« Il ne faut pas confondre le capitalisme de surveillance avec les technologies numériques, qui n’en sont que l’instrument »

Alors que le Printemps de l’économie débute le 12 octobre, avec pour thème « Bifurcation, l’heure des choix », l’économiste Dominique Plihon explique, dans une tribune au « Monde », qu’il est possible de lutter contre le capitalisme de surveillance, en ne souscrivant pas à une vision néolibérale de la société.

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Les Français peu disposés à payer la facture des transitions

Écologie, souveraineté nationale, numérique… Les Français ont conscience des grands défis qui les attendent mais ne sont absolument pas prêts à en payer la facture! Tel est l’enseignement quelque peu vertigineux d’un sondage commandé à OpinionWay par le Printemps de l’économie, association organisant chaque année une semaine de débats économique auprès des jeunes. Ce sondage révèle ainsi que 87 % des Français estiment qu’il est nécessaire de réduire la dépendance de la France et de l’Europe aux importations de certains biens stratégiques, 56 % d’entre eux que l’État doit se doter des moyens de contrôler les informations personnelles dont disposent les plateformes numériques sur leurs clients…

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Alcool, cannabis, cocaïne… Comment le télétravail intensif a favorisé les addictions des salariés

Les chiffres sont édifiants. Avec les confinements successifs et le télétravail pratiqué à haute dose à partir de la mi-mars 2020, cinq millions et demi de Français ont augmenté leur consommation d’alcool, plus d’un sur cinq (22%) a accru leur prise d’anxiolytique, un fumeur de cannabis sur quatre a intensifié sa dépendance, et une personne sur deux a passé davantage de temps devant les écrans, selon une étude Odoxa pour le cabinet GAE CONSEIL, spécialiste des addictions en entreprise. Des comportements qui n’ont pas cessé avec le retour progressif à une vie normale, et que les managers sont contraints de prendre en compte, alors que depuis la rentrée la plupart des salariés effectuent des retours réguliers en entreprise.

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Enquête : Les Français sont conscients de tout, mais ne sont prêts à rien

Paris, le 7 octobre 2021 – Souvent présentés comme désarmés face aux grandes tendances économiques et sociétales, les Français se révèlent en réalité conscients des enjeux et éclairés quant à la trajectoire à suivre. Pourtant, ces derniers ne sont individuellement que peu enclins à l’idée de prendre à bras le corps ces problématique stratégiques.

C’est ce que montre le sondage OpinionWay pour le Printemps de l’économie qui dresse un portrait du rapport des Français à la souveraineté.

La crise du Covid-19 a été l’occasion d’un vif débat sur la production des denrées stratégiques sur le territoire national. Au-delà de la question sanitaire, c’est de la place de la France dans une économie mondialisée et dans une société aux enjeux de plus en plus globalisés dont il était question. C’est en gardant en tête cette problématique que le Printemps de l’économie, dont le thème de cette 9ème édition est « Bifurcations, l’heure des choix » a interrogé[1] les Français sur leur conception de la souveraineté.

 

CHIFFRES CLÉS :

  • IMPORTATION
  • 87% des Français estiment qu’il est nécessaire de réduire la dépendance de la France et de l’Europe aux importations de certains biens stratégiques (santé, semi-conducteur etc…).
  • Mais seuls 41% des Français se déclarent favorables à payer plus cher les produits importés.
  • Par contre, 51% des français seraient prêts à payer plus chers les produits importés à la condition que le prix reflète le coût qu’il font peser sur l’environnement dans les pays où ils sont produits (émissions de carbone, pollutions, atteintes à la biodiversité…).

 

  • NUMÉRIQUE
  • 56% des Français estiment que l’Etat doit se doter des moyens de contrôler les informations personnelles dont disposent les plateformes numériques sur leurs clients.
  • 79% des Français désire par exemple que l’Etat intervienne pour imposer le statut de salarié aux travailleurs des plateformes de livraison
  • 58% des Français ne souhaitent pas démanteler les GAFAM

 

  • FISCALITÉ
  • 62% des Français se déclarent défavorables à une augmentation du niveau de protection sociale
  • 50% des Français estiment que la fiscalité est un mauvais moyen pour réduire les émissions de CO2 en France
  • 53% des Français sont favorables à ce que les firmes multinationales aient un taux d’imposition supérieur.

 

Les Français sont conscients des enjeux contemporains…

Le premier enseignement de cette enquête est que les Français sont conscients des grands enjeux contemporains, qu’ils soient économiques, sanitaires, numériques ou environnementaux.

En matière de mondialisation, la crainte d’une pénurie pendant la crise du Covid-19 et de tension sur les chaines de production a provoqué une prise de conscience vis-à-vis de la trop grande dépendance du pays à l’importation de produits stratégiques. Ainsi, 87% des Français estiment qu’il est nécessaire de réduire la dépendance de la France et de l’Europe aux importations de certains biens stratégiques (santé, semi-conducteur etc…).

Les Français se trouvent également particulièrement alertes quant à l’essor des géants du numérique. La problématique des données personnelles est en effet assimilée par les Français qui, pour la majorité, expriment une crainte vis-à-vis de l’utilisation de ces éléments personnels. 56% d’entre eux estiment que l’Etat doit se doter des moyens de contrôler les informations personnelles dont disposent les plateformes numériques sur leurs clients.

 

… mais restent nombreux à refuser de payer eux-mêmes le prix de l’action

Si les Français sont conscients des enjeux, peu se déclarent prêts à agir pour corriger les tendances qu’ils mettent eux même en lumière. On remarque tout ce paradoxe sur la question de l’indépendance de la France vis-à-vis des importations. Si une grande majorité des Français estiment qu’il est nécessaire de conserver davantage de marge de manœuvre sur les biens importés, ils ne sont que 41% à se déclarer favorables à une hausse des prix issus de l’importation.

 

De même, les Français rejettent l’idée d’une hausse des cotisations sociales et une augmentation des dépenses publiques, même si ces dernières sont corrélées à davantage de prestations sociales. Ainsi, 62% des Français se déclarent défavorables à une augmentation du niveau de protection sociale (revenu universel, RSA jeune etc).

 

La question climatique cristallise cette ambivalence de l’opinion publique. Les Français sont concernés par le réchauffement climatique mais peu enclins à payer le prix d’une réduction des émissions de CO2. Pour un Français sur deux (50%), la fiscalité est ainsi un mauvais moyen pour réduire les émissions de CO2 en France, rejetant ainsi l’idée d’une taxe carbone par exemple.

 

A noter que sur ces sujets, on observe une dichotomie générationnelle où certains positionnements minoritaires à l’échelle de la société française, s’avèrent plus répandues chez les jeunes adultes. C’est le cas en matière fiscale où 72% des 18-24 ans estiment que la fiscalité est un bon moyen pour réduire les émissions de CO2 (contre 49% tout âge confondu) ; ou concernant l’augmentation du niveau de protection sociale plébiscitée par 59% des 18-24 ans, contre 37% à l’échelle de la société.

 

Les Français sont en revanche demandeurs de certaines interventions à l’Etat, principalement réglementaires

Bien que les Français soient réfractaires à l’idée d’un interventionnisme diffus, ils réclament davantage de régulation de la part de l’Etat. Ce positionnement est l’expression du besoin d’un cadre normatif encadrant les mutations de la société.

En matière d’économie numérique et de protection sociale une grande majorité (79%) des Français désire par exemple que l’Etat intervienne pour imposer le statut de salarié aux travailleurs des plateformes de livraison. Toujours en matière numérique, les Français estiment que l’Etat doit légitimement intervenir pour protéger les données personnelles mais sans pour autant démanteler les géants du numérique. En effet, 58% des Français ne souhaitent pas démanteler les GAFAM, illustrant un attachement de la population aux services numériques offerts par ces géants. La demande de régulation s’observe également en matière fiscale puisque 53% des Français sont favorables à ce que les firmes multinationales aient un taux d’imposition supérieur.

 

Les Français estiment donc que l’intervention de l’Etat doit se cantonner à des prérogatives réglementaires, accompagnant sans porter atteinte à leur pouvoir d’achat, les nouveaux grands enjeux contemporains.

 

Conclusion

« Les Français sont conscients de tout, mais ne sont prêts à rien »

Pierre-Pascal Boulanger, président-fondateur du Printemps de l’économie.

« Les jeunes adultes expriment des demandes différentes, et parfois minoritaires dans le reste de la population, comme le renforcement de la protection sociale, la fiscalité écologique ou le démantèlement des grandes sociétés du numérique »

Rémi Jeannin, vice-président du Printemps de l’économie

[1] Enquête réalisée par Opinion Way mi-septembre 2021 sur un échantillon de 1011 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Plus de risque dans l’assurance-vie pour financer la relance, svp !

Les Français peuvent désormais investir dans les infrastructures pour favoriser la relance économique : les FCPR (fonds communs de placement à risque) désormais accessibles dans le cadre de l’assurance-vie répondent à ces enjeux. Par Hervé Raquin, délégué général ANPERE, Association nationale pour la prévoyance.

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Vie de bureau : «Mon collègue me raconte sa vie, ça ne m’intéresse pas. Que faire ?» La réponse du psy

Chaque semaine, Le Parisien Economie interroge un psychologue du travail. Que faire face à un collègue qui a tendance à trop s’épancher sur sa vie privée ? Christophe Nguyen, président du cabinet de conseil Empreinte humaine, répond au Parisien.

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« Compensation carbone : tout sauf neutre !

Le CCFD-Terre Solidaire publie un rapport qui analyse et dénonce l’inaction climatique de 3 multinationales via la compensation carbone

Paris, 6 octobre – A quelques semaines de la COP 26, le CCFD-Terre Solidaire (ONG de solidarité internationale) publie ce jour « Compensation carbone : tout sauf neutre ! » un rapport qui analyse et dénonce l’inaction climatique de TotalEnergie, Nespresso et Air France. Alors que les scientifiques s’accordent à dire qu’il est urgent de réduire les émissions de gaz à effets de serre, la compensation carbone est devenue le levier en particulier des multinationales pour atteindre la neutralité carbone. Pourtant, il est urgent de démontrer que cette fausse solution en plus d’être inefficace peut se révéler dangereuse du point de vue du climat, de l’environnement et des droits humains. C’est pourquoi, ce rapport révèle le vrai visage de ces politiques climatiques d’affichages, à travers l’analyse de trois cas de multinationales issues des secteurs de l’énergie, de l’agriculture et du transport, (2/3 des émissions de gaz à effet de serre mondiales) : TotalEnergie, Nespresso et Air France.

« La compensation carbone n’est pas une réponse à la crise climatique, et en plus cela risque d’avoir un impact majeur sur les droits humains et la biodiversité. A la veille de la COP26, il faut que les Etats et les citoyens ne soient pas dupes face à ce que cachent réellement les stratégies de neutralité carbone des entreprises. L’heure n’est plus aux fausses solutions ! Seule la réduction réelle des émissions et le respect des droits peut garantir la justice climatique » interpelle Myrto Tilianaki, chargée de plaidoyer au CCFD-Terre Solidaire

TotalEnergie et le revers de la neutralité carbone

TotalEnergie revendique une neutralité carbone à l’horizon 2050. Tout en poursuivant des activités fortement émettrices, l’entreprise s’engage à développer de manière accélérée des projets de compensation grâce à des approches technologiques dont l’efficacité est largement questionnée (Projet Northern Lights). Elle envisage également des projets de plantation d’arbres, comme c’est le cas sur plus de 40 000 hectares sur les plateaux Batéké en République du Congo, territoire à la biodiversité riche et essentiel pour les populations riveraines et autochtones.

Nespresso a une politique climat qui boit la tasse

Pour séduire des consommateurs de plus en plus sensibles à l’impact de leur consommation, l’entreprise communique de façon pro-active sur la neutralité carbone de chacune de ses tasses de café. En réalité une large partie de sa politique de neutralité se fonde sur la compensation carbone et non sur la réduction réelle de ses émissions.

Air France ne vole pas au secours du climat

Le poids du secteur aérien dans les émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial est connu et documenté. Pourtant, Air France ne met en place aucune initiative d’ampleur pour réduire ses émissions. Changement de vaisselle de bord, numérisation des manuels destinés aux pilotes, Air France ne recule devant rien ! Même pas de mettre à contribution le passager et sa bonne conscience. Chacun est ainsi invité à soutenir, sous forme de don à une association cocréée par Air France, des projets de compensation carbone que l’entreprise pourra inscrire à son bilan Climat, avec en prime l’aide des contribuables français.

Pour lire le rapport cliquer ICI

 

Compenser n’est pas réduire 

La solution de la compensation (naturelle ou technologique) du carbone sert à ne pas modifier d’une ligne, ou de manière tout à fait anecdotique, les émissions de gaz à effets de serre. Face à des émissions aux effets certains, la compensation offre une politique de neutralisation aux effets eux tout à fait incertains ! La neutralité poursuivie ne sert que de paravent pratique pour assurer le statut quo et non une réelle action climatique.

Carbone versus Droits humain et souveraineté alimentaire

Ce sont des dizaines de millions d’hectares qui seraient nécessaires pour assouvir l’appétit féroce de la compensation pour séquestrer le carbone. Cette ruée vers les terres risque irrémédiablement d’amener à une financiarisation accrue de la Nature. Avec pour conséquence : une mise sous cloche de larges pans de territoire au détriment des populations locales, de leurs modes de vie et de leur souveraineté alimentaire.

Il est essentiel de mettre en place des mesures importantes et intégrées pour assurer que soient considérées de pair justice climatique et justice sociale. Ni la mise sous coupe réglée de la nature au service d’une croissance destructrice et porteuse de danger pour l’humanité, ni la financiarisation de la nature pour pouvoir dessiner de nouvelles perspectives de profits pour quelques-uns au détriment des populations ne sont la solution. Seule une approche systémique, menant de concert la réduction réelle des émissions et la défense des droits humains et de la biodiversité, permettra de garantir la justice climatique.

A propos du CCFD-Terre Solidaire

ONG de solidarité internationale et de développement, le CCFD-Terre Solidaire est mobilisé depuis 60 ans aux côtés de celles et ceux qui luttent quotidiennement contre toutes les causes de la faim et qui font face aux injustices du modèle de développement actuel. Pour faire face à ces fléaux, il a été parmi les premiers à choisir d’agir autrement et durablement. C’est pourquoi il a reçu le label Grande Cause Nationale en 1993.

  • 485 organisations partenaires
  • 580 projets internationaux dans 67 pays
  • 7 200 bénévoles
  • 2,4 millions de bénéficiaires

 

Contacts presse :

Agence Ozinfos                                                                

Amine MOUSSAOUI

Tel : 06 27 26 49 64

ccfd@ozinfos.com

« La fonction de directeur de l’environnement de travail a quitté les quatre murs de l’entreprise » (Latifa Hakkou, présidente de l’Arseg)

La fonction de directeur de l’environnement de travail – autrefois directeur des services généraux – subit coup sur coup les impacts de l’appétence des entreprises pour la RSE et de la crise sanitaire qui a obligé les salariés à quitter les bureaux pour télétravailler… et qui y ont pris goût. Comment réinventer cette profession qui touche directement le bien-être des travailleurs dans le contexte de l’après-crise ? Entretien avec Latifa Hakkou, présidente de l’Association nationale des directeurs de l’environnement de travail (Arseg) et directrice de l’environnement de travail chez Ipsen.

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Jeantet conseille Inventory Planner dans le cadre de sa cession au groupe Brightpearl

Paris, le 4 octobre 2021Jeantet, a conseillé la société Inventory Planner, leader de gestion et prévision des stocks en e-commerce, et ses actionnaires, dans le cadre de la cession d’Inventory Planner au groupe Brightpearl, permettant à ce dernier d’élargir son offre technologique en intégrant un logiciel de gestion des stocks pour les acteurs du e-commerce.

Il s’agit d’une première étape dans sa stratégie à plus long terme visant à faire de Brightpearl le leader sur le marché du e-commerce de détail.

Créée en 2007 au Royaume-Uni, Brightpearl a développé une plateforme de gestion automatisée dédiée aux professionnels du commerce : gestion financière, CRM (Customer Relationship Management), traitement et exécution des commandes, gestion des achats et des fournisseurs, et outils de gestion de stock et d’inventaires, et enfin solutions logistiques.

Inventory Planner compte 2.060 clients  dont 60 % ont un chiffre d’affaires compris entre 1 et 100 millions de dollars. Ses clients sont des acteurs de l’e-commerce qui utilise son logiciel pour visualiser rapidement les tendances et les aider à gérer leurs stocks.

L’équipe Jeantet était dirigée par Stephen Walters (associé), assisté de Victoria Régis et Stanislas Chaudun (collaborateurs), Jean-Guillaume Follorou (associé) et Gabriel di Chiara (counsel) sur les aspects fiscaux.

ANPERE devient partenaire du Prix Initiatives Aidant.e.s

6 OCTOBRE 2021 : JOURNÉE NATIONALE DES AIDANTS

Paris – le 1er octobre 2021 – A l’occasion de la 11ème journée nationale des aidants, ANPERE, acteur majeur de l’épargne, de la retraite et de la prévoyance, annonce soutenir le Prix Initiatives Aidant.e.s remis par le  collectif « Je t’aide ». Ce prix entend récompenser, des structures proposant des solutions concrètes aux aidant.e.s. En devant partenaire de ce prix ANPERE contribue à changer le regard sur les aidants.

De l’invisibilité au changement de regard sur les aidants

Si la question des proches aidants passe progressivement de l’invisibilité totale à une meilleure prise en compte par les politiques publiques, il n’en demeure pas moins que les 8,3 millions de personnes (source DREES) qui, en France, accompagnent un proche malade, en situation de handicap, ou de dépendance, sont encore plongés dans une invisibilité sociale cruelle. ANPERE se mobilise depuis plusieurs années sur la question des aidants qui est cruciale pour l’équilibre de vie des familles et analyse les comportements et attentes des Français en la matière à travers son observatoire[i] des liens intergénérationnels dont elle publie les résultats dans sa collection « Nouveaux regards ». [ii] Acteur engagé socialement ANPERE a souhaité aller plus loin en soutenant cette année l’initiative du collectif « Je t’aide » et son prix.

« Soutenir ce prix nous a semblé naturel et essentiel car la solidarité est au cœur de l’ADN d’ANPERE. Cette solidarité s’est révélée plus que nécessaire avec la crise sanitaire qui a décuplé les besoins de solidarité auprès des plus fragiles et renforcé l’aide entre les générations comme le révélait la 3ème édition de notre observatoire des liens intergénérationnels » déclare Hervé Raquin délégué général d’ANPERE

Un prix pour soutenir les initiatives en faveur des aidants

Le collectif « Je t’aide » porte la voix des 11 millions d’aidants en France et se mobilise chaque jour pour que les aidants soient reconnus et épaulés, qu’ils aient des droits concrets et que leur apport à la société soit reconnu. Depuis 2018, le collectif remet un prix à des structures proposant des solutions concrètes aux aidant.e.s qui ainsi bénéficient d’un coup de projecteur mais également d’une dotation de 4000 euros.

Un épisode du podcast « Bien entendu » dédié aux liens intergénérationnels 

« Bien entendu » le podcast de l’association consacre un numéro aux liens intergénérationnels. Accessible sur le site d’ANPERE le podcast est disponible également sur toutes les plateformes de diffusion.

Focus les grands enseignement de la 3ème édition l’« Observatoire des liens intergénérationnels » réalisé par OpinionWay :

  • La crise du Coronavirus a eu un impact significatif et finalement positif sur les liens intergénérationnels, qui se sont fortement renforcés par rapport à 2018 (+9 pts).
  • Cette aide se fait principalement à destination des plus âgés (72%), avec une jeune génération de plus en plus solidaire envers leurs aînés (+15 pts).
  • Dans les faits, ce sont 2 Français sur 5 qui ont effectué des actions d’entraide en dehors de leur famille : une implication en hausse significative par rapport à 2018, chez les plus jeunes et dans des régions très touchées par le Coronavirus (Ile de France, Nord-Ouest).
  • Ces gestes d’entraide concernent principalement une aide aux tâches du quotidien (35% ; +13 pts), faire des courses en particulier (28% ; +12 pts), une action qui a pu progresser avec le confinement, au détriment de rendre visite ou partager des loisirs (12% ; -10 pts).
  • Au sein de la famille, ces gestes d’entraide se stabilisent à un niveau élevé (60%), avec un renforcement de l’aide aux tâches du quotidien (faire les courses 17% ; +6 pts) et beaucoup plus de présence, de relationnel (27% ; +10 pts).
  • Au final, ces gestes solidaires sont plus valorisants (+6 pts), particulièrement pour les plus jeunes.

A propos d’ANPERE

ANPERE (Association nationale pour la prévoyance, l’épargne et la retraite) est l’une des principales associations françaises d’assurés, avec 1,4 million d’adhérents. Elle souscrit pour ses adhérents des contrats d’assurance-vie et de prévoyance distribués par AXA France. Elle informe ses adhérents sur les actualités économiques et règlementaires et a mis en place un programme d’éducation financière pour mieux comprendre les enjeux de l’assurance vie. www.anpere.fr 

Contact médias

Amine Moussaoui – 06 27 26 49 64

anpere@ozinfos.com

[i] L’Observatoire des « liens intergénérationnels » OpinionWay pour ANPERE, a été réalisé en ligne. Les interviews ont été faites du 26 au 30 août 2020 auprès d’un échantillon de 1000 Français représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.

[ii] Accessible sur le site www.anpere.fr

AG2R LA MONDIALE, AGRICA, CCMO Mutuelle, le groupe Covéa (MAAF, MMA et GMF) et le FASTT se mobilisent aux côtés de GAE Conseil pour sensibiliser les Français aux conduites addictives.

Alexis Peschard, président de GAE Conseil était l’invité de B SMART dans l’émission « Bien dans son job » animée par Arnaud Ardoin pour parler des enjeux de la #pandémie sur les #addictions à l’occasion du lancement de la campagne de prévention #AddictTown.

#AddictTown est une campagne de prévention d’envergure nationale portée par des acteurs majeurs de la protection sociale aux côtés de GAE Conseil : AG2R LA MONDIALEGroupe AGRICACCMO MutuelleGroupe CovéaMAAF AssurancesGMF AssurancesMMA Assurances et le Fastt (Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire)

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