les intervenants.

Le conseil scientifique

A côté du Conseil étudiant, le Conseil scientifique élabore chaque année, le programme du Printemps de l’économie. Il est composé d’experts connus et reconnus :  Patrick Artus (Chef économiste, Natixis), Philippe Askenazy (Professeur à l’ENS/Cepremap), Isabelle Barth (Professeure à INSEEC U), Agnès Bénassy-Quéré (Professeure à l’université Paris 1, ancienne Présidente déléguée de CAE), Pierre-Pascal Boulanger (Président-fondateur du Printemps de l’Economie, Professeur de SES), Christian Chavagneux (Rédacteur en chef d’Alternatives économiques), Alexis Collomb (Directeur du Département « Organisation du département Économie, finance, assurance, banque » au CNAM), Jezabel Couppey-Soubeyran (Professeure à Paris I Panthéon-Sorbonne, CEPII), Gilles de Margerie (Commissaire général de France Stratégie) représenté par Vincent Aussilloux (Directeur de département, France Stratégie), Pierre-Henri de Menthon (Directeur délégué de Challenges), Anne-Célia Disdier (professeure associée à PSE, Directrice de recherche INRA), Michel Fouquin (Directeur adjoint du CEPII), Pierre-Noël Giraud (CERNA, Mines ParisTech), Nancy L. Green (Directrice d’études EHESS), Pierre-Cyrille Hautcoeur (Directeur d’études et ancien Président de l’EHESS), Rémi Jeannin (Vice-Président du Printemps de l’économie, Professeur de SES en CPGE), Isabelle Laudier (Responsable scientifique de l’Institut CDC pour la Recherche, Groupe Caisse des Dépôts), Philippe Martin ( Président délégué du Conseil d’Analyse Économique), représenté par Hélène Paris (Secrétaire générale du CAE), El Mouhoub Mouhoud (Professeur à Paris-Dauphine, vice-président de l’université Paris-Dauphine), Olivier Passet (Economiste, Xerfi), Olivier Pastré (Professeur des Université, UniversitéParis VIII), Gilles Pécout (Recteur de la région académique Île-de-France, de l’académie de Paris, Chancelier des universités), représenté par Sébastien Asseraf-Godrie (IA-IPR de SES de l’académie de Paris), Dominique Plihon (Professeur à l’Université Paris XIII), Jean-Luc Tavernier (Directeur de l’INSEE), représenté par Jean-William Angel, Xavier Timbeau (Directeur général de l’OFCE)

Le Printemps de l’économie, les inscriptions ouvrent bientôt

Les inscriptions individuelles seront ouvertes le 24 février sur www.printempsdeleco.fr

A propos des Economiques et du Printemps de l’économie

Créé en 2013, par Pierre-Pascal Boulanger, Professeur d’économie au Lycée Turgot, le Printemps de l’Economie a pour ambition, autour d’une semaine de débats animés par des économistes académiques, des représentants d’institution et de l’entreprise ou issus de l’entreprise, de proposer au grand public et particulièrement aux jeunes (étudiants, jeunes actifs) de réfléchir chaque année à un thème d’actualité d’un point de vue économique.

L’ambition d’ouvrir la sphère éducative sur l’économie et d’œuvrer à la citoyenneté par une meilleure compréhension du monde permet à cet événement d’être soutenu par de nombreux partenaires institutionnels, scientifiques, politiques (Académie de Paris, CAE, Caisse des Dépôts et Consignation, INSEEC U., EHESS, Université Paris-Dauphine, Crédit Agricole, Centre d’Economie de la Sorbonne, LEDa, CEPII, Cnam, France Stratégie, IGPDE, Insee, Ecole d’économie de Paris, La finance pour tous, Les Economiques de Turgot, Lycée Turgot, Mairie du 3e, Natixis, OFCE Sciences Po, Xerfi, APSES, Les Economistes Atterrés, ADE Sciences Po, Dauphine Discussion Débat).

Le Printemps de l’Economie est un événement organisé par l’association les Economiques, créée en 2010 et présidée par son fondateur Pierre-Pascal Boulanger, rejoint en 2015 par Rémi Jeannin, Professeur en classes préparatoires au Lycée Hector Berlioz à Vincennes. Il dispose d’un Conseil Scientifique rassemblant économistes, représentants des médias et des entreprises et aussi d’un Conseil Etudiant (une vingtaine d’étudiants issus d’établissements du supérieur : universités, écoles d’économie, écoles d’ingénieurs et écoles de commerce) qui veille à maintenir l’accessibilité et l’attractivité du programme proposé.

En 8 éditions cet événement a accueilli autour de plus de 200 conférences et 300 intervenants différents, plus de 37000 visiteurs. Il dispose d’un site internet www.printempsdeleco.com, d’un compte Facebook, Linkedin, Twitter @printempsdeleco #Printempsdeleco.

 

Contact presse :

Agence OZINFOS

Amine MOUSSAOUI et Marie-Céline TERRE

Tél : 01 42 85 47 32 – printempsdeleco@ozinfos.com