La révolution proposée par la gestion prédictive de la maintenance des collèges et lycées sur la transition énergétique et les marges de manœuvre budgétaires des Départements et Régions

#ÉLECTIONS #DÉPARTEMENTS #RÉGIONS #LYCÉES #COLLÈGES

#RÉNOVATION #EMPREINTEÉNERGITIQUE #SÉCURITÉ

Alors que la campagne électorale pour le renouvellement des exécutifs départementaux et régionaux est véritablement lancée, la question de l’état des établissements scolaires est au cœur des débats. Rénovation en urgence, construction massive, les candidats ont à cœur de proposer des solutions pour offrir aux collégiens et lycéens toujours plus nombreux comme pour les personnels qui y travaillent, des bâtiments et équipement annexes, sûrs, pratiques et qui répondent aux exigences de décarbonation.

Oxand, spécialiste de la gestion prédictive des bâtiments et des infrastructures #PredTech, alerte sur le coût exorbitant pour les générations futures et sur l’inefficience énergétique du non-pilotage de la maintenance des bâtiments et propose de changer d’approche : plutôt que de raisonner au « coup par coup », Oxand recommande d’adopter une logique de « parc ». En bref, « anticiper plutôt que de subir » la maintenance et les travaux afin de permettre aux collectivités territoriales de réduire le coût total de possession (fonctionnement et investissement sur le cycle de vie) de ce patrimoine.

Les collectivités territoriales, dans le contexte de la relance et de la rénovation énergétique des bâtiments, ont besoin de mieux connaitre leur patrimoine, d’adopter un référentiel de décision et de concevoir des trajectoires d’investissement efficaces. L’objectif est notamment d’être capable d’investir au bon endroit, au bon moment et à moindre coût. Les solutions prédictives permettent de piloter ces trajectoires d’investissement et de transition énergétique en étant efficace budgétairement et énergétiquement dans la durée.

Les bâtiments scolaires sont aujourd’hui « pris en étau » entre le vieillissement des infrastructures et les contraintes de gestion.

Les bâtiments scolaires se caractérisent par une forte densité d’usage et une maintenance trop corrective qui pèse pour 15 à 20% des budgets des collectivités.  Les bâtiments sont donc en surexploitation. A titre illustratif, les lycéens sont 4 fois plus nombreux qu’il y a 40 ans avec en conséquence un nombre d’élèves par classe qui n’a cessé d’augmenter. 40% du parc immobilier pour le secondaire a été construit dans les années 70 et les investissements actuels restent insuffisants pour compenser ce vieillissement. Avec des budgets de fonctionnement de plus en plus contraints, chaque département, chaque région doit s’interroger sur le retour sur investissement de l’enveloppe pluriannuelle de travaux : connaître précisément l’état et la performance de son patrimoine, collecter et numériser les données utiles puis prioriser pour chaque établissement les campagnes de travaux. C’est un travail accessible et indispensable pour conduire une véritable politique de maintenance des bâtiments scolaires. Des logiciels disposant nativement de modèles prédictifs peuvent faciliter et objectiver la prise de décision en réduisant les risques et en s’appuyant sur des indicateurs partagés.

Cette approche par la gestion prédictive est révolutionnaire dans l’univers public : elle offre la possibilité de savoir comment les bâtiments vont évoluer, de ce fait où et quand intervenir en priorité pour éviter d’avoir à conduire des travaux en urgence, toujours extrêmement coûteux.

Il s’agit de changer de culture pour passer de la simple maintenance corrective avec un budget travaux qui croit sans cesse avec le vieillissement des bâtiments à une planification dynamique et réactive des investissements. La valeur créée est très importante : maîtrise des risques, baisse des coûts, trajectoire de réduction CO2, amélioration du confort et de l’image véhiculée par les bâtiments.

Sur la performance énergétique

Cette approche par les risques permet en outre de se lancer dans une politique objectivée de réduction des dépenses thermiques (30% du budget de collectivités est affecté à ces dépenses). Les estimations chiffrent la rénovation énergétique des bâtiments scolaires à 40 milliards d’€ d’investissement sur dix ans. Vu son ampleur, ce budget ne pourra pas être mobilisé à court terme par les collectivités. Tout en affirmant sur le moyen-long terme une trajectoire volontariste de rénovation, il faudra prioriser pour se conformer au décret tertiaire qui impose de disposer de trajectoires de réduction à l’horizon 2050 d’émission de CO2.

Des collectivités ont passé le cap

La Meuse, les Alpes-Maritimes, le Val-d’Oise mais aussi la Bourgogne-Franche-Comté.
Ce sont des collectivités très différentes mais qui ont le besoin commun d’anticiper plutôt que de subir la rénovation de leurs établissements scolaires. Ces acteurs ont souhaité avancer vite notamment pour préparer les nouvelles mandatures, dans une logique de digitalisation du pilotage de leur maintenance et leurs travaux.

 

Quelques chiffres

 

·        7 713 établissements scolaires en régions et départements (x3 en 40 ans)

·        3,43 millions de collégiens (x1,5 en 40 ans)

·        1,63 millions de lycéens (x4 en 40 ans)

·        Les bâtiments scolaires représentent 50% des bâtiments des Régions et des Départements

 

 

Focus IDF

 

·        16% du budget en IDF consacré à la rénovation des lycées

·        465 lycées publics à entretenir

·        422 M€ de budget rénovation pour la région contre 84 M€ pour la construction de lycées neufs (source BP)

 

A propos d’Oxand –

Fondée en 2002, Oxand est le leader européen de la PredTech spécialisée dans la gestion prédictive et l’optimisation durable de la performance des actifs immobiliers et des infrastructures. La société, issue d’un essaimage stratégique d’EDF a constitué depuis près de 20 ans une base de données unique sur le vieillissement et les coûts de maintenance  des bâtiments et des infrastructures à partir de laquelle elle simule le cycle de vie des bâtiments et des infrastructures privés et publics. Oxand permet aux gestionnaires de ces actifs de mieux les gérer et les rendre plus durables.

La société a déjà réalisé 3000 projets en Europe et possède 10 000 modèles prédictifs. Oxand a réalisé 14 M€ de chiffre d’affaires en 2020  et compte quatre-vingt collaborateurs, dont 2/3 de consultants métier, data scientists et experts en France, Suisse et aux Pays-Bas. Elle est dirigée par Rémy Jacquier. Plus sur www.oxand.fr

 

Contacts médias

Agence Ozinfos

Marie-Céline Terré – 06 09 47 47 45

Clémentine Venisse – 07 50 43 30 23

oxand@ozinfos.com

 

EDF impliqué dans des violations des droits humains au Mexique : le silence coupable de l’État français

Paris/Mexico City/Berlin, 10 juin 2021 – Pendant des années, la France a fermé les yeux sur les violations massives des droits des peuples autochtones et des droits humains commises en marge d’un projet mené par l’entreprise publique Électricité de France (EDF) – une entreprise dont l’État détient 83 % du capital. L’État français viole ainsi ses obligations en vertu du droit international. Ce constat est au cœur du rapport « Vigilance hors tension« , publié aujourd’hui par le CCFD-Terre Solidaire (France), ProDESC (Mexique) et le Centre européen pour les droits constitutionnels et humains – ECCHR (Allemagne). Cela fait suite à l’assignation en justice de l’entreprise publique EDF par les associations et des défenseur·es des droits de la communauté d’Unión Hidalgo en octobre 2020.

Consulter le rapport  en cliquant ICI

L’énergéticien français EDF envisage la construction d’un parc éolien sur le territoire autochtone de la communauté d’Unión Hidalgo, dans une région sujette à des violences massives et aux meurtres de défenseur·es des droits. Jusqu’à présent, le droit de la communauté de donner son consentement sur ce projet n’a pas été respecté, en violation de son droit à un consentement libre, informé et préalable. Plutôt que de prévenir ces violations en adoptant les mesures requises au titre de son devoir de vigilance, EDF a interféré dans le processus de consultation de la population autochtone, entraînant une polarisation importante de la communauté et l’escalade de la violence envers les défenseur·es des droits humains et du territoire autochtone d’Unión Hidalgo.

Mais, alors que l’État français et l’Agence des participations de l’État (APE) détiennent la majorité du capital d’EDF,  le silence des autorités françaises persiste.

Dans le rapport publié ce jour, “Vigilance hors tension”, le CCFD-Terre Solidaire, le ECCHR et ProDESC dénoncent les manquements au devoir de vigilance et au droit international de l’État français, dont l’apathie coupable alimente les violations des droits humains à Unión Hidalgo. Une apathie d’autant plus coupable qu’au cœur du droit international des droits de l’Homme se trouve l’obligation des États de prendre des mesures de diligence raisonnable lorsque des acteurs – y compris économiques – se trouvant sous sa juridiction et son contrôle sont impliqués dans des violations des droits humains.

La publication de ce rapport est le dernier épisode d’une série d’alertes et de procédures judiciaires déclenchées, depuis 2017, par la population zapotèque d’Unión Hidalgo et diverses associations de solidarité internationale et de protection des droits humains. Néanmoins, depuis trois ans, c’est l’ensemble de l’appareil d’État français qui demeure silencieux tandis que le projet éolien de l’entreprise publique EDF – et donc de la France – continue d’alimenter les violations aux droits fondamentaux de la population zapotèque d’Unión Hidalgo.

Swann Bommier, chargé de plaidoyer au CCFD-Terre Solidaire: “Dans six mois, la France prendra la présidence de l’Union européenne. La question d’une directive européenne relative au devoir de vigilance des multinationales devrait figurer en haut de l’agenda. Et en même temps, la France continuera d’apporter son soutien à EDF, impliqué dans des violations aux droits humains des peuples autochtones au Mexique. Un tel double langage, un tel cynisme ne peut perdurer”.

Cannelle Lavite, juriste entreprises et droits humains au ECCHR: ”Bien qu’actionnaires majoritaires d’EDF, l’État français et l’APE n’ont pris aucune action appropriée afin de prévenir les violations des droits d’Unión Hidalgo liées au projet Gunaá Sicarú. Selon son devoir de vigilance, EDF doit respecter les droits humains dans ses activités. En vertu du droit international, l’État français a quant à lui l’obligation de respecter et de protéger les droits humains. Cette obligation ne s’arrête pas à ses frontières. Les États doivent s’assurer que les entreprises sous leur juridiction et leur contrôle ne s’engagent pas dans des activités préjudiciables à l’exercice des droits de humains, y compris à l’étranger”.

Alejandra Ancheita, fondatrice et directrice de ProDESC : « Au fil de notre travail aux côtés de la communauté d’Unión Hidalgo et de documentation de leurs luttes, il nous paraît limpide qu’EDF et l’État français portent une responsabilité dans l’environnement hostile auquel font face les défenseur·es des droits humains dans cette région du Mexique. La communauté  d’Unión Hidalgo et ses défenseurs font face à des menaces qui, dans un pays comme le Mexique, requièrent l’attention urgente de la communauté internationale, et principalement le respect réel de la loi et des droits de l’homme par EDF« .

Contacts presse:

Amine Moussaoui / amine@ozinfos.com / 06 27  26 49 64

Clémentine Venisse / clementine@ozinfos.com / 07 50 43 30 32

La FIRPS intervient à la première édition du congrès Télétravail 22 & 23 juin 2021

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux) partenaire institutionnel du congrès Télétravail, premier évènement professionnel dédié aux impacts du télétravail au sein des organisations publiques et privées, animera un atelier et une conférence pour faire le point sur l’évolution de la pratique et ses nouveaux enjeux et trouver des pistes et des solutions concrètes à la mise en place optimisée du télétravail.

Alors que le télétravail s’installe durablement dans le quotidien de nombreux salariés, le Congrès Télétravail propose un programme de conférences-débats autour des enjeux du développement de cette pratique, et un programme d’ateliers pour s’informer sur les best practices.

La FIRPS, qui regroupe les principaux acteurs de la prévention des RPS et du management de la QVT, s’intéresse à cette transformation de l’exercice du travail et souhaite présenter ses recommandations pour un télétravail qui ne nuit pas à la santé des salariés.

Mercredi 23 juin, de 11h à 11h30

François Cochet, président de la Firps et Directeur des activités Santé du cabinet Secafi, animera en présentiel à Lyon avec retransmission simultanée, une conférence sur le thème « Vers un télétravail vertueux en termes de prévention des RPS / le télétravail bon pour la santé ou si… ».

  • Les conditions à réunir pour que le télétravail favorise de bonnes conditions de travail sont désormais bien identifiées : volontariat, confiance du management, autonomie dans la réalisation des tâches. Mais cet édifice est fragile et risque de s’altérer dans la durée. Il peut aussi conduire à la déqualification, à la marginalisation, aux tensions avec les collègues. L’atelier portera sur les vigilances indispensables pour un télétravail socialement responsable.

Par ailleurs, Ivan Mattioni, consultant RPS au sein du cabinet Stimulus coanimera le mercredi 23 juin de 9h à 10h un atelier sur le thème « Risques psychosociaux : comment résoudre la face cachée télétravail ? Outils et méthode » aux côtés de Maître Jean-Michel Mir, Avocat associé chez Capstan Avocats et Partenaire du Club des Juristes, Léopold Denis, Moodwork Chief Operating Officer, Caroline Diard, Professeur associé en Management des RH et Droit et membre de l’AGRH et Hervé Rabec, Directeur général SEST – Service aux Entreprises pour la Santé au Travail.

Merci de vous inscrire par retour de mail : firps@ozinfos.com

Les inscriptions sont ouvertes : https://www.congresteletravail.com/inscription

À propos de la FIRPS

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), créée en 2011 et présidée par François Cochet, (groupe SECAFI), compte 19 acteurs significatifs et reconnus, regroupant plus de 600 consultants spécialistes de la prévention des RPS et du management de la QVT, réunis autour du partage de valeurs fortes pour l’exercice de leur métier. Elle s’est dotée dès sa création d’un code de déontologie qui régit un mode d’exercice de ses membres dans le respect d’une éthique commune. Elle a depuis 2016, publié une série de travaux visant à promouvoir des bonnes pratiques au sein d’une profession encore jeune. Ces travaux destinés en priorité aux professionnels en entreprise ou en cabinet, abordent des questions présentes à l’agenda des DRH : la question du suicide au travail, les RPS lors des restructurations, la déontologie dans la pratique de l’assistance psychologique à distance. Elle prend également part au débat public par la publication de manifestes :  Six propositions pour faire de la santé au travail un enjeu national, propositions pour la mission Santé au travail ». Tous sont disponibles en téléchargement gratuit sur le site de la FIRPS – www.firps.org – @firps_org –

Cabinets membres de la FIRPS

ABSILIA, ACTEMS CONSEIL, AXIS MUNDI, BELLEDONNE RH, BE POSITIVE, ÉKILIBRE CONSEIL, ÉLÉAS, GAE CONSEIL, IAPR, ICAS FRANCE, INC/ IME, ISAST, GROUPE JLO, QUALISOCIAL, REHALTO/ WORPLACE-OPTIONS, SANTÉ PARTNERS, SECAFI, STIMULUS/ PSYA, USIDE.

Contacts médias

Agence Ozinfos : Marie-Céline Terré / Clémentine Venisse

Tél : 06 09 47 47 45 / 07 50 43 30 32 – firps@ozinfos.com

 

LA PHARMACIE CHAUSSEE D’ANTIN DOUBLE DE SURFACE ET DEVIENT LA FIGURE DE PROUE DES PHARMACIES CARRÉ OPÉRA DU GROUPEMENT

#Paris – #GrandsMagasins

#Travaux- #Santé – #Beauté – #Para

 

 

Paris, le 1er Juin 2021 – Alors que les français et bientôt les touristes étrangers, retrouvent le chemin des Grands magasins, la pharmacie de la Chaussée d’Antin, nichée au cœur du Paris de la mode et des affaires, après 8 mois de travaux, double de surface et devient le fer de lance des 3 officines du groupement qui développent, sous le label Carré Opéra, un concept urbain et premium axé sur la santé, la beauté et le bien être.

La pharmacie de la Chaussée d’Antin propose sur 700m² répartis sur 2 étages et sous une magnifique verrière très parisienne, 3 espaces distincts dans un même lieu : Santé, Parapharmacie et Beauté.

La plus parisienne des pharmacies

Se situant au cœur de Paris proche des Galeries Lafayette Haussmann, la pharmacie fait partie du patrimoine incontournable de cette ville et du quartier.

Avec son approche résolument contemporaine et parisienne, la pharmacie Carré Opéra Antin est à la pharmacie ce que les Galeries Lafayette sont au Grands Magasins tant dans son design, que son offre « tout sous le même toit ».

La pharmacie Carré Opéra de la chaussée d’Antin s’affirme comme le spécialiste parisien de la santé, beauté et du bien-être.

 

Un nouveau lieu de shopping santé-beauté

Une offre produit enrichie de plus de 60 nouvelles marques pour répondre à toutes les attentes et tous les besoins des clientes au meilleur prix.

  • Des exclusivités à ne trouver nulle part ailleurs comme La Crème Libre, Horace, Bglen, Elemat ou Sarmance !
  • Des nouvelles marques premium et de niches : Novexpert, Neostrata, Esthederm, Minimalist, Antipodes, Compagnie de Provence…
  • La part belle donnée aux marques de cosmétiques bio/naturelles : Avril, Saeve, Korres, Apivita, Respire, Dr Hauschka, Algologie…
  • Des produits qui répondent aux nouvelles tendances de consommation comme le « VRAC » pour les produits d’hygiène, les cosmétiques « Do It Your Self » et les cosmétiques solides.
  • Pour prendre soin des Bébés…une offre élargie et plus naturelle avec l’arrivée de Ouate, Biarritz, Too Fruit, Baby Bio et même du maquillage enfant avec Namaki …
  • Une offre diététique plus que doublée (Flamant vert, La Graveline, Le Stum…)
  • Des nouvelles marques capillaires (Christophe Robin, Korres, Arganicare…)
  • Une offre maquillage complète et naturelle (Zao, Manucurist…)
  • Un nouvel espace senteurs et parfums (Durance, 100bon…)

Un nouveau lieu d’expériences clients

La pharmacie Carré Opéra Antin propose une officine lumineuse, résolument moderne, fourmillante de propositions beauté pour la clientèle de passage et de proximité.

Le parcours client a été pensé pour être fluide et agréable, autour d’un escalator et d’une verrière, des allées larges et lumineuses, un agencement organisé pour que tous les produits soient facilement accessibles.

Les espaces sont structurés par une signalétique résolument moderne rompant avec les codes actuels de la pharmacie.

Un espace pop-up et une table make up sont installés autour d’animations éphémères et expérientielles permettant de découvrir des marques de beauté exclusives et innovantes !

La pharmacie propose également un espace de diagnostic capillaire avec un bac à shampoing, et une cabine de soin esthétique animée par des marques.

Et pour une expérience client aboutie, une gestion des paniers shopping avec une prise en charge ou non du client selon la couleur du panier !

« Véritable ambassade de la pharmacie française au cœur du Paris que fréquentent les touristes, le Groupement propose une vision premium et axée beauté de la pharmacie. Cette très grande officine par son agencement garde une atmosphère de magasin et propose une autre dimension à notre présence dans la capitale », déclare David Abenhaim, Président du Groupement.

 

La pharmacie Carré Opéra Antin : une pharmacie de pharmaciens… connectés

 

Sur le volet santé, la pharmacie, transférée à l’étage pour lui donner un côté plus intimiste, a renforcé son offre et initié de nouveaux services comme :

  • La cabine de télémédecine, vaccination ou dépistage (tests antigéniques Covid-19 et PCR en collaboration avec un laboratoire d’analyse médicale via Doctolib pour la prise de rendez-vous)),
  • L’espace orthopédique et son offre plus complète (Chaussures Bickenstock et Scholl) accompagné des conseils d’une orthopédiste dans un salon dédié à l’essayage pour le sur mesure ou non.
  • L’espace de nutrition et son offre large de produits bio, pour tous, à bons prix, pensés pour chacun. Une nutritionniste est présente et propose un bilan nutritionnel complet

La pharmacie est la toute première à s’être dotée de l’impédancemètre « In Body », l’outil idéal et indispensable pour proposer des programmes de nutrition sur mesure après une analyse précise de la composition corporelle.

La pharmacie Carré Opéra Antin c’est également une expérience omnicanale complète.

Des services plébiscités par les clients comme le service de scan ordonnance qui permet d’envoyer son ordonnance, la faire préparer à l’avance et récupérer ses médicaments sans attente ; le service de « click and collect » assuré par un des premiers « Lockers » installé en pharmacie et accessible depuis le site internet de la pharmacie, le service « click & delivery ». Carte de fidélité et réseaux sociaux assureront le lien entre les clients et l’actualité de la pharmacie.

Engagée, la pharmacie Carré Opéra dispose d’une zone de tri accessible aux clients pour le recyclage des emballages cosmétiques en partenariat bavec Terra Cycle et la collecte des déchets médicaux (médicaments, seringues…).

Avec 16 postes d’encaissement dont 7 à l’étage (dédiées aux ordonnances et l’OTC), la pharmacie propose pour éviter toute attente prolongée, la pharmacie dispose de 3 bornes de gestion de file d’attente

« En donnant davantage de spécificité à notre approche de la pharmacie, nous déclinons par des services de santé de proximité, des avancées servicielles notre métier de pharmacien tout en faisant aux touristes et à nos habitués, des propositions inédites sur l’axe beauté en pharmacie. Résolument tournés vers l’avenir, c’est en imaginant la pharmacie de demain que ce nouveau projet est né. » souligne Daniel Machover, titulaire de la pharmacie

La Pharmacie Carré Opéra de la Chaussée d’Antin en chiffres

  • Ouverture 6j/7 du lundi au vendredi de 8h à 20h30 et le samedi de 9h30 à 20h30
  • 700m2 de surface commerciale + locaux stockage et sociaux pour une surface totale de 900m2
  • + de 15 000 références
  • 60 nouvelles marques/laboratoires
  • Un espace de stockage et les locaux sociaux pour le personnel sur 200 m2
  • 16 postes d’encaissement dont7 caisses d’ordonnances et OTC à l’étage
  • 7 mois de travaux (Octobre 2020 à avril 2021)

En dépit de la pandémie du Covid-19 qui depuis près de 18 mois affecte la santé des Français et l’économie, les pharmaciens du groupement Pharmabest n’ont pas cessé d’investir dans leurs officines pour s’adapter aux nouvelles attentes de santé des Français et leur proposer une expérience en magasin, rassurante, experte et étonnante.

Pour mémoire, Pharmabest est présent en Ile de France avec 28 pharmacies

A Paris :

  • Pharmacie Forum des Halles, 305 Porte Lescot BP 174, Paris (75045)
  • Grande Pharmacie Bailly – 15 rue de Rome, Paris (75008)
  • Pharmacie Carré Opéra Chaussée d’Antin, 54 rue Chaussée d’Antin, Paris (75009)
  • Pharmacie Opéra Mogador (des Galeries) – 11 rue Mogador, Paris (75009)
  • Pharmacie Haussmann Opéra, 19 boulevard Haussmann, Paris (75009)
  • Pharmacie Principale Porte d’Orléans, 4 Place du 25 août 1944, Paris (75014)
  • Pharmacie St-Fargeau– 112 Avenue Gambetta, Paris (75020)

En Seine et Marne :

  • Pharmacie Jaugeon, Centre commercial Carrefour Route Nationale, Claye Souilly (77410)
  • Pharmacie Khun Bay 1, Centre de loisir Bay 1 promenade du 7è art, Torcy (77200)

Dans les Yvelines :

  • Pharmacie du Centre, Centre commercial Velizy 2, Velizy Villacoublay (78140)
  • Pharmacie du Trianon, Centre commercial Parly 2, Le Chesnay (78158)
  • Grande Pharmacie de Poissy, 99 rue du Général de Gaule, Poissy (78300)
  • Pharmacie 201, 280 Avenue Gabriel Pen Centre commercial Carrefour, Montesson (78360)

Dans l’Essonne :

  • Pharmacie Yaiche, Centre commercial carrefour 180 avenue François Mitterand, Athis Mons (91200)
  • Pharmacie Centrale, Centre commercial Carrefour, La Ville du Bois (91620)

Dans les Hauts de Seine :

  • Pharmacie des Quatre Temps, centre commercial les 4 temps, Paris la défense (92092)
  • Grande Pharmacie Jaurès, 219 Bis, Boulevard Jean Jaurès, Boulogne Bilancourt (92100)
  • Pharmacie Amar Maurière Zinsius, 38 rue Diderot, Issy Les Moulineaux (92130)

En Seine Saint Denis :

  • Grande Pharmacie de la Croix de Chavaux, 1 avenue de la Résistance Centre commercial de la Croix de Chavaux, Montreuil (93100)
  • Pharmacie du Cora Livry Gargan, 2 allée de l’Est, Livry Gargan (93190)
  • Grande Pharmacie des 4 chemins-Pantin, 74 avenue Jean Jaurès, Pantin (93500)
  • Pharmacie du Vieux Pays, Centre commercial Aeroville Cargo 4, Tremblay en France (93290)
  • Pharmacie Zemiro, Centre commercial Bel Est, 28 avenue du Général de Gaulle, Bagnolet (93170)
  • Pharmacie Pyramide, centre commercial Auchan, 8 route de Saint Leu, Villetaneuse (93430)
  • Pharmacie du centre Basilique, 1 place de la Halle, Saint Denis (93200)
  • Pharmacie de la République, 83 rue de la République, Saint-Denis (93200)

Dans le Val de Marne :

  • Pharmacie Val de Fontenay, centre Commercial Val de Fontenay avenue Maréchal Joffre, Fontenay Sous Bois (94120)

Dans le Val d’Oise :

  • Pharmacie Bensimhon, 22 Avenue Robert Schuman, Saint-Brice-Sous-Foret (95350)

A propos de Pharmabest

Pharmabest s’est hissé en cinq ans parmi les tous premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe au 1er février 2021, 98 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse, à la Martinique, à la Réunion, et en Guadeloupe. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 840 millions d’euros à fin 2020. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’Ordre accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 16 millions d’ordonnances par an. Pharmabest, est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 800 000 abonnés et 70 marques – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement 100% naturelle autour d’une gamme de compléments alimentaires et d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de pré-dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site ombrelle du réseau  www.pharmabest.com – novembre 2019, lancement du Click & Collect  – janvier 2020 : la politique zéro plastique en pharmacie. Novembre 2020 : lancement de la campagne de dépistage du Covid-19.

Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur internet, dans une application et avec un magazine mensuel distribué à 480 000 exemplaires. Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur Général, Alain Styl.

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Agence Ozinfos

pharmabest@ozinfos.com

Marie-Céline Terré – 06 09 47 47 45 / Esteban Algrain- 07 72 21 76 48.

2 millions de salariés sont en burnout sévère à l’aube du retour au bureau

ÉTAT PSYCHOLOGIQUE DES SALARIÉS

 

44% des salariés sont en situation de détresse psychologique (- 1% depuis mars)

36% des salariés sont en dépression nécessitant un traitement (= depuis mars)

2 000 000 de salariés en situation de burnout sévère (2X plus en 1 an)

80% des DG/DGA en situation de détresse psychologique.

56 000 000 de journées de travail perdues pour des raisons de santé psychologique depuis la COVID19

 

Paris le 26 MAI 2021 – Alors que le retour au bureau total ou hybride est au cœur des préoccupations des pouvoirs publics, des salariés, des entreprises, et que la vaccination en entreprise peine à trouver son rythme de croisière, cette 7ème vague du baromètre Empreinte Humaine de la santé psychologique des salariés en période de crise questionne l’évolution de la détresse psychologique des salariés français depuis le début de la crise. Il interroge aussi le taux de burn-out, l’impact du confinement avec enfants, la confiance des salariés envers leur direction générale, les effets du télétravail dans la durée notamment à l’égard du management, et enfin le retour dans les locaux et ses effets (nouvelles attentes, craintes, besoins d’accompagnement)

« Ces chiffres sont très inquiétants. Si la détresse psychologique n’évolue pas beaucoup elle demeure à un niveau très important. Mais le taux de burnout a doublé en un an culminant à 2 000 000 de personnes en burnout sévère. Avec de tels chiffres, dans un contexte de retour dans les bureaux, on peut s’attendre malheureusement à une nouvelle explosion des arrêts maladie dans les prochains mois. » pointent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

La détresse psychologique des salariés reste à un niveau élevé

Les indicateurs de l’état psychologique des salariés demeurent très inquiétants même si l’on observe une stagnation. Ainsi la détresse psychologique des salariés français reste importante à 44% (-1 pts par rapport à mars 2021) dont 17% élevée (=) de même que le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés qui se maintient à 36% (dont 21% risquant une dépression sévère).

Ce sont au total 2 000 000 de salariés qui sont en burnout. Les salariés au chômage technique total sont quant à eux 56% à présenter un risque dépressif. Enfin 15% des salariés disent avoir été absents pour raison de santé psychologiques depuis un an, le nombre moyen de jour d’absence par salariés s’établissant à 2,83 soit 56 000 000 journées de travail.

Pas de santé physique sans santé mentale

Les plaintes somatiques ont également augmenté en 1 an. 40% des salariés déclarent avoir des problèmes de sommeil, ce qui peut être interprété aussi comme des indicateurs de détresse psychologique ou de risque dépressif. Plus le temps passe plus ces risques sont importants, comme souvent dans les problèmes de santé psychologique, le facteur temps joue et les conséquences sur la santé globale sont à anticiper.

Les dirigeants et les managers frappés de pleins fouet

Parmi les foncions les plus exposées à la détresse psychologique, le top management tient le haut du pavé avec 80% pour les directions générales, devant les présidents et les DRH à 61% et les managers avec 52% souffrant de détresse psychologique. C’est particulièrement vrai chez les dirigeants de PME/TPE.

« Le cas des dirigeants est vraiment préoccupant et des actions de prévention doivent être mises en œuvre pour les soutenir spécifiquement et compléter les mesures de soutien économique. Les DRH sont touchés depuis un an car ils sont au centre de la crise dans les entreprises : au croisement des enjeux économiques, humains, sociaux et juridiques » commente Jean-Pierre BRUN

L’insécurité de l’emploi facteur de détresse psychologique

L’insécurité de l’emploi est depuis toujours un facteur de détresse psychologique mais dans un contexte de crise elle pèse beaucoup plus lourd dans l’état de santé psychologique des salariés.  Ainsi ¼ des salariés disent avoir peur de perdre leur emploi générant un taux de détresse psychologique pour 61% d’entre eux. Elle est sans surprise beaucoup plus forte chez ceux en chômage technique avec 49% d’entre eux qui ont peur.

« La santé psychologique de ces populations sera un élément clef dans leur capacité de rebond ou lors de la reprise. C’est un facteur très important à prendre en compte et qui aura nécessairement un impact sur la relance économique du pays » pointe Christophe NGUYEN

Le constat amer de la confiance vis à vis des entreprises

Avec la crise, 4 salariés sur 10 affirment avoir perdu confiance envers la direction générale de leur entreprise et 2/3 des salariés pensent que les entreprises n’assument pas les dégâts psychologiques qu’elles provoquent et 6 salariés sur 10 pensent que leur direction ne se rend pas compte de l’état psychologique des salariés et n’agit pas en fonction.

« Ces résultats montrent un certain manque de confiance des salariés envers leur direction générale depuis la crise COVID19. Aux yeux des salariés, les directions générales ne leur paraissent pas conscientes de la situation de leur état psychologique. Les résultats sont assez révélateurs d’un besoin d’agir différemment sur les thématiques de prévention des risques psychosociaux en entreprise. Les labels n’étant pas suffisants. La question du bien-être psychologique doit être portée par les comités de direction. » analyse Christophe NGUYEN

 La santé psychologique des parents salariés

  • 50% des parents salariés estiment que le télétravail affecte le développement de leur enfant.
  • Télétravailler avec un enfant de – 18 ans est un facteur de détresse psychologique pour 60% quand l’enfant est en maternelle et 54% quand l’enfant est en primaire.
  • 59% d’entre eux sont en situation de détresse psychologique quand les enfants ne sont pas retournées à l’école pendant le 3ème confinement.

« Le télétravail se marie définitivement mal avec les enfants en bas âge à la maison. Dans certaines entreprises, on remarque ainsi que les salariés parents reviennent particulièrement dans les locaux le mercredi. La fermeture des écoles, dont les modalités ont été différentes du 1er confinement, a tout de même eu un impact en particulier quand les enfants ne sont pas retournés à l’école pendant le confinement. » soulignent Jean-Pierre BRUN et Christophe NGUYEN

L’exposition toujours élevée des télétravailleurs et l’autocensure.

Contrairement au début de la crise, les télétravailleurs sont toujours les plus exposés à la détresse psychologique. Ils font malgré tout la part des choses : après la crise, le souhait de rester en télétravail à 100% reste minoritaire mais quasiment 8/10 veulent pouvoir télétravailler 1 à 3 jours par semaine. Les managers sont les plus en difficultés car « empêchés » de pouvoir « bien manager ». La pérennisation du télétravail devra passer par des évolutions managériales, des changements d’organisation du travail et notamment la réduction de la taille des équipes pour 1 manager / 2.

Une des raisons du maintien de ces niveaux importants de risques psychosociaux liés au travail est la difficulté à s’exprimer dans l’entreprise. 50% des salariés expriment avoir des difficultés psychologiques liées au travail. Parmi eux, la moitié n’osent pas en parler, a peur d’être stigmatisée, et sait pas à qui parler, ou le manager peut aussi nier ses propres difficultés…  On constate toujours un déficit en matière de prévention des risques psychosociaux et d’ancrage culturel de la sécurité psychologique dans les entreprises pour permettre les actions d’accompagnement et de prévention et en premier lieu son expression bienveillante.

La crainte du retour au bureau

Le retour dans les locaux doit être accompagné. La majorité des salariés pense que le retour est nécessaire pour la cohésion d’équipe. Il est illusoire de penser qu’on reviendra comme avant. La qualité du management, des relations et de l’organisation du travail post crise sera décisive y compris pour la rémission psychologique. Les pratiques de management et d’équipe devront changer dans un contexte plus hybride du travail. Les salariés sont marqués par plus d’un an de crise qui est devenue une crise du travail. Les vécus et souhaits de retour sont très disparates entre les salariés (75% des télétravailleurs ne veulent pas revenir au bureau « comme avant » vs 30% chez les non-télétravailleurs), ce qui joue sur l’érosion du sentiment collectif d’appartenance et peut être un facteur de tensions entre les personnes notamment. Le risque est l’apparition de drame humain, craint par 1/3 des salariés. On sait que l’agressivité et l’hostilité sont des corolaires de la détresse psychologique.

Méthodologie de l’étude :

La 7ème vague du Baromètre « Impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés » OpinionWay pour Empreinte Humaine, a été réalisée en ligne. Le recueil a été fait du 30 avril au 10 mai 2021 auprès d’un panel représentatif de 2007 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.  

La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’être atteintes de troubles mentaux sérieux.  Le questionnaire utilisé pour mesurer la résilience est également un questionnaire validé et qui a fait l’objet de nombreuses publications internationales.

 

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la santé psychologique et la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

Contacts presse

Agence Ozinfos

Esteban ALGRAIN / Amine MOUSSAOUI

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com

Le retour au bureau : un enjeu d’engagement et de fidélisation des talents pour le « monde d’après »

Partis le 17 mai 2021 – De confinements en dé-confinements successifs, la crise sanitaire a obligé les entreprises à repenser dans l’urgence leur organisation sur les lieux de travail, pour respecter les recommandations gouvernementales et protéger leurs salariés. Tout en assurant au maximum leur continuité opérationnelle, dans un contexte tout aussi inédit, qu’incertain, elles ont géré les mesures de confinement, de suspension des activités, de télétravail et des moyens logistiques ou matériels. Les directions de l’environnement de travail (des services généraux ou Facility Management) ont endossé une large part de cette responsabilité en faisant preuve de résilience pour s’adapter à ces nouvelles donne sur les lieux de travail. A l’heure du troisième déconfinement, annoncé pour le 9 juin, elles doivent prendre en compte dès à présent toutes les dimensions que cette crise a imposées : la sécurité sanitaire, le confort des salariés, le réaménagement des espaces de travail mais aussi la productivité donc la performance de l’entreprise.

Le casse-tête du travail hybride

Avec l’expérimentation de modes de travail hybrides imposés, les salariés sont nombreux à souhaiter conserver les bénéfices du travail hybride : gain de temps de transport, autonomie, équilibre vie privée/vie professionnelle, efficacité… tout en exprimant leur souhait de retrouver leurs collègues et une vie professionnelle plus normale. Ces derniers mois ont suscité chez de nombreux salariés des envies de changement et de renouveau. La réouverture des bureaux ne doit pas être pensée comme un « retour à la vie d’avant », les modalités du travail sont devenues flexible et les salariés n’envisagent plus le bureau comme avant. Les entreprises de la Silicon Valley reviennent du 100% télétravail et plébiscitent désormais le mode de travail hybride.

Cette nouvelle donne impose aux entreprises de revoir l’usage des bureaux au-delà de la seule optimisation des surfaces. Repenser les espaces communs, les lieux de rassemblement comme les restaurants d’entreprises sont d’ores et déjà acquis. Anticiper une potentielle fuite des talents au moment de la reprise passe aussi par l’expérience « bureau » proposée aux salariés.

Vers un bureau, espace de vie et de socialisation

Les directions de l’environnement de travail en étroite collaboration avec les DRH et les directions générales vont devoir faire preuve d’imagination et de créativité pour concilier optimisation de leur empreinte immobilière et expérience collaborateurs dans des bureaux repensés, afin de continuer à fidéliser et attirer les talents.

Le flexoffice qui s’impose progressivement permet de favoriser les espaces collaboratifs et de développer de nouveaux services pour les collaborateurs. Cette optimisation de surfaces doit s’accompagner d’une redéfinition des espaces de travail calculée sur le taux de présence des salariés au bureau et le nombre de jours des nouveaux accords de télétravail : de 2 ou 3 jours par semaine pour la majorité des entreprises.

Pour faire vivre ces nouveaux espaces et donner envie aux salariés de (re)venir au bureau, les services de l’environnement de travail doivent revoir et proposer de nouvelles expériences aux collaborateurs, en axant les propositions sur la personnalisation. Offres de restauration renouvelées (plus variée, plus créative avec des produits sains et frais, la valorisation de circuits courts), création de services bien-être in situ (spa, salle de méditation, salle de sieste, salle de massage), mise en place de services de santé (salle de consultation télémédecine, kinésithérapeute, nutritionniste, …), la créativité et le redéploiement des moyens de l’entreprise, permettent d’entrer dans une nouvelle ère des bureaux pensé comme hospitality.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels.

Alors que la fonction de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) est au cœur de la performance des entreprises, (l’environnement de travail est un secteur financièrement et socialement important pour l’économie française puisqu’il représente en 2020 un marché de 204 milliards d’euros et génère plus d’un million d’emplois directs, non délocalisables [1]) elle demeure encore méconnue du fait notamment de son périmètre d’intervention très large allant de la rationalisation des dépenses des entreprises (immobilier, nettoyage, prestations externes…) en passant par les économies d’énergie (lutte contre le gaspillage des consommables …) jusqu’à la santé et au bienêtre des salariés (informatique, restauration, services aux usager, QVT, transformation des espaces de travail …).

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

Contacts médias

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

 

[1] Etude Arseg « Odyssée d’une profession : directeurs de l’environnement de travail 2020 »

Go Entrepreneurs : c’est parti pour 48 heures de live avec 50 000 entrepreneurs les 9 et 10 juin

Alors qu’un Français sur cinq se déclare prêt à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale * Go Entrepreneurs (Ex Salon des Entrepreneurs) annonce une édition spéciale pour l’évènement phare des créateurs et dirigeants d’Enterprise, qui se tient les 9 et 10 juin 2021.

Accueilli dans les studios du groupe « Les Echos Le Parisien » pour deux jours de débats, d’échanges et de rencontres, ce rendez-vous se donne pour ambition de contribuer à la relance de l’économie française, en accompagnant les entrepreneurs vers la réussite de leur projet.

Rendez-vous dans un mois pour 48 d’entrepreneuriat 100% numérique accessible en direct sur www.go-entrepreneurs.com

 

« Parce que les entrepreneurs sont au cœur de la relance de notre pays, il était primordial pour nous de maintenir Go Entrepreneurs en juin.  Les contraintes sanitaires nous obligent à être créatifs et à imaginer des solutions et des formats nouveaux. Nous sommes particulièrement fiers de proposer une expérience digitale dédiée à la création de valeur économique. » explique Florence Bordiau-Hardouin, Event Manager Go Entrepreneurs et Directrice adjointe Les Echos Le Parisien Evènements

Lire le communiqué de presse en cliquant sur le lien  GO Entrepreneurs 2021_07 05 2021_édition spéciale

L’Arseg retient l’agence Ozinfos pour l’accompagner dans sa stratégie de visibilité de la filière de l’environnement de travail

L’Arseg (Association des directeurs de l’Environnement de Travail) créée en 1975 et rassemblant plus de 2000 adhérents sur l’ensemble du territoire français vient de choisir à l’issue d’un appel d’offres, l’agence Ozinfos (agence de communication d’influence) pour l’accompagner dans sa stratégie de visibilité du métier de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) et dans le programme de relations presse institutionnelles de l’association.

Une profession stratégique encore méconnue

Alors que la fonction de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) est au cœur de la performance des entreprises, (l’environnement de travail est un secteur financièrement et socialement important pour l’économie française puisqu’il représente en 2020 un marché de 204 milliards d’euros et génère plus d’un million d’emplois directs, non délocalisables [1]) elle demeure encore méconnue du fait notamment de son périmètre d’intervention très large allant de la rationalisation des dépenses des entreprises (immobilier, nettoyage, prestations externes…) en passant par les économies d’énergie (lutte contre le gaspillage des consommables …) jusqu’à la santé et au bienêtre des salariés (informatique, restauration, services aux usager, QVT, transformation des espaces de travail …).

Une filière structurée et un objectif de visibilité

La crise sanitaire et économique a démontré le caractère stratégique de la fonction.

C’est dans cette perspective que l’Arseg, association professionnelle créée en 1975 rassemblant plus de 2000 adhérents, a choisi l’agence de communication d’influence Ozinfos, pour l’accompagner dans la valorisation du métier de Directeur de l’Environnement de Travail (DET), mais également de l’association en tant que filière représentative.  Cette collaboration s’organisera notamment autour des évènements annuels organisés par l’association, de la médiatisation d’une étude socio-économique posant les grands enjeux de la profession, et enfin autour de la valorisation des indicateurs des coûts de l’environnement de travail dans l’entreprise (Buzzy ratios) collectés par l’association chaque année.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels. A ce titre, elle a la légitimité à prendre part à tous les débats liés au travail : santé et bien-être des salariés, nouvelles organisations des espaces de travail, rapport au numérique, mobilité, aménagement du territoire, sécurité, etc.

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

OZINFOS l’agence spécialiste des thématiques éco-social-sociétal

Créée en 2001 par Marie-Céline Terré, OZINFOS agence de communication d’influence s’intéresse en priorité aux enjeux éco-sociaux-sociétaux des entreprises, institutions ou collectivités publiques. OZINFOS développe la visibilité et la réputation de ses clients en donnant la priorité absolue aux contenus et messages qu’elle déploie dans des programmes de relations publics et d’influence, en s’appuyant sur une présence digitale, éditoriale et événementielle. L’agence propose également des programmes de formation à la prise de parole (médiacoaching) et dispose d’un savoir-faire très expert en matière de communication dans un environnement complexe (fusion, croissance externe, restructuration, réorganisation).

L’agence porte en particulier les thématiques suivantes :

  • Les ressources humaines en entreprise autour d’acteurs du conseil : EKILIBRE Conseil (Cabinet spécialiste de l’accompagnement sur-mesure des enjeux de l’humain au travail), Empreinte Humaine (Cabinet spécialiste des risques psycho-sociaux en entreprise), GAE Conseil, (cabinet spécialiste des addictions en milieux professionnels), la FIRPS (Fédération des Intervenants en RPS), KMSI (éditeur de logiciel RH), Emeraude Escape (startup spécialiste des escape-game de prévention pour entreprise) Jeantet (cabinet d’avocats d’affaires), Oxand (acteur de la Predtech au service des bâtiments et infrastructures) …
  • L’anticipation & la maitrise des risques pour les entreprises : Jeantet Avocats (acteur du droit social, boursier, de la concurrence, de la consommation, fiscal, environnement…), Maitrisedescrises.com (conseil en prévention de crises systémique)
  • La santé : Groupement de pharmacies, Pharmabest, Tesly (start-up e-santé)
  • La mobilité : Saemes, Laboratoire de la Mobilité Inclusive, Wimoov …
  • L’engagement pour une société plus juste : Anpere (épargne responsable), Association PuissanceDYS (lutte contre la dyslexie), Fondation Apprentis d’Auteuil, CCFD Terre Solidaire, Voxfemina (parité dans les médias) …

OZINFOS est membre associé de l’AJEF (association des journalistes économiques et financiers) et de l’AJIS (association des journalistes d’information sociale). Elle est membre de l’organisation professionnelle IP&C (information presse et communication) et du Club Mac Luhan.

En savoir plus www.ozinfos.com / Twitter : @ozinfos 

Contacts médias

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

 

[1] Etude Arseg « Odyssée d’une profession : directeurs de l’environnement de travail 2020 »

JEANTET RENFORCE SON OFFRE « ÉTHIQUE, INTÉGRITÉ ET CONFORMITÉ » POUR RÉPONDRE AUX NOUVEAUX ENJEUX DE LA COMPLIANCE EN NOUANT UN PARTENARIAT ORIGINAL AVEC LE CABINET ZIMERAY & FINELLE

Paris, le 6 mai Le cadre récent du devoir de vigilance oblige les grandes entreprises à maîtriser leur chaine de valeur pour se soumettre à des exigences toujours plus nombreuses et pluridisciplinaires, en France et à l’étranger. Après les thèmes de la corruption, du blanchiment, de la fraude fiscale ou de la protection des données, la conformité s’ouvre à un nouveau champ de risques, celui des violations des droits fondamentaux. En d’autres termes, une nouvelle branche d’activité se dessine : les droits de l’Homme des affaires.

Initialement perçue comme une contrainte, la conformité est devenue un levier stratégique pour une entreprise vis-à-vis de ses partenaires et de ses concurrents, pouvant alors constituer un moteur de croissance comme un élément de différenciation.

C’est pourquoi, les cabinets Jeantet, cabinet d’affaires français indépendant bientôt centenaire et le cabinet Zimeray & Finelle, fondé par François Zimeray et Jessica Finelle, proposent d’accompagner leurs clients dans cette démarche proactive devenue aujourd’hui un impératif, au travers un « partenariat capsule », basée sur l’expérience et le savoir-faire de leurs avocats.

Le groupe dédié mis en place par Jeantet et dirigé par ses associés Phillipe Portier (Droit des sociétés/Fusions-Acquisitions), Martine Samuelian (Droit bancaire et financier) et Loraine Donnedieu de Vabres-Tranié (Droit de la concurrence et Droit européen), ainsi que les compétences développées par le cabinet Zimeray et Finelle forment ainsi une alliance permettant de répondre à l’ensemble des problématiques de leurs clients français et internationaux dans tous secteurs d’activité.

Face aux  nouveaux enjeux et à leur complexité, cette alliance originale entre un cabinet de premier plan dans le droit des affaires et un cabinet actif sur le terrain des droits de l’Homme, a pour objectif de devenir la référence des acteurs économiques en matière de RSE et permet d’offrir une réponse sur mesure à chacun d’entre eux et de leurs organes dirigeants ; allant du simple audit jusqu’à la défense devant les tribunaux civils et pénaux, en passant par la structuration d’un plan de conformité, la revue du plan de vigilance ou encore l’assistance en cas d’enquête et de contrôle.

Pour Philippe Portier « Les risques liés au devoir de vigilance évoluent rapidement ces dernières années, le prisme des enjeux s’élargissant avec l’apparition de nouveaux enjeux économiques et sociétaux. Ce partenariat est un vrai atout pour intégrer à nos savoir-faire historiques ces défis d’un nouveau genre »

Pour François Zimeray « Les droits de l’homme s’imposent aujourd’hui dans la grammaire universelle des affaires. Leur violation expose les entreprises à des risques, encore trop confusément anticipés. Il s’agit de construire le volet droits de l’Homme de la compliance. 

À propos de Jeantet

Jeantet est l’un des principaux cabinets d’avocats d’affaires français indépendant, délivrant des services personnalisés et à forte valeur ajoutée, avec un attachement à l’éthique et aux valeurs humaines. Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux. Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients. Jeantet à Paris, Casablanca, Genève, Budapest, Kiev et Moscou compte plus de 120 avocats dont 30 associés.

OZINFOS

Esteban ALGRAIN

Tel: 07 72 21 56 48

esteban@ozinfos.com

Marie-Céline TERRÉ

Tel. 06 27 26 49 65

jeantet@ozinfos.com

 

 

 

Cap sur les 1000 points de charge pour Saemes !

Paris le 5 mai 2021 – Saemes prévoit d’équiper près de 50% de la capacité des parkings parisiens remportés lors des derniers appels d’offres en borne de recharge électrique. Cette politique s’inscrit dans le cadre de la stratégie menée par la Ville de Paris en matière d’électro-mobilité. En 2021 et 2022, ce sont plus de 1000 points de charge qui seront ainsi installés sur les parkings Madeleine-Tronchet, Porte d’Auteuil, Jean Bouin, Haussmann Berri et Bergson-Saint-Augustin.

 

Un investissement global de plus de 3 millions d’euros

Cet investissement intègre les réseaux amont et aval des postes de transformation, l’achat, la pose, la maintenance, l’exploitation et la supervision des 1000 bornes de recharge électrique.

A l’issue d’un appel d’offre lancé au second semestre 2020 pour sélectionner le prestataire susceptible de l’accompagner sur ce déploiement ambitieux, c’est le groupement Sogetrel-Total qui a été sélectionné pour son expertise et la pertinence des solutions proposées.

Les bornes présentent un design épuré, un faible encombrement et sont assemblées en France (Pays de Loire).  Elles seront connectées à la plateforme de supervision de Total et celle de GIREVE (Groupement pour l’Itinérance et la Recharge des Véhicules Electriques) afin de permettre l’interopérabilité des bornes. Les puissances délivrées iront du 7 kVA au 22kVA. 

Un planning de déploiement par phases

La reprise en supervision des parkings exploités par Saemes et déjà équipés en recharge électrique (55 points de charge) est prévue le 30 juin 2021 pour les sites suivants :

Pyramides (Paris 1er), Hôtel de Ville (Paris 4ème), Lagrange-Maubert (Paris 5ème), Odéon (Paris 6ème), Meyerbeer Opéra (Paris 9ème), Mairie du 14ème (Paris 14ème), Mairie du 15ème (Paris 15ème), Cardinet (Paris 17ème) et Hôpital Henri Mondor (Créteil, 94).

Dans un second temps, à l’issue d’importants travaux de rénovation et de mises aux normes, 6 parkings parisiens seront nouvellement équipés en points de charge :

  • Flandrin, Porte d’Auteuil et Jean Bouin (Paris 16ème) en juin 2021
  • Haussmann Berri et Madeleine-Tronchet (Paris 8ème) en décembre 2021
  • Bergson-Saint Augustin (Paris 8ème) au printemps 2022. 

Une tarification attractive

Les tarifs comprennent un coût de service à 0.50€ TTC et un coût de recharge de 0.30€ TTC par KWH. Les utilisateurs pourront accéder au service par le biais de la carte Total, d’un QR Code leur permettant de payer sur un site internet dédié ou grâce aux cartes de mobilité des opérateurs de service tels que Belib’, Chargemap, Freshmile, NewMotion…

Les abonnés aux parkings Saemes Porte d’Auteuil, Jean Bouin, Madeleine-Tronchet et Bergson-Saint Augustin auront la possibilité de souscrire à un forfait de 35€ par mois leur permettant un libre accès aux bornes de recharge 7 kVA.

Une approche environnementale volontariste

Dans le cadre de sa politique Développement Durable et de sa certification ISO14001, Saemes a souscrit en janvier 2019 un contrat Energie Verte avec Total Direct Energie garantissant l’injection sur l’intégralité des parkings exploités par Saemes d’une production d’électricité d’origine renouvelable (100% éolienne).

Saemes en chiffres (à fin 2020)

70 parkings exploités en Ile-de-France

30 200 places en ouvrage et voirie

1,8 millions de clients horaires en 2020

43,3 millions d’euros de chiffre d’affaires

 

Pour consulter le dossier de presse de Saemes, cliquez ici.

A propos de Saemes

Saemes, opérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, exploite 30 200 places en ouvrage et en voirie et s’inscrit dans une politique d’innovation liée aux nouvelles mobilités urbaines. En 2016, Saemes a lancé sa plateforme d’Opendata devenant ainsi le premier opérateur de stationnement en France à libérer ses données.

Depuis le 1er janvier 2018, Saemes participe, en tant qu’acteur du contrôle du stationnement payant en voirie, à la mise en œuvre de la réforme de la dépénalisation du stationnement.

https://www.saemes.fr

 

Contacts médias

Agence Ozinfos : saemes@ozinfos.com

Marie-Céline Terré – 06 09 474 745 / Clémentine Vénisse – 07 50 43 30 32

Emeraude Escape présente les résultats d’une étude internationale sur le ressenti des salariés en télétravail

Après une année de crise sanitaire et de nombreux allers et retours entre présentiel et travail à distance, quel est l’avenir du travail ?

Les entreprises retourneront elles au tout présentiel ou passeront-elles au « full » télétravail ? La crise sanitaire aura-t-elle donné naissance à de nouvelles façons de vivre le travail ? Les employeurs font-ils suffisamment d’efforts pour préserver la culture d’entreprise et le développement des équipes dans un environnement professionnel hybride et en pleine mutation ? Quels est  le ressenti des salariés ?

Autant de questions auxquelles Emeraude Escape (Start-up leader du marché français de l’Escape Game digital sur mesure pour entreprise) apporte des réponses en publiant les résultats d’une étude internationale (France, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Allemagne, USA, Canada).

Réalisée auprès de 1039 salariés en télétravail, cette étude questionne leur ressenti sur l’impact de la crise sanitaire et des nouvelles modalités de travail sur la cohésion d’équipes, les relations humaines, le sentiment d’appartenance et la culture d’entreprise.

Et surprise, de façon contre intuitive, les salariés se disent plus productifs, plus heureux depuis qu’ils sont en télétravail mais déclarent avoir besoin de plus de lien social avec leurs collègues. Revue de détail.

 

ETUDE TELETRAVAIL EMERAUDE ESCAPE – AVRIL 2021

« Think Factory by EH », 1er Think-Tank dédié à la santé mentale des salariés

Paris, le 28 avril 2021 – A l’occasion de la journée mondiale sécurité et santé au travail, Empreinte Humaine (Cabinet spécialiste en prévention des risques psychosociaux et en qualité de vie au travail) annonce la création de « Think Factory by EH », 1er Think-Tank dédié à la santé mentale des salariés. Il croisera expertise académique, scientifique, médicale et expérience de terrain pour développer à grande échelle des innovations en matière de santé au travail et plus particulièrement de santé mentale des salariés. Véritable laboratoire d’idées, lieu d’échanges et de réflexion, « Think Factory by EH » expérimentera de nouvelles approches visant à améliorer la santé organisationnelle et offrira un espace indépendant d’innovation sociale. Le programme de travail et les réalisations en préparation seront présentés prochainement dans le cadre d’un webinaire de lancement en présence des membres du comité scientifique.

 

« L’année écoulée et cette crise sans précédent ont souligné la nécessité pour les entreprises et les salariés d’être résilients. Il existe partout des pratiques efficaces, des expérimentations vertueuses, nous en sommes convaincus. Pour mettre en résonance toutes ces actions et pour favoriser la prise en compte de la santé des salariés dans les stratégies RH et les politiques publiques, nous lançons ce Think-Tank », déclarent Christophe Nguyen, psychologue du travail, Président d’Empreinte Humaine et Jean-Pierre Brun, Professeur associé à l’Université Laval (Canada) et Co-fondateur d’Empreinte Humaine.

Porter la voix de la santé des salariés dans le débat public

Convaincu de la nécessité de contribuer à la réflexion collective et prospective en matière de santé au travail, « Think Factory by EH » entend, à la veille des grandes échéances électorales, inspirer et nourrir le débat public par une voix objective. Fondée sur une approche opérationnelle des impacts et des pratiques remarquables le « Think Factory by EH » sera co-présidé par Christophe Nguyen, Président d’Empreinte Humaine, Enseignant, Psychologue du travail et des organisations, et Jean-Pierre Brun, Co-fondateur d’Empreinte Humaine, Professeur associé à l’Université Laval au Québec, Expert conseil et reposera sur un Conseil Scientifique composé de:

  • Matthieu Pavageau, Directeur technique et scientifique de l’ANACT
  • Caroline Biron, Professeure titulaire à l’Université de Laval (Québec)
  • Loïc Lerouge, Chercheur au CNRS, Centre de droit comparé du travail et de la sécurité sociale (COMPTRASEC UMR 5114, CNRS-Université de Bordeaux)
  • Dr Geneviève Thiaucourt, Médecin et directrice médicale et santé au travail de Saint-Gobain
  • Dr Sébastien Leroy, Médecin coordinateur du groupe Sanofi
  • Tony Machado, Directeur santé et bien-être CGI, Chercheur associé à l’Université de Lille

Des travaux en « open source » pour éclairer le débat

« Think Factory by EH » structurera ses recherches autour de la définition des enjeux futurs en matière de risques psychosociaux ou encore de qualité de vie au travail afin de soutenir les entreprises, les managers et les salariés. L’innovation sociale étant “libre de droit”, à la différence de l’innovation technologique protégée et brevetée, « Think Factory by EH » mettra à disposition du public ses données, dans une logique de partage et de maximisation d’impacts.

Ses études partiront d’expérimentations concrètes, issues de pratiques d’acteurs de terrain, pour en objectiver les impacts et favoriser leur développement si elles se révèlent pertinentes. Son activité se déclinera sur plusieurs supports :

  • Des rapportsdémontrant par la preuve l’intérêt de développer à grande échelle des solutions existantes à un enjeu d’intérêt général, statistiquement étayées par des recherches de référence en QVT.
  • Des notes d’analysede personnalités s’appuyant sur des méthodes de revues de littérature scientifique, afin de cadrer le débat à partir des résultats clés de publications de référence sur un thème donné.
  • Des événementspour diffuser les pratiques et les données impactantes auprès des décideurs et dans le débat public.

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la santé psychologique et la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

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Esteban ALGRAIN / Amine MOUSSAOUI

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com