Conséquence directe de la pandémie et du télétravail, le coût d’un poste de travail en entreprise est en chute en 2020

Paris le 9 décembre 2021 – L’Association des Directeurs de l’Environnement de Travail (ARSEG) publie ce jour les résultats des « Buzzy Ratios 2021 » (exercice 2020), son étude de benchmark analysant le coût de l’Environnement de Travail en entreprise tertiaire. L’impact de la pandémie se fait sentir à presque tous les niveaux, de l’immobilier à la masse salariale en passant par l’exploitation technique et fonctionnelle, les moyens et équipements et les services aux collaborateurs. Concernant la première année de la pandémie, les mesures sanitaires se traduisent ainsi de façon significative sur le coût d’un poste de travail par salarié, ce dernier s’établissant en moyenne à 10 246 euros par salarié, chutant de 23% par rapport à 2019 (13 391 euros).

 « Forte de ces enseignements édifiants, pour garantir la performance future des entreprises, la filière de l’’Environnement de Travail devra faire des choix, réinventer des métiers et forger des nouveaux modèles agiles, innovants et durables. Rien de cela ne sera possible sans la pleine compréhension de cette crise, de ses ruptures et des opportunités qui se dessinent pour une filière qui a toujours su s’adapter avec succès aux transformations de l’entreprise, de l’économie et de la société française » indique Latifa HAKKOU, présidente de l’ARSEG

Les services aux collaborateurs en baisse

Pendant des mois, les bâtiments ont été vidés de leurs occupants, et le télétravail est devenu une activité professionnelle massifiée dans la plupart des entreprises tertiaires de l’Hexagone. Dans cette filière dont le modèle s’axe principalement sur la présence au bureau, les confinements et les périodes d’activité partielle ont eu pour conséquence la chute des coûts variables de l’Environnement de Travail. On pense notamment aux services aux collaborateurs, qui ont connu une baisse de l’ordre de 32 % par poste de travail en raison de la réduction du volume de prestations destinées aux occupants (ex. la restauration d’entreprise). Dans le domaine de l’exploitation, la réduction de 16 % par poste de travail s’attribue principalement à la baisse du niveau de certaines prestations (ex. la sécurité-sûreté) et à la réduction des consommations énergétiques pendant les périodes d’occupation faibles.

L’immobilier stable (pour l’instant)

Sans surprise, les coûts les plus stables en 2020 étaient décorrélés de l’activité des sites au 1er rang desquels les charges liées aux bâtiments (loyers, assurances et taxes), qui ont connu une baisse légère de l’ordre de 2,9 % par poste de travail. Si l’immobilier est le premier poste de coûts du budget, il est marqué par une baisse presque constante du taux d’occupation depuis 2016, avec en parallèle un taux de salariés en télétravail qui a augmenté avec le temps.

Dans l’avenir proche, ces tendances pourraient s’accélérer : d’après un sondage réalisé en 2021 par le cabinet de conseil Génie des Lieux, plus de 68 % des salariés consultés souhaitaient que leurs entreprises évoluent en fonction des enseignements tirés du confinement et de la crise sanitaire. Parmi les attentes évoquées, 42 % souhaitaient une meilleure prise en compte de l’hybridation des modes et des espaces de travail. Pour une filière qui a dédié en 2020 presque 70 % de son budget aux coûts immobiliers, l’hybridation du travail est une nouvelle piste à travailler pour optimiser les surfaces tout en proposant des modes de travail plus adaptés aux besoins et envies des collaborateurs.

D’autres coûts stables sont ceux liés à l’entretien et à la maintenance des établissements qui ont pour leur part baissé de 3,4 % et 1,3 % par poste de travail.

Méthodologie de l’étude :

L’édition 2021 des « Buzzy Ratios » de l’ARSEG, a été réalisée en ligne auprès des entreprises adhérentes de l’ARSEG. Le recueil a été fait d’avril à août 2021 auprès d’un panel de 110 établissements (dont 56% hors ile de France) représentant près de 100 000 postes de travail.

Résultats détaillés de l’étude sur demande auprès du service de presse

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’Environnement de Travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels. A ce titre, elle a la légitimité à prendre part à tous les débats liés au travail : santé et bien-être des salariés, nouvelles organisations des espaces de travail, rapport au numérique, mobilité, aménagement du territoire, sécurité, etc.

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

Contact presse

Amine Moussaoui

06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

 

 

Les professionnels de l’immobilier d’entreprise et de l’environnement de travail s’inscrivent dans l’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique

IMMOBILIER D’ENTREPRISE

 

Paris le 8 décembre 2021 – A l’occasion du SIMI (Salon de l’immobilier d’entreprise de Paris), 12 associations professionnelles signent un accord en vue de mettre en place l’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique.

Les signataires partagent des objectifs communs sur les échanges d’informations au sein de l’industrie immobilière. Afin de mieux satisfaire les attentes de l’utilisateur final et pour répondre aux enjeux de plus en plus globaux (ESG, flexilité des usages, etc…), ils se proposent de mettre en place une concertation structurée dans l’objectif de définir une liste de données et de méta données permettant l’élaboration d’un référentiel tout à la fois clair, logique, précis et évolutif. Dans le cadre de leurs discussions, les signataires ont souhaité se regrouper en vue d’atteindre cet objectif, objet de la présente convention de partenariat et de se réunir en sous l’égide de l’«Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique ».

L’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique, qu’est-ce que c’est ?

L’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique, devra permettre à ses signataires de travailler ensemble de manière collaborative afin de répondre aux besoins identifiés des différents acteurs de l’immobilier en matière de transmission des informations devant permettre de déterminer la solution pour fluidifier, fiabiliser les échanges, valoriser les flux de transmission entre les acteurs, le tout de manière pérenne, de gagner en efficacité opérationnelle pour l’ensemble des acteurs de la chaîne immobilière, maîtriser la donnée et son traitement et enfin travailler et réfléchir dans un esprit «Inter-métiers », vecteur d’une création de valeur mesurable.

Les organisations signataires de l’Alliance

Csongor Csukas, Président de l’APROMA (Association des Property Managers) est à l’origine de cette convention de partenariat, réunissant :

  • ADI, Association des Directeurs Immobiliers
  • APROMA, Association des Property Managers
  • ARSEG, Association Nationale des Directeurs de l’Environnement de Travail
  • ASPIM, Association Française des Sociétés de Placement Immobilier
  • BUILDING SMART FRANCE, Association des acteurs du BIM en France
  • FIDJI, Association Professionnelle Immobilière FIDJI
  • FSIF, Fédération des Sociétés Immobilières et Foncières
  • FPI FRANCE, Fédération des Promoteurs Immobiliers de France
  • RICS France, Royal Institute Chartered Surveyors
  • SBA, Smart Buildings Alliance for Smart Cities
  • SYPEMI, Syndicat des professionnels du Facility Management
  • ULI, Urban Land Institute
 

 

Contact presse

Amine Moussaoui

06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.cm

 

Lancement officiel de l’AICN :

Palais des congrès| niveau 2 – salle 252 B – 08/12/2021 – 11:30/12:30  Inscription : ICI

 

Le cabinet Egidio milite pour une professionnalisation du traitement des enquêtes en cas de harcèlement au travail

La Cour de cassation a consacré l’obligation pour les employeurs, de diligenter des enquêtes lorsque des cas de harcèlement sont mis en lumière. Si cette astreinte constitue une avancée notable, elle pose néanmoins quelques questions opérationnelles. Qui ? Quoi ? Quand ? Comment ? Les prérogatives de l’entreprise sont cantonnées au pouvoir de subordination de l’employeur et témoignent d’une réglementation lacunaire et d’une nécessaire professionnalisation des enquêtes harcèlement.

« L’actualité récente le démontre, il est essentiel de bien articuler les rôles de chacun entre psychologue enquêteur et avocat sur le sujet de harcèlement afin de permettre une structuration plus lisible et plus professionnelle des enquêtes harcèlement » déclare Gilles Riou, président fondateur du cabinet Egidio.

Une obligation d’enquête

Quand un cas de harcèlement est porté à la connaissance de l’employeur, ce dernier a l’obligation légale de mener une enquête. L’absence d’enquête constitue une violation par l’employeur de son obligation de prévention des risques professionnels (Cour cassation 27 novembre 2019).

Néanmoins, rien n’indique pour l’heure qui doit mener cette enquête, ni dans quelles dispositions. Cette lacune juridique nuit au bon déroulé de l’enquête. L’employeur ne disposant pas d’un pouvoir de police, ses prérogatives d’enquête sont limitées. De même, une enquête menée par l’employeur pose la question des conflits d’intérêt au sein de l’organisation et du recul suffisant pour apprécier les comportements déviants.

Une nécessaire professionnalisation

Une enquête harcèlement implique implicitement l’ensemble de l’entreprise, bien au-delà des deux parties (accusé et accusateur). Dans une période marquée par la défiance dans les institutions et la parole publique, toute enquête est scrutée. Sa qualité et son intégrité sont des gages de la confiance que les salariés peuvent placer dans leur entreprise. Il est ainsi indispensable d’adopter une démarche indépendante, transparente et éthique impliquant le CSE dans un accord de méthode.

La complémentarité au cœur du processus d’enquête

Le harcèlement étant un comportement déviant pris dans une dynamique collective complexe, il importe autant de le qualifier que d’en élucider les causes pour empêcher sa réminiscence. C’est pour répondre cet impératif que l’avocat et le psychologue enquêteur doivent travailler de concert, chacun apportant son expertise dans la qualification et l’élucidation des faits.

Le psychologue est le spécialiste des comportements individuels et collectifs : de leur identification, de leur analyse, de leur mise en évidence et de l’évaluation de leurs conséquences psychiques.  L’avocat est le spécialiste de leur qualification juridique.

Une articulation pertinente

Dans cette optique, Egidio, spécialiste des enquête harcèlement, milite pour une méthode rigoureuse et opposable, fondée sur l’indépendance du psychologue enquêteur, la pertinence des entretiens et la faculté à modéliser les comportements déviants en complément de l’action des cabinets d’avocats sur ces sujets.

A propos de EGIDIO

Créée en septembre 2020 par Gilles Riou, psychologue du travail et expert de la prévention des RPS, EGIDIO est le premier cabinet de psychologues qui se spécialise sur les enquêtes harcèlement moral. Il a développé une méthodologie fiable et spécifique d’enquête interne permettant aux mandataires sociaux d’objectiver un signalement pour harcèlement. Ce positionnement permet de s’adresser directement aux DG et DRH du fait de l’importance institutionnelle que revêtent ces investigations. Egidio accompagne en direct ou avec leurs avocats, les grands groupes afin sécuriser leur démarche « enquête harcèlement ». Plus sur www.egidio.eu

Contacts médias / Agence Ozinfos

Robin Barbacetto – 06 27 26 49 65 – Amine Moussaoui – 06 27 26 49 64 –  egidio@ozinfos.com

 

Gouvernance : La FIRPS accueille 3 nouveaux cabinets dans son conseil d’administration et le féminise.

À la suite de l’Assemblée Générale de la Fédération, qui s’est tenue le 25 novembre 2021, la gouvernance de la FIRPS a évolué. La Fédération a renouvelé son conseil d’administration qui compte avec 6 nouveaux membres désormais 11 administrateurs dont 5 nouvellement élus parmi lesquels, 3 femmes. Les administrateurs nouvellement élus sont : Monsieur Kevin AUDUREAU (USIDE), Madame Célia KUSTER (EKILIBRE), Monsieur Camy PUECH (QUALISOCIAL), Monsieur Hervé RABEC (ELÉAS), Madame Isabelle TARTY (IAPR), Madame Brigitte VAUDOLON (BE POSITIVE). Demeurent administrateurs : M. Emmanuel CHARLOT (STIMULUS), M. François COCHET (SECAFI), M. Jean-Luc ODEYER (GROUPE JLO), M. Christian MAINGUY (WPO), et M. Alexis PESCHARD – (GAE conseil)

Le nouveau conseil d’administration a élu le 30 novembre un nouveau bureau :

M. François COCHET (SECAFI) demeure Président de la Fédération, Mme. Isabelle TARTY (IAPR) est élue Vice-Présidente aux côtés de M. Jean- Luc ODEYER (GROUPE JLO). M. Emmanuel CHARLOT (STIMULUS) devient Trésorier et M. Christian MAINGUY (WPO) devient Secrétaire-Général.

« Après deux années de crise sanitaire et de bouleversement des modes d’organisation du travail, jamais la santé des salariés au travail n’a autant été au cœur des préoccupations des entreprises et des pouvoirs publics. La FIRPS se félicite de la mise en lumière sans précédent de ces enjeux et compte poursuivre avec cette nouvelle équipe sa contribution au débat public », souligne François Cochet Président de la FIRPS.

Biographie des nouveaux administrateurs

  • Célia KUSTER – Cofondatrice et associée du cabinet EKILIBRE CONSEIL, administratrice de la Firps. Consultante et formatrice, Célia KUSTER intervient depuis 13 ans en pilotage de projet et depuis 10 ans dans le conseil RH, notamment en prévention des RPS et risques éthiques, en analyse des conditions de travail, en amélioration de la qualité de vie au travail et en conduite du changement
  • Isabelle TARTY – Responsable des partenariats à l’IAPR – gestion des RPS – Sociologue du travail et médiatrice des conflits en entreprise Vice-Présidente de la Firps. Isabelle Tarty développe une approche neutre et objective et étudie les problématiques rencontrées au sein des entreprises en matière de risques psychosociaux afin d’apporter des solutions adaptées de prévention primaire, secondaire et tertiaire à chaque organisation. Membre du Comité Scientifique de l’IAPR. Membre du jury de l’IFM, certificat de niveau 7 « Médiation dans les organisations ».
  • Brigitte VAUDOLON – Directrice Générale de BE POSITIVE, administratrice de la Firps. Psychologue clinicienne, coach, consultante spécialisée dans l’amélioration du bien-être au travail depuis plus de 20 ans. Auteure de : « Mieux vivre en entreprise » (Dunod 2010) et « La résilience, ça se cultive au quotidien » (Mango 2019).
  • Camy PUECH – PDG de QUALISOCIAL, administrateur de la Firps. Diplômé de ESCP Business School, Camy Puech découvre l’importance de la santé mentale dans la performance humaine après une première expérience dans l’assurance. Il oriente alors son mémoire de fin d’étude sur l’impact économique du bien-être au travail en 2008 et part à la rencontre de DRH pour évoquer le sujet. C’est en 2009 que l’aventure démarre réellement lorsque plusieurs entreprises le recontactent pour lui confier leur projet de prévention des risques psychosociaux.
  • Kevin AUDUREAU – responsable de l’équipe QVT de USIDE. Administrateur de la Firps. Psychosociologue de formation, Kévin est expert en prévention des RPS et accompagne depuis 15 ans les entreprises sur ces sujets. Après avoir réalisé des travaux de recherche pour le compte des Laboratoires Parisiens de Psychologie Sociale et du CNRS, Kévin a intégré des conseils spécialisés en RPS (diagnostic, formation, gestion de crise). Kévin est l’actuel responsable de l’équipe QVT de USIDE.
  • Hervé  RABEC – directeur du Groupe SEST-ELEAS, administrateur de la Firps. Hervé Rabec est directeur d’Eléas,  un cabinet conseil, spécialiste du développement de la QVT et de la prévention des RPS. Éléas fait partie du groupe SEST depuis 2017. Améliorer la qualité de vie au travail nécessite d’identifier et de mobiliser toutes les ressources de l’organisation, en portant attention aux personnes. C’est aussi être capable de traiter les difficultés et de se placer dans une logique de co-construction. C’est aussi un réseau de consultants pluridisciplinaires, experts dans leur domaine, partageant nos convictions (psychologues, formateurs, coachs, ergonomes, sociologues et managers)

<fin>

À propos de la FIRPS

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), créée en 2011 et présidée par François Cochet, (groupe SECAFI), compte 20 acteurs, significatifs et reconnus, spécialistes de la prévention des RPS et du management de la QVT, réunis autour du partage de valeurs fortes pour l’exercice de leur métier. Elle s’est dotée dès sa création d’un code de déontologie qui régit un mode d’exercice de ses membres dans le respect d’une éthique commune. Elle a depuis 2016, publié une série de travaux visant à promouvoir des bonnes pratiques au sein d’une profession encore jeune. Ces travaux destinés en priorité aux professionnels en entreprise ou en cabinet, abordent des questions présentes à l’agenda des DRH : la question du suicide au travail, la prévention des RPS lors des restructurations, la déontologie dans la pratique de l’assistance psychologique à distance. Elle prend également part au débat public par la publication de manifestes : Six propositions pour faire de la santé au travail un enjeu national, propositions pour la mission Santé au travail ». Tous sont accessibles en téléchargement gratuit sur le site de la FIRPS – www.firps.org – @firps_org

20 Cabinets membres de la FIRPS au 1er novembre 2021

ABSILIA, ACTEMS CONSEIL, AXIS MUNDI, BELLEDONNE RH, BE POSITIVE, ÉKILIBRE CONSEIL, ÉLÉAS, GAE CONSEIL, IAPR, ICAS FRANCE, INC, ISAST, GROUPE JLO, MOODWORK, QUALISOCIAL, SANTÉ PARTNERS, SECAFI, STIMULUS, USIDE et WORKPLACE OPTIONS.

 

Contacts médias

Agence Ozinfos : Marie-Céline Terré / Robinson Lebrun

Tél : 06 09 47 47 45 / 06 75 08 15 53 – firps@ozinfos.com

 

Bilan social du quinquennat : le dialogue social encore en rodage ?

Alors que le quinquennat s’achève et que le bilan social risque d’être au cœur des débats électoraux à venir, le cabinet Vatier s’est livré, le 19 novembre à l’occasion de la 1ère édition des « 8/10 » du cabinet (cycle de petits déjeuners de décryptage) à une revue d’analyse des réformes du droit social amorcées par le Gouvernement confrontées à la pratique quotidienne du cabinet et à la réalité des demandes des entreprises au 1er rang desquels le dialogue social « nouvelle manière ».

En 2017, la « refonte du dialogue social » était au cœur des ambitions du candidat Emmanuel Macron qui proposait, dans le cadre de principes définis par la loi, que les règles qui régissent le quotidien des salariés soient « fixées au plus près de là où ils travaillent, dans l’entreprise ».  Où en est cette aspiration aujourd’hui ?

Une crispation latente autour de la fusion des instances représentatives du personnel.

Symboles de la volonté du Président de la République de refaçonner le dialogue social, les ordonnances Macron sont venues fusionner les instances représentatives du personnel (IRP) au sein du comité social et économique (CSE) et déplacer le centre de gravité du dialogue social, de la loi ou la branche vers l’entreprise.

Du coté des employeurs, c’est une réussite, le dialogue social est perçu comme plus simple et davantage fluide. L’objectif de la simplification du dialogue social dans les entreprises a été atteint avec un poids plus important donné aux accords majoritaires, et aux ruptures conventionnelles collectives.

Pour autant, « cette fusion des IRP a réduit considérablement les moyens de la représentation du personnel. La centralisation du dialogue social, laisse une place marginale aux représentants de proximité.  Cette centralisation peut être contre-productive pour les entreprises de plus de 50 salariés lorsque le CSE en vient à traiter des affaires peu importantes qui revenaient auparavant aux échelons locaux ou aux anciens DP », explique Delphine Ricard, avocat associée au sein du cabinet Vatier.

De plus, le fait que les employeurs se saisissent des dispositions supplétives en cas de non-négociation est une grande source de frustration pour les organisations syndicales.

A ce titre, le renouvellement des CSE en 2022, pourrait engendrer des tensions importantes mais aussi être vu par les partenaires sociaux comme un levier pour redéfinir les contours de cette nouvelle institution.

Une inversion de la hiérarchie des normes, en pratique encore trop complexe à appréhender pour les PME

L’objectif de ce changement dans la hiérarchie des normes était de laisser davantage de marge de manœuvre dans la négociation au niveau de l’entreprise, pour que celle-ci s’adapte le plus efficacement possible aux contraintes de son environnement.

Si cette innovation juridique, dessinée depuis plusieurs décennies, permettait en théorie aux entreprises de prévoir des dispositifs spécifiques à leurs activités, dans la pratique « peu d’entre elles se sont saisies de ce nouveau droit. Elles ont préféré s’appuyer sur les accords de branche et le code du travail plutôt que de rajouter une norme supplémentaire ». C’est particulièrement le cas des PME et des TPE qui « ne maitrisent pas encore cette densité normative » détaille Delphine Ricard.

Néanmoins, le cabinet Vatier constate qu’avec la crise sanitaire, les entreprises, notamment les PME et TPE, ont davantage utilisé les outils mis en place par les réformes du droit social.  « La crise sanitaire été un catalyseur, en donnant aux entreprises l’occasion de recourir à ce mode dérogatoire pour négocier leurs propres sujets comme sur le télétravail, par exemple » insiste Delphine Ricard.

Une tentative de simplification des normes grâce au droit souple

Le fait majeur du quinquennat Macron c’est « l’émergence d’un droit souple » explique Delphine Ricard. Car, avec la crise sanitaire, les documents à la valeur juridique à priori non contraignante (guides-métiers, préconisations, protocoles sanitaire etc…), ont supplanté les textes législatifs.

Ce mode d’action présente plusieurs avantages. Ce type d’acte est plus simple et moins contraignant qu’un texte législatif, tout en gardant son efficacité : un acte de droit souple peut s’avérer tout aussi contraignant, en pratique, car il s’agit de « préconisations aux employeurs qu’ils doivent prendre en considération au risque sinon de voir leur responsabilité engagée »

Pour autant, le droit souple n’empêche pas le développement du contentieux. Ainsi, plusieurs pratiques professionnelles héritées de la crise sanitaire et de ces textes de « soft law » vont inévitablement connaitre une recrudescence de contentieux, à commencer par le télétravail où une accélération des contentieux est à craindre, notamment vis-à-vis de la surveillance des salariés, des frais engendrés par le télétravail et la prévention des risques psychosociaux.

Plusieurs autres réformes emblématiques du quinquennat Macron

  • L’instauration d’un barème prud’hommal

Le cabinet Vatier constate un respect du barème en contentieux prud’hommal. Les cas où les juges accordent une indemnité ne correspondant pas au barème sont plutôt rares (même si des exceptions subsistent pour répondre à des cas exceptionnels et spécifiques).

Du coté des avocats des salariés, le syndicat des avocats de France reprend systématiquement le même schéma argumentatif pour contester automatiquement le barème, sans toujours réussir à démontrer un réel préjudice distinct. En outre, pour passer outre les barèmes, les avocats des salariés ont désormais tendance à qualifier les demandes en cas de harcèlement et à insister sur les obligations de sécurité, de formation, de travail pendant l’activité partielle.

  • La réforme de la formation professionnelle

Concernant la réforme du Compte Personnel de Formation dont l’objectif était de déplacer la responsabilité de la formation de l’entreprise vers le salarié, le cabinet Vatier remarque que la monétisation du CPF a doublé l’offre de formation et a facilité l’accès à ces dernières. Le développement des formations s’accompagne d’un marketing agressif qui nuit aux salariés.

  • La rupture conventionnelle collective

En favorisant le recours à la rupture conventionnelle collective, la volonté du Gouvernement était d’inciter les entreprises à avoir recours au dispositif pour anticiper les difficultés financières. Dans la pratique, la rupture conventionnelle reste largement utilisée pour faire face à une difficulté déjà présente.

Néanmoins, cette pratique reste rare puisque seulement 164 accords de rupture conventionnelle collective ont été signés en France depuis sa création jusqu’en mars 2020.

Bienvenue aux motos dans les parkings Saemes !

Paris, le 22/11/2021 – Saemes, opérateur majeur de stationnement en Île-de-France, accompagne la politique de la Ville de Paris pour un meilleur partage de l’espace public et poursuit ainsi la création de nouvelles places motos au sein de ses parcs de stationnement souterrains.

Extension du parc Motos Saemes

L’opérateur propose aujourd’hui 1 400 places motos sur plus de 30 de ses parcs de stationnement parisiens, au sein de locaux fermés ou de zones dédiées. En début d’année 2022, après extension sur ses parcs les plus demandés, la capacité totale sera portée à 2000, dont 350 sur le parc Méditerranée Gare de Lyon (Paris 12ème) et 200 places sur Madeleine (Paris 8ème).

Sécurité et services

Les zones de stationnement moto et les rampes de circulation sont systématiquement traitées avec un revêtement antidérapant pour la sécurité des motards et sont équipées de caméras de vidéo-surveillance. Saemes a également déployé des consignes gratuites permettant aux motards de déposer leurs casques pendant leur stationnement dans les parkings Méditerranée-Gare de Lyon (Paris 12ème), Pyramides (4ème), Mairie du 15ème-Lecourbe et Porte d’Auteuil (16ème). Enfin, des prises de recharge gratuites pour les engins électriques sont installées dans les zones motos.

Une tarification attractive

Saemes propose un tarif deux-roues très attractif, pour les abonnés comme pour les visiteurs. A titre d’exemple, une heure de stationnement sur le parking Madeleine (Paris 8ème) revient à 1,50 euros. Un abonnement mensuel sur ce même parking est facturé entre 54 euros (résident petit rouleur) et 89 euros (non résident).

« La garantie d’une longue carrière pour votre moto »

Par la mise à disposition de consignes gratuites pour le rangement des casques et d’espaces sécurisés et surveillés 24h/24, le choix d’un stationnement dans l’un des parkings du réseau Saemes permet effectivement de prolonger la durée de vie des deux roues, tout en étant un gage de sérénité pour leurs propriétaires.

 

Jeantet conseille Kereis Holding (anciennement groupe CEP) dans le cadre de sa prise de participation majoritaire au sein de ASSFI

Paris, le 17 novembre 2021 – Jeantet a conseillé Kereis Holding (anciennement Financière Holding CEP) dans le cadre de sa prise de participation majoritaire au sein de la société de courtage RB Conseil (ASSFI), experte des risques spéciaux en assurance de prêt, créée en 1990 par Olivier Rolot, rejoint au capital par Valentine Dussagne en 2014.

Valentine Dussagne, nouvelle présidente de RB Conseil demeure associée.

Cette acquisition renforce l’activité de distribution d’assurance emprunteur de Kereis, groupe de courtage en assurance de personnes et en solutions de financement en France et en Europe notamment à travers ses marques cbp, Empruntis, immoprêt ACE Crédit ou encore iAssure. Le Groupe renforce ainsi son expertise en assurance emprunteur en matière de risques spéciaux.

Jeantet (conseil juridique de Kereis Holding) : Philippe Portier (associé), Marie-Emmanuelle Amphoux et Nicolas Goetz (counsels) en corporate M&A, Olivier Lyon-Lynch (counsel) sur les aspects réglementaires.

Ten France (conseil juridique du fondateur et de Valentine Dussagne) : Laurent Aide (associé).

L’Arseg sera présente au Salon WORKPLACE MEETINGS de Cannes du 23 au 25 Novembre

Salon Workplace meetings DU 23 AU 25 NOVEMBRE 2021 

AU PALAIS DES CONGRES ET DES FESTIVALS DE CANNES

#EnvironementDeTravail – #FlexOffice – #QVT

 

Alors que la crise sanitaire a démontré le caractère stratégique de la fonction de directeur de l’environnement de travail (DET), qui ont mis en œuvre et fourni des moyens permettant aux salariés de se consacrer pleinement à leur métier, dans des conditions sanitaires et d’organisation chamboulées, l’Arseg (Association professionnelle de la filière) partenaire du Salon WORKPLACE MEETINGS contribue au débat pour se projeter dans l’avenir des lieux de travail à Cannes du 23 au 25 novembre et accueillera les visiteurs sur son stand (CO1).

Enfin, l’Arseg organisera le 24 novembre, une soirée de gala dédiée aux professionnels pour célébrer l’Environnement de Travail, en mettant notamment en lumière les innovations déployées durant la crise sanitaire démontrant l’incroyable agilité dont ont fait preuve les Directeurs de l’environnement de travail au cours de la période.

WORKPLACE MEETINGS est un salon One to One meetings, dédié aux professionnels de l’environnement de travail (services aux occupants, développement et innovation durables, conception et aménagement des espaces de travail…), aux professionnels des achats et aurchitectes dont l’objectif est de favoriser le « face à face » direct entre Top Décideurs et Exposants par le biais de rendez-vous pré-organisés et ultra qualifiés en amont de l’événement dans une ambiance décontractée et chaleureuse.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels. A ce titre, elle a la légitimité à prendre part à tous les débats liés au travail : santé et bien-être des salariés, nouvelles organisations des espaces de travail, rapport au numérique, mobilité, aménagement du territoire, sécurité, etc.

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

 

Contact médias

Agence Ozinfos

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

Inscriptions gratuites ICI

Pharmabest ouvre une très grande pharmacie de centre-ville en plein cœur d’un territoire populaire et multiculturel

#BanlieueNord – #SantéDeProximité #Ouverture – #Beauté – #Services

 

Marseille, le 16 novembre 2021 – Alors que la Grande Pharmacie de Saint-Denis est entrée en janvier 2021 dans le groupement Pharmabest, l’officine, après plus de 10 mois de travaux, passe de 250 m2 à 1 500 m2, devenant la plus grande pharmacie du 93. Sur deux niveaux, reliés par un escalator, l’officine se veut emblématique du groupement avec une offre en para très importante, enrichie par un assortiment inégalé de marques ethniques, de produits qui s’inscrivent dans les tendances de consommation comme le bio, le do it yourself, le solide et le recyclable. Sur le volet santé, l’officine dispose d’un espace d’orthopédie et de présentation de matériel médical, et également de cabines de confidentialité pour la santé du quotidien : téléconsultation, vaccination, tests et entretiens thérapeutiques. Cette nouvelle pharmacie emblématique du groupement a ouvert ses portes le 2 novembre et se positionne d’emblée comme un des plus beaux commerces de la ville, mais aussi du département. Elle crée 12 emplois et compte 32 salariés.

Après son Flagship store en hypercentre aux Halles, sa pharmacie premium beauté à l’ombre des grands magasins parisiens, Pharmabest met l’accent sur sa présence en Seine-Saint-Denis, au cœur d’un département populaire, pour y décliner son approche de la pharmacie moderne et accessible à tous et totalement intégrée dans son écosystème. La Grande Pharmacie de Saint-Denis, installée au cœur de la rue la plus commerçante de la ville historique, déménage du 83 au 71 de la rue de la République et devient une des plus grandes pharmacies du groupement Pharmabest situées en centre-ville.

Installée de longue date dans une ville emblématique, cette pharmacie qui est entrée dans le groupement début 2021 s’est délocalisée dans la même rue pour s’établir dans un espace de 1 500 m2 sur deux niveaux. Dix mois de travaux ont été nécessaires pour aménager cet espace (anciennement galerie commerciale Bulle) permettant à la pharmacie de multiplier par 6 sa surface pour proposer une officine résolument moderne, fourmillante de propositions en hygiène-beauté et santé pour toutes les clientèles.

« En dépit de la pandémie du Covid-19 qui depuis près de 20 mois affecte la santé et l’économie, les pharmaciens du groupement Pharmabest n’ont pas cessé d’investir dans leurs officines pour les rendre plus belles, avec une vraie expérience client en magasin, rassurante, experte et étonnante. Nous avons à cœur de renforcer l’offre de santé et les services de prévention de santé, de faire des propositions de produits en bien-être et en beauté intégrant le traditionnel, l’exclusif et le spécifique », déclare Alain Styl, directeur général de Pharmabest.

 

Une expérience client inédite en banlieue parisienne

Avec ce nouvel espace, la pharmacie de l’enseigne Pharmabest aux couleurs roses propose une expérience client inédite en banlieue parisienne, dans un magasin ultra soigné.

Avec une façade de 15 m de long, ouvrant de plain-pied sur près de 900 m2 dédiés à la parapharmacie, l’officine propose, dans un décor sobre et chic mariant le noir au plafond, le gris au sol et le blanc sur les murs, plus de 350 marques déployées sur 3,5 km linéaires. Au centre, un espace de repos autour d’un olivier permet de s’asseoir et recharger son portable.

Des tables expérientielles, des pop-up, des encaissements mobiles sur des tablettes blanches et bois jalonnent le parcours client et invitent à la découverte des univers traditionnels de la parapharmacie : bébé, nutrition, capillaire, hygiène, compléments alimentaires, dermo-cosmétique, etc.

 

Un escalator mène à l’espace santé, ultra blanc, qui propose toute l’aromathérapie, la phyto, l’univers santé en libre accès, la nutrition et 13 comptoirs dédiés aux prescriptions médicales.

C’est ici que sont présentés les services de santé, vaccination, orthopédie, oncologie et leurs cabines de soin, confidentialité et téléconsultation.

« Face à l’offre sur internet, venir en magasin demande un effort, c’est pourquoi nous avons souhaité proposer plus qu’une grande et belle pharmacie. Faire vivre une expérience associant une ambiance et des compétences a guidé nos choix d’aménagement. En créant de larges espaces de déambulation, une sorte d’atrium central avec des bancs autour d’un olivier, des murs végétaux, un travail précis sur les couleurs et la lumière, nous souhaitons que les clients se sentent accueillis, attendus et pris en charge », déclare Michaël Gommez-Vaëz, pharmacien titulaire de la Grande Pharmacie de Saint-Denis.

 

La plus grande offre de produits ethniques en France dans un magasin généraliste

Parce que l’on est à Saint-Denis, dans une ville de diversité et de métissage, il est important de proposer à côté des marques de soins et des accessoires traditionnels en pharmacie un assortiment de produits d’hygiène, de dermo-cosmétique et d’accessoires de marques ethniques. Les équipes de la pharmacie ont recherché des marques accessibles, des marques iconiques et des marques de niche/premium pour proposer le plus grand assortiment dans une enseigne généraliste et ainsi satisfaire toutes les demandes, inspirer le plus grand nombre.

Résultat : près de 30 gammes ethniques représentant 20 % de l’espace para. Avec Easypouss ou Phytospécifique, toutes les têtes ont leur produit. Avec les gammes de dermo-cosmétique comme Aunea, Black-up, HT26, In’Oya, Makari, Nubiance, Palmer’s… toutes les beautés ont leur produit.

« Conçue comme un one stop shopping de la santé et du bien-être, notre enseigne doit permettre à nos clients de trouver auprès de nos pharmaciens toutes les réponses aux questions qu’ils se posent autour de leur santé, de leur bien-être, de leur hygiène de vie. De notre situation géographique découlent des choix d’assortiment en parapharmacie. Dès lors, nous disposons d’un immense espace bébé et, à côté, de gammes présentées en exclusivité en marques premium, en indies ou en ethnique », souligne le titulaire.

Une pharmacie orientée services de santé de proximité

Avec la pandémie, les Français ont plébiscité la pharmacie comme lieu de santé de proximité. Ouverte 7 jours/7, elle permet aux nombreuses familles présentes sur le territoire de disposer sans rendez-vous de conseils et de soins. Trois cabines de confidentialité sont accessibles par un escalator intérieur pour vacciner, tester, organiser une consultation de télémédecine, essayer des produits spécifiques (oncologie) ou conduire un entretien thérapeutique.

L’orthopédie et le matériel médical disposent d’un espace complet permettant de présenter dans des niches les principaux produits, de prendre le temps de recevoir les patients autour d’une table et même de proposer un service de fabrication à la demande des semelles orthopédiques.

Comme une tendance, les produits liés à l’oncologie ne sont plus cachés, mais mis en avant et identifiés comme tels avec notamment la lingerie Amoena.

La pharmacie, c’est également une expérience omnicanale complète

Les services plébiscités par les clients Pharmabest, comme le scan ordonnance, qui permet d’envoyer son ordonnance, de la faire préparer et de récupérer ses médicaments sans attente, ou bien le click and collect, accessible depuis le site internet de la pharmacie et permettant de récupérer ses produits de para dans une caisse dédiée, sont bien sûr présents. La carte de fidélité et les réseaux sociaux Facebook et Instagram, assurent le lien entre les clients et l’actualité de la pharmacie.

La livraison à domicile, accessible par l’appli Livremed, est disponible pour les produits de parapharmacie et le médicament.

Cinq encaissements dédiés pour les achats rapides en entrée de magasin et six caisses pour l’OTC et le conseil para sont présents en rez-de-chaussée.

Engagée, la pharmacie dispose d’une zone de tri en libre accès pour le recyclage des emballages cosmétiques et la collecte des déchets médicaux (médicaments, seringues…), en partenariat avec Cyclamed et Dasri.

Un investissement pour un projet de croissance

Douze emplois qualifiés ont été créés pour assurer un conseil de chaque instant : 2 pharmaciens, 2 préparateurs, 3 rayonnistes, 1 conseiller en parapharmacie, 1 responsable des achats, 1 community manager et 2 hôtesses de caisse.

Avec un investissement de près de 2 millions d’euros, l’enseigne compte doubler rapidement son chiffre d’affaires. En passant de 250 m2 à 1 500 m2 de surface pour les clients, la Grande Pharmacie de Saint-Denis a fait le pari de la croissance.

La Grande Pharmacie de Saint-Denis  en chiffres

  • 1500m2 de surface dédiée aux clients dont 900m2 de plein pied
  • 23 postes d’encaissements dont 13 comptoirs dédiés aux prescriptions médicales
  • 32 emplois dont 12 créations
  • 10 mois de travaux
  • 30.000 références
  • 350 marques dont 30 en ethnique
  • 3,5 km de rayons en libre accès
  • 4 espaces serviciels : orthopédie & matériel médical, cabine oncologie, cabine télémédecine et cabine vaccination
  • 20% de l’espace para dédié aux produits ethniques
  • 2 M € d’investissement
  • 1500 clients/jour attendus

 

Pharmabest développe son ancrage en Ile de France avec 29 pharmacies

8 à Paris :

  • Pharmacie Forum des Halles, Paris 1er
  • Pharmacie Carré Opéra Chaussée d’Antin Paris 9ème
  • Pharmacie Opéra Mogador, Paris 9ème
  • Pharmacie Haussmann Opéra, Paris 9ème
  • Pharmacie Principale Porte d’Orléans, Paris 14ème
  • Pharmacie de la Gare Montparnasse, Paris 15ème
  • Pharmacie St-Fargeau, Paris 20ème.
  • Grande Pharmacie Bailly, Paris 8ème

2 en Seine et Marne :

  • Pharmacie Jaugeon, Claye-Souilly
  • Pharmacie Khun Bay 1, Torcy

4 dans les Yvelines :

  • Pharmacie du Centre, Vélizy 2,
  • Pharmacie du Trianon, Parly 2, Le Chesnay
  • Grande Pharmacie de Poissy, Poissy
  • Pharmacie 201, Montesson

2 en Essonne :

  • Pharmacie Yaiche, Athis-Mons
  • Pharmacie Centrale, Centre commercial Carrefour, La Ville du Bois

3 dans les Hauts-de-Seine :

  • Pharmacie des Quatre Temps, les 4 temps, Paris la défense
  • Grande Pharmacie Jaurès, Boulogne Billancourt
  • Pharmacie Amar Maurière Zinsius, , Issy Les Moulineaux

8 en Seine Saint Denis :

  • Grande Pharmacie de la Croix de Chavaux, Montreuil
  • Pharmacie du Cora Livry Gargan, Livry Gargan
  • Grande Pharmacie des 4 chemins-Pantin, Pantin
  • Pharmacie du Vieux Pays, Tremblay en France
  • Pharmacie Zemiro, Bagnolet
  • Pharmacie Pyramide, Villetaneuse
  • Pharmacie du centre Basilique, Saint Denis
  • Pharmacie de la République, Saint-Denis

1 dans le Val de Marne :

  • Pharmacie Val de Fontenay, Fontenay-sous-Bois

1 dans le Val d’Oise :

  • Pharmacie Bensimhon, Saint-Brice-sous-Forêt

 

 

A propos de Pharmabest

Pharmabest s’est hissé en cinq ans parmi les tous premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe au 1er novembre 2021, 102 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse, à la Martinique, à la Réunion, et en Guadeloupe. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 850 millions d’euros à fin 2020. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’Ordre accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 17 millions d’ordonnances par an. Pharmabest, est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 980 000 abonnés et 70 marques – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement 100% naturelle autour d’une gamme de compléments alimentaires et d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de pré-dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site ombrelle du réseau  www.pharmabest.com – novembre 2019, lancement du Click & Collect  – janvier 2020 : la politique zéro plastique en pharmacie. Novembre 2020 : lancement de la campagne de dépistage du Covid-19. Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur internet, dans une application et avec un magazine mensuel distribué à 450 000 exemplaires. Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur général, Alain Styl.

Suivez nos actualités sur @pharmabest_corp

Contacts médias

Agence Ozinfos

pharmabest@ozinfos.com – Ivanna Baez – 07 72 21 76 48 / Marie-Céline Terré – 06 09 47 47 45.

Jeantet conseille la deeptech Quandela dans sa levée de fonds de 15 millions d’euros

Paris, le 16 novembre 2021 – Fondée en 2017 par Pascale Senellart-Mardon, Valérian Giesz et Niccolo Somaschi à la suite de recherches effectuées au sein du laboratoire C2N du CNRS, Quandela développe des dispositifs et modules quantiques dans le but d’accélérer le développement des réseaux de communications quantiques et d’ordinateurs quantiques.

La levée, d’un montant de 15 millions d’euros, était menée par Omnes, avec la participation de Bpifrance et de Quantonation.

Quandela fait partie du programme d’accélération La Place Stratégique. Pionnière en France en matière d’enjeux souverains, elle combine expériences civiles, militaires et entrepreneuriales qu’elle mobilise pour le succès de jeunes entreprises stratégiques. Elle fédère une communauté de haut niveau d’acteurs institutionnels, industriels, juridiques et financiers qui concourent au développement des entreprises accompagnées et travaillent à préserver l’essentiel de leur valeur stratégique en France. Parmi eux figurent la Direction Générale de l’Armement, l’Agence de l’Innovation de Défense, la Gendarmerie Nationale, les industriels THALÈS, BOLLORÉ LOGISTICS et ARQUUS, les cabinets ACCURACY, JEANTET et ORSON ainsi qu’un large réseau d’investisseurs français.

L’équipe Jeantet était composée de Guillaume Fornier, counsel, Robert d’Orglandes et Georges-Dominic Sardi, collaborateurs. Guillaume, Robert et Georges-Dominic font partie de l’équipe dirigée par Karl Hepp de Sevelinges, avec la participation de notre associé Xavier Pernot.

Les investisseurs étaient conseillés par le cabinet Jones Day avec Jean-Gabriel Griboul, associé et Constance Hamelin, collaboratrice.

LA PHARMACIE ALFONSI BIGUGLIA TRIPLE DE SURFACE ET DEVIENT UNE DES PLUS GRANDES PHARMACIES DE CORSE

#BIGUGLIA #Nouveauté #Santé #Beauté #Corse

 

Marseille, le 15 novembre 2021 – Alors que la pandémie a placé la pharmacie d’officine au cœur des dispositifs de prévention et de vaccination, la pharmacie Alfonsi Biguglia entre dans le groupement Pharmabest, déménage et s’agrandit en passant de 200 m2 à 700m2. Cette nouvelle pharmacie située entre Bastia et son aéroport, vient renforcer la présence du groupement Pharmabest sur l’Ile de Beauté* en donnant plus de visibilité à la spécificité de son approche de la pharmacie qui se décline par des services de santé de proximité et des avancées de services tournées vers les clients. En devenant une des plus grandes officines de Corse, la pharmacie Alfonsi Biguglia dispose d’une offre large dédiée à la beauté et au bien-être, autour de marques premium, de niches, ou Corse, et de services expérientiels. Elle s’inscrit dans les tendances de consommation en proposant un espace de nutrition animé par des naturopathes et des produits Bio. Enfin, sur le volet santé, elle dispose d’une cabine de télémédecine et de vaccination et d’un espace d’orthopédie.  8 mois de travaux et 11 emplois ont été créés.

En dépit de la pandémie du Covid-19 qui depuis près de 20 mois affecte la santé et l’économie, les pharmaciens du groupement Pharmabest n’ont pas cessé d’investir dans leurs officines pour s’adapter aux nouvelles attentes de santé et de bien-être des Français et leur proposer une expérience en magasin, rassurante, experte et étonnante.

8 mois de travaux et un déménagement de quelques centaines de mètres permettent à la pharmacie Alfonsi Biguglia de tripler sa surface de vente pour proposer une officine résolument moderne, fourmillante de propositions beauté pour la clientèle de passage et de proximité.

Elle propose sur 700 m2 dédiés à la clientèle, un parcours client pensé pour être fluide et agréable. Des allées larges et lumineuses mettent en avant un agencement organisé pour que tous les produits soient facilement accessibles. Les espaces sont structurés par une signalétique qui reprend les codes du groupement Pharmabest rompant avec ceux de la pharmacie traditionnelle.

Avec le service de « click and collect » disponible depuis le site internet de la pharmacie, elle s’inscrit dans les tendances de consommations.

Elle a rejoint le groupement Pharmabest le 2 novembre 2021.

Une prise en charge complète de la santé autour de conseils et de services

Sur le volet santé, la pharmacie a renforcé son offre autour d’une équipe formée à la vaccination, en naturopathie et en orthopédie, de 3 cabines de confidentialité permettant de proposer de nouveaux services comme :

La pharmacie Alfonsi Biguglia dispose de plusieurs espaces de confidentialités dédiés au service de santé

  • Une cabine de télémédecine
  • Une cabine de vaccination et dépistage (tests antigéniques Covid-19
  • Une cabine dédiée aux soins et à l’essayage de matériels orthopédique.

La pharmacie Alfonsi Biguglia : un choix inégalé en parapharmacie

Les univers traditionnels de parapharmacie (bébé, nutrition, hygiène…) sont présents avec des gammes bio et premium proposant des choix variés pour tous les besoins.

La pharmacie propose aussi des produits de beauté́ et de bien-être, avec des soins en dermo-cosmétiques.

Le petit plus pour les clients, c’est la présence d’une cabine de soin, d’un fauteuil de coiffure ainsi que d’un bar à maquillage et ongles.

L’espace de nutrition offre une large gamme de produits naturels et bio pour la plupart, animé par deux naturopathes. Par exemple, de la lessive Bio et de l’alimentaire Bio.

Une équipe de 20 personnes qui assurera un conseil de chaque instant aux clients de la pharmacie : 1 pharmacien titulaire, 3 pharmaciens assistants, 4 préparateurs, 2 naturopathes, 5 esthéticiennes, 2 hôtesses, 3 rayonnistes et 1 apprenti.

  • La Pharmacie Alfonsi Biguglia, en chiffres
  • Ouverture du lundi au samedi de 8h00 à 20h
  • 900m2 dont 700m2 dédié aux clients
  • 20 salariés (1 pharmacien titulaire, 3 pharmaciens assistants, 4 préparateurs, 2 naturopathes, 5 esthéticiennes, 2 hôtesses, 3 rayonnistes et 1 apprenti).
  • 1 caisse dédiée au click&collect
  • 1 espace thérapeutique naturel, une cabine de soin, 1 fauteuil coiffure et un espace maquillage/vernis
  • 1 cabine Télémédecine/Orthopédie /Vaccin
  • Le Robot Méditech permet de stocker près de 40 000 boîtes de médicaments
  • 2 places PMR devant la vitrine et 80 places de parkings.

 

A propos de Pharmabest

Pharmabest s’est hissé en cinq ans parmi les tous premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe au 1er novembre 2021, 102 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse, à la Martinique, à la Réunion, et en Guadeloupe. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 850 millions d’euros à fin 2020. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’Ordre accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 17 millions d’ordonnances par an. Pharmabest, est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 980 000 abonnés et 70 marques – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement 100% naturelle autour d’une gamme de compléments alimentaires et d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de pré-dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site ombrelle du réseau www.pharmabest.com – novembre 2019, lancement du Click & Collect – janvier 2020 : la politique zéro plastique en pharmacie. Novembre 2020 : lancement de la campagne de dépistage du Covid-19. Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur internet, dans une application et avec un magazine mensuel distribué à 450 000 exemplaires. Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur général, Alain Styl.

Suivez nos actualités sur @pharmabest_corp

Contacts médias

Agence Ozinfos

pharmabest@ozinfos.com

Ivanna Baez – 07 72 21 76 48 / Marie-Céline Terré – 06 09 47 47 45.

JEANTET CONSEILLE FUBOTV SUR LE PROJET D’ACQUISITION DE MOLOTOV SAS

JEANTET CONSEILLE FUBOTV SUR LE PROJET D’ACQUISITION DE MOLOTOV SAS, LE PREMIER SERVICE DE TÉLÉVISION LIVE STREAMING EN FRANCE

 

Paris, le 10 novembre 2021 – Jeantet a conseillé fuboTV Inc, la principale plateforme de streaming de télévision en direct axée sur le sport, cotée au NYSE, dans le cadre de l’acquisition du numéro un français de télévision live streaming, Molotov SAS.

 

Les parties concernées sont entrées en discussions concernant l’acquisition et prévoient de la finaliser au plus tard au premier trimestre 2022.

 

Fondée par Jean-David Blanc (fondateur d’AlloCiné) et Pierre Lescure (cofondateur de Canal+), Molotov est une plateforme de streaming qui révolutionne l’accès à la télévision. Disponible sur tous les écrans et appareils connectés. Molotov compte, après cinq ans d’existence, plus de 16 millions d’utilisateurs, ce qui en fait le leader français de la distribution de programmes en streaming.

 

FuboTV, déjà présent aux États-Unis, au Canada et en Espagne, est la première plateforme de vidéo à la demande par abonnement, qui propose principalement des événements sportifs en direct.

 

La transaction s’inscrit dans la stratégie d’expansion mondiale de FuboTV et la fusion des technologies entre les deux sociétés devraient permettre à FuboTV de lancer sa plateforme interactive, spécialisée sur les événements sportifs et le divertissement à échelle mondiale.

 

L’équipe de Jeantet était dirigée par Karl Hepp de Sevelinges (Associé) et comprenait notamment Guillaume Fornier (Counsel, Corporate/M&A), Nicolas Martin (Collaborateur, Corporate/M&A/ Commercial), Robert d’Orglandes (Collaborateur, Corporate/M&A), Perrine Fuchs (Collaboratrice, Commercial), Anne-Katharina Albrand (Collaboratrice, Commercial), Joséphine Combret (Collaboratrice, Commercial), Xavier Pernot (Associé, Commercial/ Litigation), Pauline Fossat (Collaboratrice, Commercial/ Contentieux), Chloé Abgrall (Collaboratrice, Immobilier), Thibault Mercier (Collaborateur, Financement), Frédéric Sardain (Associé, PI), Marie Monteil (Collaboratrice, PI), Sophie Boinnot (Collaboratrice, PI), Adrien Fourmon (Counsel, conseil en Réglementation), Anthony Bron (Collaborateur, Réglementation), Gabriel Di Chiara (Counsel, Conseil Fiscalité), Laetitia Ternisien (Associée, Social), Océane Demoulin (Collaboratrice, Social).

 

Jeantet a travaillé aux côtés du cabinet d’avocats américain O’Melveny & Myers LLP, l’équipe était composée de Tobias L. Knapp (Associé), Viquar Shariff (Counsel) et Charles Baker (Associé).

 

Molotov SAS a été conseillée par McDermott Will & Emery avec Grégoire Andrieux (Associé), Herschel Guez (Counsel) et Marianne Zwobada (Associate).

 

Scotto Partners avec Lionel Scotto Le Massese (Associé), Coralie Ogier (Associée), Anaïs Pinton (Collaboratrice) et Tania Lozano (Collaboratrice) sont intervenus comme conseil conjoint des vendeurs.

 

Gide Loyrette Nouel a conseillé Eurazeo Investment Manager – EIM avec David-James Sebag (Associé). Weil Gotshal & Manges LLP a conseillé NJJ Holding, la société holding de Xavier Niel, avec Frédéric Cazals (Associé) et Goodwin Procter (Londres) a conseillé Sky Ventures Limited avec Andrew Davis (Associé).