Greenwashing ? Compensation carbone : TotalEnergies, Nespresso et Air France, trois multinationales passées au crible

Nombre d’entreprises emploient la compensation carbone comme «alibi pour ne pas agir», pointe l’ONG CCFD-Terre solidaire dans un rapport publié début octobre. Dans le viseur, TotalEnergies, Nespresso et Air France. Qui se défendent de tout greenwashing.

A lire ICI

Absence de rénovation des collèges et lycées, « cela se paie cash » (Rémy Jacquier, Oxand)

RÉGIONALES – Spécialiste de la gestion prédictive des bâtiments et des infrastructures, le président d’Oxand interpelle les candidats aux élections départementales et régionales des 20 et 27 juin prochain sur l’état des collèges et des lycées français. « Ce sont plusieurs dizaines de milliards d’euros qu’il faudrait réinjecter pour les bâtiments scolaires », estime Rémy Jacquier

La crise complique les entretiens annuels

 

Entre activité partielle et surinvestissement, l’évaluation des salariés par leurs managers s’annonce complexe.

Ce n’est pas une figure imposée, mais dans la majorité des entreprises le mois de janvier rime généralement avec entretien annuel d’évaluation. Ce rendez-vous destiné à faire le point sur le travail accompli au coins des douze derniers mois est abordé avec plus ou moins d’appréhension, tant par les salariés que par les managers. Et cette année, dans un contexte de crise sanitaire inédit, l’exercice s’an nonce particulièrement périlleux.

Sur la forme d’abord. Gestes barrières obligent, de nombreux entretiens vont se dérouler par écrans interposés, une contrainte qu’il faut savoir maîtriser même si la visioconférence devient actuellement une sorte de routine. Le ministère du Travail, conscient de cette difficulté supplémentaire, a d’ailleurs publié début décembre une ordonnance pour autoriser le report jusqu’au 30 juin 2021 des entretiens professionnels, qui eux sont obligatoires tous les deux ans.

Mais c’est surtout sur le fond que les tête-à-tête entre salariés et managers s’annoncent plus complexes. Comment valoriser et évaluer les compétences lorsque le télétravail, le chômage partiel et le travail en présentiel ont tour à tour rythmé les neuf derniers mois. « Une chose est certaine les managers doivent s’attendre à une charge émotionnelle très forte, parfois mêlée de frustration et de colère, qu’il faut savoir accueillir », prévient Christophe Nguyen, président du cabinet Empreinte humaine « Cet entretien est d’abord un acte de management qui doit prendre en compte la réalité vécue par le collaborateur », précise Benoît Serre, vice-président de l’Association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH).

 

Accompagner plutôt que sanctionner

 

Solitude pesante, travail dans un logement exigu… pour le manager, l’équilibre à trouver entre les exigences du poste et la bienveillance risque d’être subtil. « Écouter, chercher à comprendre pourquoi le salarié peut perdre pied est important, et cette démarche sera appréciée. Toutefois il ne faut pas tirer un trait sur ce qui est attendu des personnes », indique Christophe Nguyen.

Pour éviter un entretien anxiogène, qui vire à l’affrontement, les spécialistes sont unanimes: il ne doit pas recéler de surprises au moment où les objectifs chiffrés sont abordés. Une attention parti culière doit être portée à la situation des commerciaux, empêchés d’exercer une partie de leur mission et dont la rémunération variable représente parfois jusqu’à 30 % de leur salaire. S’ajoute qu’en cas de placement en activité partielle, leur indemnité est cal culée uniquement sur la part fixe de leurs revenus. « Lorsqu’un salarié donnait satisfaction quand il exerçait son travail dans des conditions normales mais qu’il est devenu non performant, il serait bon d’aller vers de l’accompagnement plutôt que vers de la sanction », recommande Christophe Nguyen.

« Les managers doivent s’attendre
à une charge émotionnelle très forte, parfois mêlée de frustration et de colère, qu’il faut savoir accueillir »

Certaines entreprises ont d’ailleurs adopté une démarche magnanime. « Certains employeurs ont donné des consignes pour que le critère de productivité, qui n’est pas comparable avec la situation actuelle, ne soit pas évalué », souligne Benoît Serre. Reste les salariés qui ont fait des efforts d’adaptation, sont devenus plus autonomes, voire se sont révélés dans la crise. La difficulté est alors pour les employeurs de prendre en compte leurs attentes en termes de re connaissance… et ceci, même si l’entreprise a subi la crise, que son activité est en perte de vitesse et qu’elle n’a pas prévu de verser de primes. « Certains manager ont peut-être du mal, mais ils peuvent déjà commencer par dire merci, ça ne coûte rien » remarque Christian Mainguy directeur des relations stratégiques EMEA & Québec.

À défaut de gratification financière, ceux qui ont fait preuve d’engagement pourront aussi se voir proposer des formations, être consultés d’avantage dans les décisions, ou être associés à de nouveaux projets ou missions valorisantes. « Les gens se sont éloignés de l’entreprise, et l’enjeu consiste aussi à pouvoir raccrocher les wagons »,  assure Christophe Nguyen.

 

Source : Corinne Caillaud pour Le Figaro

OZINFOS présente « (Re) boost » l’offre RP qui permet aux TPE/PME d’accélérer leur développement

Paris, le 24 aout 2020 – Alors que les entreprises ont un cruel besoin de relancer leur activité, OZINFOS, agence de communication d’influence, en partenariat avec l’institut de sondage Odoxa, présente « (Re) boost ». Une action coup de poing dédiée principalement aux acteurs du conseil et aux TPE / PME qui souhaitent s’adresser différemment à leur marché tout en valorisant leur expertise.

« (Re) boost » propose un mix gagnant : « Relations presse et Sondage » pour assurer un maximum de visibilité sur un mois, dans les médias et sur les réseaux sociaux. Cette offre de relance qui peut convenir également au secteur du « Non-profit », associations, Think tanks ou encore fédérations, s’accompagne d’une part de rémunération variable en fonction des résultats.

« Alors que les entreprises ont un besoin urgent de renouer avec la croissance de leur activité, que la crise de la Covid-19 a rebattu les cartes d’un certain nombre de modèles économiques, nous sommes convaincus que nous pouvons soutenir la relance d’acteurs économiques, par une campagne RP et social média maligne, efficace et ancrée sur du contenu informatif. En nouant ce partenariat avec l’institut de sondage Odoxa, nous assurons aux entreprises de disposer de contenus différenciant, intelligents et objectifs pouvant nourrir leurs prises de parole », déclare Marie-Céline Terré, directrice et fondatrice d’OZINFOS.

« A l’heure où tout le monde parle au nom des Français, des consommateurs, des entreprises… le sondage permet de faire un état des lieux sérieux et représentatif des opinions et des comportements. Les médias sont à la recherche de cette matière solide et objective ainsi que d’experts pour la commenter. Aux côtés d’OZINFOS, Odoxa mettra sa connaissance du monde des sondages et des médias au service des PME et des TPE » ajoute Céline Bracq, directrice générale et co-fondatrice d’Odoxa

Une offre RP simple et accessible qui accélère le « time to market »

« (Re) boost » propose la médiatisation 360° des résultats d’un sondage exclusif réalisé en partenariat avec Odoxa sur un thème relevant de l’actualité du secteur de l’entreprise. Objectifs : être visible dans les médias autour de son expertise pour développer des leads et soutenir les actions de développement de l’entreprise. L’agence qui coordonne la mission, assure la phase de conseil sur les thématiques, le brief des équipes Odoxa et produit les contenus qui seront médiatisés. « (Re) boost » est conçue pour être simple et facile à mettre en œuvre en proposant un interlocuteur unique pour gérer l’ensemble du processus. Le porte-parole n’étant véritablement mobilisé que dans la phase médiatique de l’offre.

Un kit média complet clés en main

La réalisation du sondage d’opinion de cinq questions auprès d’un panel représentatif de français, s’accompagne d’un kit média clés en main composé :

  • d’un ciblage précis de journalistes destinataires
  • d’une visioconférence de presse de présentation des résultats
  • d’un communiqué de presse détaillant les résultats associés à un commentaire de l‘entreprise

OZINFOS pour mémoire

Créée en 2001 par Marie-Céline Terré, OZINFOS s’intéresse en priorité aux enjeux éco-sociaux-sociétaux des entreprises, institutions ou du collectivités publiques pour développer leur visibilité et leur réputation en donnant la priorité absolue aux contenus et messages déployés dans des programmes de relations média et d’influence 360°. L’agence propose également des actions de préparation à la prise de parole (médiacoaching) et dispose d’un savoir-faire très expert en matière de communication dans un environnement complexe (fusion, croissance externe, restructuration, réorganisation).

OZINFOS est une agence engagée : membre associé de l’AJEF (association des journalistes économiques et financiers) et de l’AJIS (association des journalistes d’information sociale), elle contriue activement à l’organisation professionnelle IP&C (information presse et communication) et au Club Mac Luhan.

Parmi ses clients OZINFOS compte notamment des acteurs de la mobilité : (le Laboratoire de la Mobilité Inclusive, Saemes) et des acteurs associatifs (Association PuissanceDYS, CCFD Terre Solidaire, la Fondation Apprentis d’Auteuil, Le Printemps de l’Économie, Voxfémina), des acteurs du conseil (Jeantet avocats, GAE Conseil, Empreinte Humaine, Fédération des intervenants en RPS…) ou encore des acteurs du retail (Pharmabest, SOLOGroup).

En savoir plus www.ozinfos.com / Twitter : @ozinfos

ODOXA pour mémoire

Entreprise française indépendante créé en 2014, Odoxa, travaille sur tous les champs ayant trait à l’Opinion, de la politique à l’économie en passant par les questions sociétales, de sport ou de santé publique. L’institut d’études publie chaque semaine 4 sondages en moyenne.

Odoxa dispose de nombreux rendez-vous réguliers publiés dans les principaux médias français.

En savoir plus www.odoxa.fr / Twitter : @OdoxaSondages

 

Contacts média

Sothany TUM – 06 27 26 49 65 – sothany@ozinfos.com

Amine MOUSSAOUI – 06 27 26 49 64 – amine@ozinfos.com

La santé psychologique des salariés français est largement atteinte après plusieurs semaines de confinement

Communiqué de presse

 

SANTE PSYCHOLOGIQUE DES SALARIES ET CONFINEMENT

 

44% des salariés sont en situation de détresse psychologique

¼ présente un risque de dépression nécessitant un traitement,

¼ d’entre eux déclarent que leur motivation professionnelle s’est dégradée

79% des salariés plébiscitent le soutien de leurs collègues et 70% celui de leur N+1

Paris le 20 avril 2020 – À l’heure où l’on parle de remobilisation du tissu économique et alors que de nombreuses études établissent un lien clair entre confinement, crise sanitaire et santé mentale, Empreinte Humaine (spécialiste en prévention des risques psychosociaux et en qualité de vie au travail) a souhaité placer la situation des salariés en période de confinement au cœur du débat. Afin d’alerter l’opinion et de sensibiliser les entreprises à la sortie de crise, le cabinet dévoile les résultats de la 1ère vague d’un baromètre exclusif Opinion Way pour Empreinte Humaine relatif à la santé psychologique des salariés. Quelles sont leurs conditions de confinement ? Que pensent-ils des mesures mises en place par leur entreprise ? Se sentent-ils soutenus ? Quel est l’état de leur bien-être ou de leur détresse psychologique ? Que peuvent faire les entreprises pour accompagner efficacement leurs salariés ? Font- elles ce qu’il faut pour protéger la santé psychologique de leurs salariés ? Autant d’indicateurs que le baromètre permettra de surveiller en plusieurs vagues (toutes les semaines) jusqu’au déconfinement. Le constat est sans appel. Après quelques semaines de confinement et de télétravail, le bien-être psychologique des salariés s’est largement dégradé en perdant 10 point par rapport à 2016 (Enquête Eurofound 2016), 44% des salariés sont en situation de détresse psychologique  et ¼ présente un risque de dépression nécessitant un accompagnement. Revue de détail et analyse.

« Via nos lignes d’écoute psychologique et webinaires, nos équipes ont constaté une augmentation de la détresse psychologique que nous avons voulu évaluer avec cette étude. Ces résultats sont très préoccupants et montrent l’urgence d’agir. Nous en appelons à une véritable prise de conscience des pouvoirs publics et des entreprises. La crise sanitaire a pris de court toute la société, les entreprises y compris. Mais elle n’exonère pas de notre responsabilité en tant qu’employeur en matière de protection de la santé de leurs salariés. Après les gestes barrières, il convient de mettre en place des actions pour la sécurité psychologique » déclarent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

Les salariés français très atteints par le confinement

44% des salariés présentent de la détresse psychologique (27% modérée etantichambre de la détresse élevée. Il faut absolument surveiller l’évolution de ces taux » commente Jean- Pierre BRUN.

Charge mentale alourdie et cumul des rôles obligent, les femmes sont plus impactées par le confinement puisqu’elles sont 22% à être en détresse élevée contre 14% pour les hommes.

Enfin les managers sont particulièrement exposés, puisque 20% d’entre eux vivent une détresse psychologique élevée. « Les managers sont un pivot central dans l’entreprise. Il faut prendre soin d’eux mais surtout leur donner les outils pour prendre soin de leurs collaborateurs » poursuit Christophe NGUYEN.

Les conditions de travail ont un impact majeur sur la santé psychologique des salariés

Seulement 45% d’entre eux peuvent s’isoler toute la journée pour travailler. 60% travaillent dans leur salon, 1/4 des salariés évoquent travailler plutôt dans une pièce fermée mais initialement n’étant pas dédiée à y travailler (chambre, salle de jeux, etc.). Etre confiné dans un logement de moins de 40 m2 est un facteur de risque important puisque 24,6% de ces personnes sont dans une détresse psychologique élevée. « Le télétravail n’est pas en soi un facteur de risque, ce sont les conditions dans lesquelles il s’effectue qui présentent des facteurs aggravants pour les salariés » précise Jean-Pierre BRUN.

Enfin, contrairement à une idée reçue, les personnes confinées en couple (20%) ou avec un enfant (22%) vivent une détresse élevée plus importante que les autres (rappel : 18%). La question de l’équilibre des vies en situation de confinement est devenu un facteur de risque.

Le chômage partiel ou total des actifs : un facteur anxiogène

Le chômage apparait bien entendu comme un facteur de risque puisque 1/5 des répondants au chômage technique partiel présentent une détresse psychologique élevée. Cette proportion monte à ¼ pour les salariés au chômage technique total.

La performance ressentie et la motivation des salariés régressent

Une vigilance s’impose sur le suivi de la motivation professionnelle qui s’est détériorée pour 1/4 des salariés (26%) depuis le début du confinement. Cette détérioration est de plus grande ampleur chez les femmes (30%), les salariés d’IDF (31%), et pour les salariés confinés avec un ou plusieurs autres proches (32%). Enfin, les personnes présentant une détresse élevée considèrent que leur performance s’est dégradée de 50%. « La santé psychologique, mais aussi la performance déclarée et la motivation se dégradent avec la durée du confinement. La question de du lien entre performance et bien-être est encore plus d’actualité dans ce contexte. Nous allons réaliser d’autres sondages dans les prochaines semaines pour suivre les évolutions » commente Christophe NGUYEN.

Les efforts des entreprises salués par les salariés…

7 salariés sur 10 considèrent que l’entreprise fait son maximum pour aider les salariés et 8/10 ont confiance envers leurs collègues pour les accompagner. Lorsqu’on les interroge dans le détail, sur le soutien qu’ils estiment recevoir des différents acteurs de l’entreprise, les salariés plébiscitent principalement celui de leurs collègues (79%), puis de leur N+1 (70%). Viennent ensuite la direction de l’entreprise (67%), la DRH (59%). Enfin 22,6% d’entre eux disent que leur entreprise n’a mis aucune mesure en place. Et à peine 15,6% des répondants disent que leur entreprise affiche les mesures sanitaires de base du gouvernement. « Même si le COVID19 est exogène, l’entreprise a des moyens de protection psychologique. La durée du confinement est en lui-même un facteur de stress, il reste un mois au moins, les actions doivent se mettre en œuvre dès maintenant » souligne Jean-Pierre BRUN.

 

…Mais elles n’en font pas assez en matière de sécurité psychologique

Les salariés sont aujourd’hui partagés quant à l’investissement de leur entreprise dans la santé psychologique et la prévention des risques psycho-sociaux de ses employés. Ainsi, seulement 1/3 d’entre eux sont d’accord pour dire qu’ils sont bien informés sur ces risques, que leur direction montre son engagement dans ce domaine et le considère aussi important que la productivité, ou encore que la prévention du stress implique tous les niveaux hiérarchiques de leur organisation.

Les personnes vivent moins de détresse psychologique élevée si elles se sentent soutenues par leur direction (16% vs 21%), la DRH (16% vs 20%), leurs collègues (16% vs 25%) ou confiance envers leur direction (17 vs 21%) et manager (15,5 vs 25%). Ces marques de soutien sont une puissante protection de la détresse psychologique. Toutefois, elles ne sont pas suffisantes pour réduire totalement la détresse psychologique.

« Il est temps de dépasser les uniques numéros verts sans logique de prévention de fond ou les apéros virtuels qui ne sont pas suffisants au regard des enjeux de santé publique et de mettre en place de vrais programmes de santé psychologique des salariés et des managers impliquant en premier lieu l’engagement des comités de direction. La situation est inédite pour tout le monde, des solutions sont possibles, les principes de précaution doivent s’appliquer. La grande majorité des entreprises font preuve de soutien. Sur le plan des risques psychosociaux, il est urgent de développer une culture de sécurité psychologique. A l’heure où les entreprises se projettent dans le déconfinement, cette étape doit prendre en compte l’état psychologique des personnes pour réussir.» conclut Christophe NGUYEN.

  • Le bien-être psychologique correspond aux dimensions positives de la santé
  • La détresse psychologique chevauche à la fois des symptômes de dépression et d’épuisement professionnel. Lorsqu’elle n’est pas traitée elle risque entrainer des problèmes de santé plus graves, tels que diverses maladies psychosomatiques, l’hypertension artérielle, différents troubles anxieux, la dépression sévère et des troubles

Méthodologie de l’étude :

Le Baromètre « Impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés » Opinion Way pour Empreinte Humaine, a été réalisé en ligne. Les interviews ont été faites du 31 mars au 8 avril 2020 auprès d’un échantillon de 2003 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.

La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’ être atteintes de troubles mentaux sérieux

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, EH a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises.

Contacts média

Agence Ozinfos

Sothany TUM / Amine MOUSSAOUI

06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com