« Office Manager 2021 : Profil, métier et perspectives d’une fonction à (re) connaître »

L’ARSEG publie la 1ère étude sur les offices managers 

Paris, le 21 octobre 2021 – Avec l’hybridation des modes de travail depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises doivent plus que jamais adapter leurs habitudes de travail. Pour continuer à animer leurs espaces de travail et assurer un lien pérenne entre l’entreprise et son collaborateur, la fonction Office Management est au carrefour de nombreux enjeux majeurs des entreprises (retour au bureau, qualité de vie au travail, santé /sécurité du collaborateur, attractivité et fidélisation des talents, enjeux RSE…) tout en souffrant d’un déficit de reconnaissance. Pour structurer les connaissances sur le métier et pour valoriser son rôle au sein des entreprises, l’ARSEG (Association des Directeurs de l’Environnement de Travail) sort sa première étude sur la Fonction des Offices Managers, réalisée entre mars et juin 2021.

Une fonction transversale, à la croisée des enjeux de demain

Les Office Managers, dont 86% d’entre eux sont des femmes et 90% de la profession exercent dans le secteur privé, participent à la performance globale de l’entreprise, en permettant aux différents services de bénéficier des meilleures conditions de travail. Au carrefour d’enjeux primordiaux, 67% des Offices Managers pensent que le télétravail est l’enjeux majeur de leur fonction. Ils se doivent d’adapter leurs missions pour l’intégrer et créer la meilleure expérience de travail pour l’ensemble des équipes.

Autres enjeux dominants : la RSE. 38% des Offices Managers la considère, avec la diversité et l’inclusion, comme un des enjeux prédominants dans les 5 prochaines années.

Accroître la visibilité et notoriété de la profession pour mieux définir son cadre d’intervention
49% des Offices Managers admettent que faire connaître la profession est l’un de leurs principaux enjeux à venir. En cause, le périmètre très large de leurs missions et le caractère transversal de leur fonction due à de multiples raisons et de natures différentes : manque d’objectifs, de connaissance des enjeux par la direction générale, de tableaux de bord, une mauvaise dénomination et encadrement de leur fonction…

Leur polyvalence peut être également un problème à leurs missions : 71% des Offices Managers, font face à des difficultés et seulement 4% n’en rencontrent pas !

Une profession qui se développe et étend son périmètre de responsabilité

Avec l’évolution rapide de nouveaux modes d’organisation du travail et des nouvelles missions qui en découlent, 66% des Office Managers pensent que la digitalisation de la fonction ou encore l’automatisation des tâches à faibles valeur ajoutée doivent être envisagées prioritairement pour être davantage performant.

L’étude affirme également que 54 % des Office Managers pensent déployer des procédures garantissant la réactivité de leur organisation face à une pandémie ou à toute autre catastrophe pour être en capacité de protéger leurs organisations et leurs collaborateurs. Enfin, 44% des Office Managers pensent pouvoir mener des projets de digitalisation comme le déploiement d’outils numériques et digitaux.

Autre point important, l’étude met en avant la croissance dynamique de la fonction de l’Office Manager par l’élargissement de leurs responsabilités : 57% des Offices Managers déclarent que leur périmètre de responsabilité a augmenté au cours de ces 5 dernières années :

  • 55% de l’élargissement de leurs responsabilités se sont élargies avec l’apparition de nouveaux enjeux (transition numérique, qualité de vie au travail, RSE, hybridation des modes de travail)
  • 45% dû à la croissance, ou décroissance de l’entreprise
  • 45% dû à des réorganisations internes.

Méthodologie de l’étude :

Etude réalisée entre mars et juin 2021. Administrée sur internet sur un panel de 150 Office Managers dans des entreprises privées et publiques françaises et une série de 10 entretiens individuels avec des représentants du métier en mai 2021.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels.

Alors que la fonction de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) est au cœur de la performance des entreprises, (l’environnement de travail est un secteur financièrement et socialement important pour l’économie française puisqu’il représente en 2020 un marché de 204 milliards d’euros et génère plus d’un million d’emplois directs, non délocalisables [1]) elle demeure encore méconnue du fait notamment de son périmètre d’intervention très large allant de la rationalisation des dépenses des entreprises (immobilier, nettoyage, prestations externes…) en passant par les économies d’énergie (lutte contre le gaspillage des consommables …) jusqu’à la santé et au bienêtre des salariés (informatique, restauration, services aux usager, QVT, transformation des espaces de travail …).

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

Contacts médias

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

[1] Etude Arseg « Odyssée d’une profession : directeurs de l’environnement de travail 2020 »

Les managers en meilleure santé psychologique, selon une étude d’Empreinte Humaine

La rentrée au mois de septembre 2021 et le reflux très net du télétravail, ont eu un impact très positif sur une catégorie de salariés : les managers. Le cabinet de prévention des risques Empreinte humaine, qui mesure le taux de détresse psychologique des salariés depuis deux ans, note un net recul de ce taux chez les managers, avec une baisse de 14 points depuis le mois de mai. Mais les managers restent la catégorie la plus touchée par l’épuisement professionnel, 18% sont classés par cette étude en burn out sévère. Le retour au bureau et la fin du management à distance a eu toutefois des effets positifs sur eux.*

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Lauréat Réseau Entreprendre : Anthony Brice, fondateur de Tutos’Me

Anthony Brice, président du Groupe 39 et de Tutos’Me, organisme de formation et collectif de formateur, et François-Xavier Thailly, son directeur général délégué, ont été distingués le 14 octobre, à l’occasion de la 9e édition de la soirée des Lauréats du Réseau Entreprendre Val-d’Oise pour leur esprit d’initiative dans l’univers de l’insertion et de la formation professionnelle.

« Je suis très honoré d’être ainsi distingué comme entrepreneur. Mais je suis surtout fier d’avoir créé une entreprise dans le secteur de la formation et de l’insertion professionnelle, car la solidarité au service de la collectivité fait partie de mes priorités personnelles », a commenté Anthony Brice.

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« Les salariés ne voudront plus travailler dans des lieux où leur bien-être est menacé »

Christophe Nguyen, psychologue du travail et président associé du cabinet Empreinte Humaine, vient de publier un ouvrage avec Jean-Pierre Brun, professeur à l’université de Laval : « Santé psychologique au travail et Covid-19 » (*). A cette occasion, il répond aux questions d’Actuel RH sur les effets de la crise sanitaire sur les relations de travail et le management.

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Les salariés Français sont épuisés après 18 mois de crise sanitaire et aspirent à changer de vie

Principaux résultats de la 8ème vague du baromètre :

  • 38 % de salariés sont en situation de détresse psychologique (-6 depuis mai) dont 12% de détresse psychologique élevée (-5)
  • 33% de salariés sont en situation de dépression nécessitant un traitement médicamenteux (-3) dont 18% risquent une dépression sévère
  • 2 500 000 de salariés en situation de burnout sévère (+25 depuis mai)
  • 47% des salariés indiquent avoir donné une nouvelle orientation à leur vie
  • 19 % des salariés déclarent avoir déménagé depuis le début de la crise dont 35% des télétravailleurs

Paris le 20 octobre 2021 – Depuis juin dernier, les salariés sont nombreux à revenir au bureau, leur regard sur leur travail est-il toujours le même ? Le niveau de détresse psychologique est-il durablement élevé ?  Les nouvelles attentes des salariés trouvent-elles des réponses ? Quel est l’avenir du travail : hybride, full présentiel ou full distanciel ? La 8ème vague du baromètre de la santé psychologique des salariés en période de crise réalisé par OpinionWay pour Empreinte Humaine suit l’évolution de la santé mentale des salariés alors que le travail et son environnement immédiat sont profondément marqués par la crise sanitaire.  Verdict : si la situation s’améliore légèrement avec le retour au bureau, les salariés français sont épuisés par 18 mois de crise et aspirent à changer de vie.

« Ces chiffres sont riches d’enseignements car ils expriment un vrai changement du rapport au travail et des priorités des salariés Français. Ils sont épuisés par ces mois de crises, par les confinements suivis des déconfinements et aspirent à changer en particulier pour préserver leur santé mentale au travail. Mais au-delà cela démontre un changement de rapport au travail et pose une question de fond celle du sens du travail. » pointent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

La santé psychologique des salariés s’améliore mais demeure inquiétante

Les indicateurs de l’état psychologique des salariés demeurent inquiétants même si l’on observe une diminution par rapport au mois de mai 2021. Ainsi leur détresse psychologique reste importante à 38% (-6 pts) dont 12% de détresse psychologique élevée (-5 pts) de même que le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés qui atteint 33%, soit 3 points de moins (dont 18% (-3) risquant une dépression sévère).

Cette légère amélioration s’explique principalement par une baisse pour les managers de leur taux de détresse psychologique (-14 points) qu’on peut attribuer à une forte diminution du 100% télétravail pour eux.

Malgré cette amélioration, après plusieurs mois de crise, au total 2 500 000 de salariés sont en burnout sévère (soit 25% de plus par rapport à mai 2021 et 2,7X plus qu’en mai 2020). Les managers demeurent les plus touchés : 18% d’entre eux sont en burnout sévère. Les niveaux élevés de burnout s’expliquent par l’épuisement de leurs ressources personnelles.

Enfin, sans surprise, les femmes et les jeunes continuent d’être gravement touchés avec respectivement 44% de situation de détresse psychologique (33% pour les hommes) et 50% de détresse psychologique chez les moins de 39 ans.

Cette amélioration est due aussi à des actions des organisations/ entreprises 

L’étude montre également que les actions de sécurité psychosociale, quand elles existent, ont un effet bénéfique sur la santé psychologique. Environ 1/3 des organisations ont mis en œuvre des mesures de fond notamment avec l’implication du top management, ce qui améliore de 30 points la santé psychologique des salariés, leur fidélité envers leur organisation.

Les salariés français, les déménagements post covid et leurs nouveaux modes de vie

L’atteinte de la santé mentale expliquant bien des changements de priorité de vie et les nouvelles attentes des salariés, ce sont 19 % des salariés qui déclarent avoir déménagé depuis le début de la crise (ce taux monte à 35% pour les télétravailleurs). Les télétravailleurs ayant déménagé présentent quant à eux, 15 points de détresse psychologique de moins que les autres (28 % vs 43%).

Enfin, parmi les 20% des salariés déclarant avoir été en arrêt maladie pour des raisons psychologiques 69% d’entre eux déclarent avoir déménagé. Ce qui confirme le lien en santé mentale et volonté de changement de vie.

Le télétravail se maintient mais n’est pas encore tout à fait installé

Selon les résultats de l’étude 46% des salariés français télétravaillent (-4) dont :

  • 39% en hybride (+11)
  • 7% en 100% télétravail

Souvent évoquée comme source de frein au télétravail, la confiance du management est présente pour 8 télétravailleurs / 10 et 7/10 disent que leur management a évolué positivement avec le télétravail. La moitié doit retrouver des repères professionnels, 6/10 que les rituels d’équipe ont disparu et 7/10 réclament encore plus de clarté dans les droits et devoirs des télétravailleurs. Autant pense que le droit du travail doit s’adapter avec le télétravail.

Le retour au bureau : le paradoxe des salariés français

12% des salariés interrogés disent n’être jamais retournés dans les bureaux depuis le début de la crise.

Le niveau de détresse psychologique étant de 56% pour ces deniers contre 36% quand ils y sont retournés.

50% des télétravailleurs disent être plus efficace au bureau pour certaines tâches et 2/3 d’entre eux pensent que le retour serait bénéfique pour l’organisation de leur travail.

Mais 2/3 des salariés sont malgré tout réticents à venir dans les locaux comme le demande leur employeur et disent que si le climat de travail était meilleur ils reviendraient plus volontiers.

Les managers qui sont conscients de l’importance du retour dans les bureaux sont 6 sur 10 à ne pas savoir comment donner du sens aux télétravailleurs pour les faire revenir.

Prise de conscience et rééquilibrage des choix de vie

La croissance post-traumatique (la résilience mesurée grâce à un questionnaire scientifique) se confirme et continue avec la sortie de crise : si le retour au bureau a permis une légère amélioration de la santé psychologique des salariés, elle a nettement changé les équilibres et les hiérarchies de valeurs en provoquant des prises de conscience. Ce sont ainsi par exemple :

  • 69% des salariés qui apprécient mieux la valeur de la vie
  • 60% qui sont plus enclins à changer ce qui doit l’être
  • 58% qui ont changé leurs priorités
  • 50% qui ont de nouveaux centres d’intérêt
  • 47% qui ont donné une nouvelle orientation à leur vie

Une vague de départs si pas de changement de qualité de vie au travail ?

Nouveaux choix de vie, déménagement, plus forte exigence de bien-être psychologique… Tout contribue à des nouvelles velléités professionnelles : 16% déclarent avoir quitté leur entreprise par choix depuis le début de la crise.  Ils sont 31% à souhaiter activement rechercher un autre emploi après la crise.  Parmi eux, 55% sont en détresse psychologique (55%).  La sortie de crise semble avoir encore renforcer les attentes des salariés envers leur entreprise : 82% (+12 points) veulent que les politiques de qualité de vie au travail de leur entreprise évoluent.

  Empreinte Humaine sort son livre : « Santé psychologique au travail et Covid-19 : le pouvoir des bonnes pratiques » 

L’apparition de la pandémie à la fin de l’hiver 2020 a pris tout le monde de court, et les différentes mesures sanitaires imposées aux entreprises, allant des gestes barrières au confinement généralisé, n’ont tenu compte que du risque de transmission du virus et des impacts économiques. Mais une autre épidémie est en cours, moins fulgurante mais potentiellement plus durable, celle de la santé psychologique au travail. Christophe Nguyen et Jean-Pierre Brun, cofondateurs du cabinet Empreinte humaine ont souhaité proposer à travers cet ouvrage, une analyse des enseignements de la crise sanitaire en matière de santé mentale des salariés, assortie de pistes de solutions et d’actions à mettre en œuvre par les entreprises.

 

En librairie depuis le 28 septembre 2021

240 pages I 9782807337442 I 24,90 €

Méthodologie de l’étude :

La 8ème vague du Baromètre « Santé psychologique des salariés en période de crise » OpinionWay pour Empreinte Humaine, a été réalisée en ligne. Le recueil a été fait du 28 septembre au 7 octobre 2021 auprès d’un panel représentatif de 2016 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.  

La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’être atteintes de troubles mentaux sérieux.  Le questionnaire utilisé pour mesurer la résilience est également un questionnaire validé et qui a fait l’objet de nombreuses publications internationales.

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la santé psychologique et la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

Contacts presse

Agence Ozinfos

Esteban ALGRAIN / Amine MOUSSAOUI

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com

 

 

De nouveaux acteurs publics et privés font appel à Oxand et sa solution décisionnelle Infrasim, pour maîtriser les risques et objectiver les besoins en investissements de rénovation des ouvrages et des chaussées.

Alors que les contraintes budgétaires et réglementaires pèsent sur les décisions des exécutifs territoriaux, la question du maintien en bon état des infrastructures routières (ouvrages d’art et chaussées) devient un enjeu majeur pour ces derniers.

Oxand, leader européen de la PredTech, démocratise la gestion prédictive, digitalise les processus de décision, valorise les données utiles de ses clients et accompagne les gestionnaires à passer d’une approche corrective au prédictif. Sa solution Infrasim a été retenue par de nombreuses collectivités telles que le Conseil Départemental des Côtes d’Armor, de la Meuse, la ville de Lyon, etc. Mais également la Banque des Territoires et le concessionnaire APRR ou encore A’liénor. En évaluant l’état des ouvrages d’art de la France, la solution Infrasim permet la simulation de stratégies d’investissement avec une approche coût – performance – risque et se révèle un outil indispensable à une prise de décision éclairée et efficience.

La gestion du patrimoine : un enjeu de sécurité et de finances publiques 

La gestion et la conservation du patrimoine immobilier et des infrastructures sont un défi pour les collectivités territoriales qui ne disposent bien souvent pas d’une vision prédictive, mais uniquement d’un inventaire de l’état de ce patrimoine et sont conduites à intervenir en urgence, pour préserver la sécurité des usagers. Cette méthode ne permet pas de piloter avec efficience le coût de détention, d’objectiver la prise de décision, d’allonger la durée de vie des infrastructures et de maîtriser les risques. La meilleure réponse pour répondre à cette problématique est l’anticipation, prévoir plutôt que subir, agir en amont plutôt que dans l’urgence.  La solution Infrasim, fruit de l’expertise d’Oxand permet justement d’évaluer les risques à date et de simuler le vieillissement à venir du patrimoine des détenteurs d’actifs. Puis de simuler des stratégies d’investissement des travaux de rénovation à prévoir en fonction de contraintes, qu’elles soient budgétaires, de trafic ou en fonction de note IQOA par exemple. La comparaison de ces scénarios permet de faire émerger des recommandations et une stratégie optimisée, plus efficience et plus durable (moins de consommation de matière première et d’énergie) avec un meilleur bilan carbone et source d’économie pour les finances publiques.

 

Poursuivant son développement au cœur des territoires, Oxand accompagne de plus en plus d’acteurs publics et privés  

Déjà présent auprès de grands acteurs publics et gestionnaires d’infrastructures comme les sociétés d’autoroutes APRR ou la Métropole de Lyon, Oxand poursuit l’implantation de sa solution prédictive Infrasim auprès d’acteurs clés de nos territoires.

• La Banque des Territoires 

La Banque des Territoires fait le constat que 10% des ouvrages en France sont théoriquement en mauvais état structurel. C’est de cette analyse qu’est né le projet PrioRénoPonts en partenariat avec Oxand et la solution Infrasim, un outil dédié aux collectivités pour évaluer l’état et les risques de leurs ponts et d’estimer les besoins d’investissements à court et long terme. Cet outil sert de base objective sur l’attribution de prêt par la Caisse des Dépôts et Consignations dans le cadre de l’initiative du « Plan de relance pour la transition écologique et énergétique ».  L’outil 100% gratuit PrioRénoPonts a déjà permis à plus d’une centaine de collectivités de définir le montant des investissements à réaliser afin de maintenir les ouvrages dans un bon état de fonctionnement avec un niveau de risque maîtrisé.

• Le Conseil Départemental des Côtes d’Armor 

Le Conseil départemental des Côtes-d’Armor a fait appel à Oxand sur deux enjeux : le premier sur la programmation pluriannuelle des investissements dynamique sur les ouvrages ; le deuxième sur la construction une méthodologie de priorisation des actions à risques. Ce territoire est riche de plus de 1800 ouvrages particulièrement diversifiés dans la typologie de ces derniers.  Le logiciel Infrasim a permis de réaliser l’inventaire des ouvrages et d’en évaluer le vieillissement. Le Département a pu simuler la meilleure gestion du parc des actifs. Ainsi, le Conseil départemental optimise ses budgets d’investissement et construit une vision prédictive du vieillissement du parc.

• A’liénor et l’autoroute A65 

A’liénor a choisi Infrasim afin de définir une stratégie d’entretien des ouvrages et des chaussées dans le cadre de leurs obligations de concession, qui prendra fin en 2066. Grâce aux collectes de données sur les 157 ouvrages et les 150km d’autoroutes, A’liénor détient un véritable inventaire de son parc d’actifs, associé aux notes IQOA et peut donc simuler des trajectoires d’investissement d’entretien et de rénovation. Les investissements priorisés par les risques permettront d’aligner les enjeux budgétaires du concessionnaire ainsi que les enjeux d’exploitation et de sécurité de l’État.

La solution Infrasim

Infrasim permet aux propriétaires, gestionnaires et concessionnaires de bénéficier d’une solution logicielle de pilotage de leurs décisions d’investissement et des actions de maintenance et travaux.  La solution offre à ses utilisateurs un écosystème technologique complet autour de l’optimisation des plans de maintenance et travaux relatifs aux ouvrages d’art et aux chaussées : inventaire, diagnostic, simulation de stratégie de maintenance, programmation pluriannuelle d’actions, mobilité et tableaux de bord.    Infrasim accompagne aujourd’hui plus d’une vingtaine de collectivités : par exemple le Conseil Départemental des Côtes d’Armor, le Conseil Départemental de la Meuse et la métropole du Grand Lyon.

À propos d’Oxand 

Fondée en 2002, Oxand est le leader européen de la PredTech spécialisée dans la gestion prédictive et l’optimisation durable de la performance des actifs immobiliers et des infrastructures. La société a constitué depuis près de 20 ans une base de données prédictive unique sur le vieillissement et les coûts de maintenance des infrastructures et des bâtiments à partir de laquelle elle simule le cycle de vie des bâtiments et des infrastructures privés et publics. Oxand permet aux gestionnaires de ces actifs de mieux les gérer et les rendre plus durables. La société a déjà réalisé 3000 projets en Europe et possède 10 000 modèles prédictifs. Oxand a réalisé 14 M€ de chiffre d’affaires en 2020 et compte quatre-vingts collaborateurs, dont 2/3 de consultants métier, data scientists et experts en France, Suisse et aux Pays-Bas. Oxand est lauréat du prix Systematic et dispose du Label FrenchTech. Elle est dirigée par Rémy Jacquier. Plus sur www.oxand.com/fr

Fin de la gratuité des tests antigéniques et PCR

La fin de la gratuité des tests PCR et Antigéniques est effective depuis le vendredi 15 octobre. Quels seront les enjeux et conséquences pour les pharmaciens ? Comment vont-ils s’organiser ?

RMC, avec BFM TV a échangé avec Cyril Slama, pharmacien titulaire de la Pharmacie des halles à Paris.

Son interview ici (à partir de 10’06)

Qui sont les office managers ?

C’est la question à laquelle tente de répondre une récente étude de l’Arseg dont les résultats ont été dévoilés début octobre. Une enquête menée auprès de 150 office managers qui permet de mieux cerner le profil socio-économique d’une profession encore méconnue mais dont le rôle est grandissant dans les entreprises.

A lire ICI

Réchauffement climatique : La « compensation » carbone plutôt que la « réduction », le jeu de dupe des entreprises ?

Dans son rapport Compensation, tout sauf neutre, publié le 6 octobre, CCFD-Terre Solidaire s’est penchée sur la façon dont Nespresso, Total Energies et Air France comptent atteindre la neutralité carbone, objectif qu’elles se sont toutes fixées. L’ONG regrette que leurs stratégies reposent pour beaucoup sur la compensation carbone plutôt que sur la réduction drastique de leurs émissions.

A lire ICI

Anthony Brice, fondateur de Tutos’Me, lauréat du Réseau Entreprendre

Paris, le 13 octobre 2021 – François-Xavier Thailly Directeur Général Délégué de Tutos’Me (Organisme de formation et collectif de formateur) et Anthony Brice Président du Groupe 39 et notamment de Tutos’Me seront distingués le 14 octobre 2021, à l’occasion de la 9ème édition de la soirée des Lauréats du Réseau Entreprendre Val d’Oise pour leur esprit d’initiative dans l’univers de l’insertion et de la formation professionnelle.

« Je suis très honoré d’être ainsi distingué comme entrepreneur. Mais je suis surtout fier d’avoir créé une entreprise dans le secteur de la formation et de l’insertion professionnelle car la solidarité au service de la collectivité fait partie de mes priorités personnelles » commente Anthony Brice Président et fondateur de Tutos’Me.

Créateur de lien

Après différentes expériences professionnelles notamment dans la restauration, Anthony Brice décide en 2015 de se lancer dans l’entrepreneuriat en créant Tutos’Me, avec pour ambition la mise en relation de particuliers en quête d’apprentissage et de formateurs en quête de transmission. Après quelques mois expérimentaux à chercher équilibre et modèle économique efficients : l’entreprise change de braquet et bifurque sur l’idée de la délégation de formateur en conservant au cœur du projet l’envie de créer du lien.

La force du collectif

Véritable connecteur au service des organismes de formations Tutos’Me se définit comme un collectif de 13 000 formateurs proposant 300 domaines expertises. Couronnée de succès dès la première année, Tutos’Me est passée d’un chiffre d’affaires de 300 000 d’euros en 2015 à près de 5 000 000 d’euros en 2020. Rassemblant plus de 50 salariés Tutos’Me représente aujourd’hui ¼ des formateurs indépendants du marché.

Démarrage de l’hypercroissance

Le succès de Tutos’Me a permis de faire naître le Groupe 39, famille d’entreprises portées par un objectif commun : la formation pour tous. Crée en 2020 par Anthony Brice son président, il rassemble cinq entreprises (Assofac, C2F, DstancieL, Tutos’Me, Campus des Carrières) qui interviennent sur l’ensemble de la chaîne de la formation professionnelle : organisme de formation, délégation de formateur, développement des compétences, conception de supports, ingénierie pédagogique, formation à distance, apprentissage, e-learning… Le groupe accompagne plus de 5000 personnes tant en formation initiale qu’en formation continue, avec un objectif commun : l’insertion professionnelle. Au quotidien, ce sont ainsi plus de 2500 personnes qui travaillent, agissent, forment et transmettent, grâce au Groupe 39. En 2020, le groupe a revendiqué un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros.

Plus d’informations sur le Groupe 39 : https://www.groupe39.org

Plus d’informations sur Tutos’Me : https://www.tutos.pro/

 

Contact Medias

Agence Ozinfos

Amine Moussaoui : 06 27 26 49 64

Robinson Lebrun : 06 08 80 82 01

Groupe39@ozinfos.com

L’économie, simple comme un polar de San-Antonio

Alors que s’ouvre le Printemps de l’économie, qui a vocation à faire pédagogie sur une science que les Français goûteraient peu, Pierrick Fay et ses invités expliquent dans « La Story », le podcast d’actualité des « Echos », comment rendre l’enseignement de l’économie plus attractif avec, notamment, la littérature ou la BD.

A lire et écouter ICI