Pharmabest, milite pour le dépistage précoce du cancer du sein et devient partenaire de l’association Ruban Rose.

Paris, le 27 aout 2020 – Le Ruban Rose est aujourd’hui le symbole mondial du mois de sensibilisation à la lutte contre le cancer du sein qui concerne 1 femme sur 8. Le groupement Pharmabest qui organise depuis plusieurs années des actions lors du mois d’Octobre Rose, a décidé de franchir une étape en devenant partenaire de l’association Ruban Rose. Cet engagement financier en faveur de la recherche, est également l’occasion de conduire des actions de sensibilisation auprès de ses millions de clients qui franchissent chaque jour le seuil de ses 91 officines. Objectif : favoriser la prévention et accompagner les femmes dans leur parcours de soin!

Alors que le confinement a retardé de nombreux gestes de dépistage, Pharmabest souhaite soutenir avec force la campagne 2020 d’Octobre Rose pour rappeler que le dépistage précoce du cancer du sein, permet d’atteindre de très hauts taux de guérison tout en réduisant considérablement l’agressivité des traitements appliqués.

Un engagement dans l’ADN du Groupement

Engagés au quotidien pour la santé des français, les pharmaciens favorisent les gestes de prévention, et Pharmabest s’est déjà illustré par des campagnes en officines, de détection du mélanome (depuis 2018), de vaccination (depuis 2019). En devenant partenaire de l’association Ruban Rose, le groupement devient le premier réseau de pharmaciens à manifester un soutien et un engagement aux actions de l’association : sensibilisation au dépistage précoce et soutien à la recherche contre le cancer du sein.

« En soutenant l’association qui favorise la prévention du cancer du sein, nous nous adressons à nos nombreuses clientes qui seront les ambassadrices de ces messages et aussi, nous apportons une contribution financière à une association qui a besoin, en période de crise, de maintenir ses ressources », déclare David Abenhaim, Président du Groupement Pharmabest.

« L’association Ruban Rose est heureuse de compter sur le soutien du groupement Pharmabest pour Octobre Rose 2020. Grâce à son réseau, la sensibilisation pour la lutte contre le cancer du sein sera renforcée. Merci ! » déclare Sandrine Planchon, responsable de l’association Ruban Rose.

Un dispositif national et en région

Un dispositif d’information et de sensibilisation viendra en outre soutenir les actions menées par chaque officine en direction de leurs clientes.

Informer : Des Rubans Roses ainsi qu’un kit d’information seront disponibles durant le mois d’octobre sur les présentoirs d’information mis à disposition aux comptoirs des 91 officines du groupement.

Sensibiliser : En complément des messages de prévention seront adressés en officine (PLV, écran TV), sur les réseaux sociaux (site web, Facebook, Youtube, LinkedIn, twitter), ainsi qu’une double page d’information sur le dépistage et à la recherche sera dédiée dans le magazine de Pharmabest distribué à 450 000 exemplaires et accessible en ligne sur le blog Pharmabest.

« Au-delà de l’engagement financier, nous avons souhaité relayer les messages de prévention sur nos propres médias qui sont puissants et diversifiés. Ce dispositif national, vise en outre à soutenir la visibilité des actions menées par de nombreuses officines auprès de leurs clientes » souligne Alain Styl, Directeur général de Pharmabest.

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A propos de PHARMABEST

Pharmabest s’est hissé en quatre ans parmi les tout premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe en juin 2021, 91 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse, à la Martinique et en Guadeloupe. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 840 millions d’euros en 2019. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’ordre accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 16 millions d’ordonnances. Pharmabest, c’est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 790 000 abonnés et 70 marques – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement 100% naturelle autour d’une gamme de compléments alimentaires et d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de pré-dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site internet national www.pharmabest.com – novembre 2019, lancement du Click & Collect.

Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur internet, dans une application et avec un magazine mensuel distribué à 500 000 exemplaires. Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur Général, Alain Styl.

 

 

Contacts médias

Agence Ozinfos

Marie-Céline Terré – Manon Vautier – 06 09 47 47 45 / 07 72 21 56 48 – pharmabest@ozinfos.com

OZINFOS présente « (Re) boost » l’offre RP qui permet aux TPE/PME d’accélérer leur développement

Paris, le 24 aout 2020 – Alors que les entreprises ont un cruel besoin de relancer leur activité, OZINFOS, agence de communication d’influence, en partenariat avec l’institut de sondage Odoxa, présente « (Re) boost ». Une action coup de poing dédiée principalement aux acteurs du conseil et aux TPE / PME qui souhaitent s’adresser différemment à leur marché tout en valorisant leur expertise.

« (Re) boost » propose un mix gagnant : « Relations presse et Sondage » pour assurer un maximum de visibilité sur un mois, dans les médias et sur les réseaux sociaux. Cette offre de relance qui peut convenir également au secteur du « Non-profit », associations, Think tanks ou encore fédérations, s’accompagne d’une part de rémunération variable en fonction des résultats.

« Alors que les entreprises ont un besoin urgent de renouer avec la croissance de leur activité, que la crise de la Covid-19 a rebattu les cartes d’un certain nombre de modèles économiques, nous sommes convaincus que nous pouvons soutenir la relance d’acteurs économiques, par une campagne RP et social média maligne, efficace et ancrée sur du contenu informatif. En nouant ce partenariat avec l’institut de sondage Odoxa, nous assurons aux entreprises de disposer de contenus différenciant, intelligents et objectifs pouvant nourrir leurs prises de parole », déclare Marie-Céline Terré, directrice et fondatrice d’OZINFOS.

« A l’heure où tout le monde parle au nom des Français, des consommateurs, des entreprises… le sondage permet de faire un état des lieux sérieux et représentatif des opinions et des comportements. Les médias sont à la recherche de cette matière solide et objective ainsi que d’experts pour la commenter. Aux côtés d’OZINFOS, Odoxa mettra sa connaissance du monde des sondages et des médias au service des PME et des TPE » ajoute Céline Bracq, directrice générale et co-fondatrice d’Odoxa

Une offre RP simple et accessible qui accélère le « time to market »

« (Re) boost » propose la médiatisation 360° des résultats d’un sondage exclusif réalisé en partenariat avec Odoxa sur un thème relevant de l’actualité du secteur de l’entreprise. Objectifs : être visible dans les médias autour de son expertise pour développer des leads et soutenir les actions de développement de l’entreprise. L’agence qui coordonne la mission, assure la phase de conseil sur les thématiques, le brief des équipes Odoxa et produit les contenus qui seront médiatisés. « (Re) boost » est conçue pour être simple et facile à mettre en œuvre en proposant un interlocuteur unique pour gérer l’ensemble du processus. Le porte-parole n’étant véritablement mobilisé que dans la phase médiatique de l’offre.

Un kit média complet clés en main

La réalisation du sondage d’opinion de cinq questions auprès d’un panel représentatif de français, s’accompagne d’un kit média clés en main composé :

  • d’un ciblage précis de journalistes destinataires
  • d’une visioconférence de presse de présentation des résultats
  • d’un communiqué de presse détaillant les résultats associés à un commentaire de l‘entreprise

OZINFOS pour mémoire

Créée en 2001 par Marie-Céline Terré, OZINFOS s’intéresse en priorité aux enjeux éco-sociaux-sociétaux des entreprises, institutions ou du collectivités publiques pour développer leur visibilité et leur réputation en donnant la priorité absolue aux contenus et messages déployés dans des programmes de relations média et d’influence 360°. L’agence propose également des actions de préparation à la prise de parole (médiacoaching) et dispose d’un savoir-faire très expert en matière de communication dans un environnement complexe (fusion, croissance externe, restructuration, réorganisation).

OZINFOS est une agence engagée : membre associé de l’AJEF (association des journalistes économiques et financiers) et de l’AJIS (association des journalistes d’information sociale), elle contriue activement à l’organisation professionnelle IP&C (information presse et communication) et au Club Mac Luhan.

Parmi ses clients OZINFOS compte notamment des acteurs de la mobilité : (le Laboratoire de la Mobilité Inclusive, Saemes) et des acteurs associatifs (Association PuissanceDYS, CCFD Terre Solidaire, la Fondation Apprentis d’Auteuil, Le Printemps de l’Économie, Voxfémina), des acteurs du conseil (Jeantet avocats, GAE Conseil, Empreinte Humaine, Fédération des intervenants en RPS…) ou encore des acteurs du retail (Pharmabest, SOLOGroup).

En savoir plus www.ozinfos.com / Twitter : @ozinfos

ODOXA pour mémoire

Entreprise française indépendante créé en 2014, Odoxa, travaille sur tous les champs ayant trait à l’Opinion, de la politique à l’économie en passant par les questions sociétales, de sport ou de santé publique. L’institut d’études publie chaque semaine 4 sondages en moyenne.

Odoxa dispose de nombreux rendez-vous réguliers publiés dans les principaux médias français.

En savoir plus www.odoxa.fr / Twitter : @OdoxaSondages

 

Contacts média

Sothany TUM – 06 27 26 49 65 – sothany@ozinfos.com

Amine MOUSSAOUI – 06 27 26 49 64 – amine@ozinfos.com

La santé psychologique des salariés français s’améliore mais reste très préoccupante deux semaines après la sortie du confinement, des solutions existent

Etat psychologique, Risques Psychosociaux,

Résilience des Salariés Français & Déconfinement

3ème vague du baromètre :

42% des salariés sont en situation de détresse psychologique (-5) dont 17% en détresse élevée (-4)

78% des salariés ont confiance dans les mesures de prévention instaurées dans leur entreprise

Lé déconfinement est source de peur pour 1 salarié sur 2 et de tensions dans l’entreprise pour 41%

53% des salariés font preuve de résilience, de croissance post-traumatique [1]

Les salariés en détresse psychologique déclarent de 1,5 à 3 fois plus de problèmes de santé physique 

 

Paris le 9 juin 2020 – A l’occasion de la Semaine pour la qualité de vie au travail (15 au 19 juin), Empreinte Humaine dévoile les résultats de la 3ème vague de son baromètre relatif à la santé psychologique et physique des salariés. Faisant suite à deux premières vagues qui ont indiscutablement démontré le caractère autant psychosocial qu’épidémiologique de la crise (en pointant notamment un taux de détresse psychologique des salariés de 47%), cette 3ème vague est l’occasion de prendre le pouls de l’état des salariés en sortie de confinement mais aussi de poser quelques questions structurantes sur l’avenir du rapport des salariés au travail.

Les salariés français sont-ils marqués ? Le télétravail sera-t-il massivement développé par les entreprises ? Est-il positif ou négatif pour la santé mentale des salariés ? La détresse psychologique s’est elle transformée en syndrome post-traumatique ? Quelles sont les capacités de résilience des salariés ? Comment les entreprises peuvent-elles la favoriser en termes d’organisation du travail ?

Autant d’indicateurs sur lesquels cette 3ème vague se propose de revenir. Si la situation des salariés s’améliore, elle présente néanmoins de sérieux points de vigilance et d’inquiétude : 42% des salariés sont en situation de détresse psychologique (-5 pts) et 17% en détresse élevée (-4 pts), ce qui reste considérable. Plus de la moitié des salariés font preuve de résilience. Autre grand enseignement : les salariés en détresse psychologique déclarent entre 1,5 et 3 fois plus de problèmes de santé physique (troubles du sommeil, douleurs et tensions musculo-squelettiques, maux de tête, problèmes digestifs, cardiovasculaires ou hypertension).

 « Si le déconfinement peut produire des effets positifs sur l’état de santé psychologique des salariés avec notamment le niveau de détresse qui baisse tout en restant conséquent, celui-ci demeure quand même préoccupant notamment au regard des pathologies physiques qui apparaissent. Il faut que les entreprises soient vigilantes » déclarent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

L’état des salariés s’améliore mais continue d’être préoccupant

Si le déconfinement a permis une baisse du taux de détresse psychologique des salariés, celui-ci reste malgré tout très important avec 42% de détresse psychologique (-5 pts) et 17% de détresse élevée (-4 pts).

Enfin, le déconfinement semble être facteur d’anxiété nouvelle pour les salariés. Même si 78% d’entre eux déclarent avoir confiance dans les mesures de prévention sanitaires mises en place dans leur entreprise, le déconfinement est source de peur pour 1 personne sur 2, et des tensions entre les personnes sont apparues avec le déconfinement dans l’entreprise pour 41%.

 « L’accompagnement des salariés qui ont vécus différemment les mesures de confinement est un gage de réussite de la reprise et du retour au travail. Ces tensions naissent en partie de sentiment d’iniquité parfois liés à des mesures non compris ou acceptées, de comparaisons inadéquates ou de colères accumulées durant la période précédente. Proposer des espaces de discussion individuelle et collective analyse Jean Pierre BRUN

Pas de santé physique sans santé psychologique 

Les salariés étant en détresse psychologique élevée déclarent 1,5 à 3 fois plus de problèmes de santé physique.

  • 35% des salariés ont des problèmes de sommeil
  • 28% déclarent avoir des douleurs et tensions musculo squelettiques (épaule, dos, poignet…)
  • 22% des maux de tête
  • 15% des problèmes digestifs
  • 7% déclarent des problèmes cardiovasculaires ou d’hypertension
  • 7% des nausées

« La littérature scientifique a montré depuis quelques années les effets des risques psychosociaux sur la santé physique. Il n’y aura pas desanté physique sans santé mentale. Agir sur le bien-être c’est développer aussi la santé globale des salariés, mais c’est aussi agir sur l’absentéisme » commente Jean-Pierre BRUN

Plus la détresse psychologique augmente plus la performance baisse

Fait notable, les salariés qui ne sont pas en détresse psychologique, indiquent une performance de 80%. Ce taux baisse notablement tandis que le niveau de détresse psychologique augmente. Ainsi les salariés en détresse modérée indiquent une performance de 69% devant les salariés en détresse psychologique élevée qui déclarent quant à eux une performance s’établissant à 59%. « On voit moins de détresse psychologique des salariés quand il y a du soutien des N+1 et des collègues. La prévention des risques psychosociaux en entreprise doit clairement s’organiser autour de ces objectifs pour l’heure et pour l’avenir. Nous invitons les entreprises à intégrer ces faits pour organiser leur principes de prévention en pensant d’abord au rôle du management » ajoute Jean-Pierre BRUN.

Le soutien de l’entreprise, de la  DRH, du supérieur, des collègues ou des IRP est présent

72% des salariés se sentent soutenus par leur N+1, devant leur direction (65%), la DRH (56%), le soutien des collègues et des instances représentatives du personnel se plaçant respectivement à 79% et 59%.

Enfin 73% pensent que leur entreprise fait son maximum pour aider les salariés. Aussi, 50% souhaitent que leur entreprise les aide à mieux appréhender psychologiquement leur travail.  « Les salariés saluent majoritairement les efforts de leur entreprise. Cette attente d’accompagnement à mieux appréhender psychologiquement le travail ne peut pas être comblée par une ligne d’écoute psychologique externalisée » poursuit Christophe NGUYEN

Plus de la moitié des salariés font preuve de résilience

Néanmoins l’étude démontre une part importante (53%) des salariés en croissance post traumatique (CPT)[2].

« Comme pour toute crise ou évènement potentiellement traumatique, il existe un phénomène de résilience appelé la croissance post-traumatique. Elle correspond à des changements intérieurs (augmentation de la compassion, nouvelles orientations de vie, meilleurs investissement dans les relations humaines… et permet de développer des bénéfices psychologiques. Les études scientifiques montrent qu’elle permet de prévenir la dépression notamment ou d’autres troubles mentaux » analyse Christophe NGUYEN

  • 84% des personnes en situation de croissance post-traumatique (CPT) éprouvent plus de bien-être que ceux qui ne sont pas en CPT
  • 60% des salariés disent mieux apprécier la valeur de la vie
  • Pour 48%, leurs priorités ont changé
  • 41% se rendent mieux compte qu’ils peuvent compter sur les autres en cas de problèmes
  • 53% sont plus enclins à changer ce qui doit l’être
  • 46% ont davantage de compassion pour les autres
  • 42% se sentent plus proche des autres
  • 38% acceptent d’avoir besoin des autres
  • 34% ont de nouveaux centres d’intérêt
  • 34% ont donné une nouvelle orientation à leur vie
  • 21% ont une foi religieuse renforcée

« Beaucoup seront marqués mais tous ne seront pas traumatisés : la résilience des salariés français est en cours. La crise psychologique se transforme en de nouvelles attentes et priorités, nouveaux centres d’intérêt ou de réorientation de vie… des personnes, ce qui contribue à préserver leur santé psychologique. Ces transformations positives créeront forcément de nouvelles attentes envers le politique, le social et l’entreprise où notamment le sens du travail a été questionné, tout comme la valeur apporté à leur santé personnelle et celle qu’ils souhaite développer dans le cadre professionnel. Les entreprises ont tout intérêt à prendre en compte ces changements loin d’être neutres et qui risquent de s’ancrer profondément. Certaines entreprises proposent un cadre de travail permettant cette résilience individuelle et organisationnelle. Cette résilience est à prendre en compte au moment où on parle de résilience de l’économie ou de refondation de l’objet social des entreprises. » ajoute Christophe NGUYEN

« Nous avons étudié les facteurs organisationnels qui favorisent de cette résilience, comme les pratiques saines de management, l’équité, un développement dans les tâches… ou les actions pour réduire l’incertitude dans le contexte que nous connaissons. Ces bonnes pratiques convergent avec les actions que nous déployons au sein des entreprises et nous avons voulu en tester scientifiquement la pertinence. » précise  Jean PierreBRUN

Les salariés français et le télétravail

Quelques points positifs du télétravail propices au bien-être ont été identifiés.

  • 68% arrivent à bien concilier vie professionnelle et personnelle
  • 65% ont des moyens suffisants
  • 73% ont des rôles et des objectifs clairs
  • 70% sont autonomes
  • 6 à 7/10 ont du soutien de leurs collègues ou managers

Si les taux de détresse psychologiques sont comparables entre les télétravailleurs et les autres salariés en activité, ils sont néanmoins 85% à vouloir conserver la possibilité de faire du télétravail et 66% qui souhaitent pouvoir venir dans les locaux pendant cette période de COVID19.

  • 27% considèrent qu’il s’agit d’une contrainte (72% d’entre eux sont en détresse psychologique dont 39% élevée)
  • 39% se sentent isolés à cause du télétravail (66% d’entre eux sont en détresse psychologique dont 29% élevée)
  • 53% veulent plus de règles de fonctionnement pour le télétravail (51 % d’entre eux sont en détresse psychologique dont 23% élevé) vs 30% (dont 9% élevé) pour ceux qui n’en veulent pas plus ou en ont assez.
  • 39% se sentent isolés à cause du télétravail (66% d’entre eux sont en détresse psychologique dont 29% élevée)
  • 60% estiment que le télétravail crée plus de réunions

« Pour préserver la santé psychologique, le télétravail ne doit pas vécu comme une contrainte (c’est là où on a les plus forts taux de détresse)  et doit être accompagné tout en laissant un pouvoir d’organisation aux salariés. Malgré tout, on le constate ici un besoin de règles pour encadrer le télétravail et ce déficit n’est pas sain pour un peu plus de la moitié des télétravailleurs. Cette situation fait penser à l’époque où les mails sont arrivés dans le monde de l’entreprise sans avoir été accompagnés de règles, de cadre d’utilisation ou de prévention, ou alors tardivement. Il ne faudrait pas reproduire les mêmes erreurs et constaté les mêmes conséquences. » commente Christophe NGUYEN.

Dans quelles situations le télétravail est-il source de détresse psychologique ? Quels sont risques psychosociaux des télétravailleurs ?

  • 60% trouvent que leur travail est haché, interrompu
  • 66% ressentent de l’infobésité (trop plein d’informations)
  • 54% des télétravailleurs vivent leurs tâches comme répétitives
  • 30% manquent d’autonomie pour décider du déroulement de leur travail
  • 50% déclarent ne pas être consultés pour des décisions ayant un impact sur eux
  • 42% pensent qu’ils ne reçoivent pas l’estime et le respect mérité au regard de leurs efforts
  • 25% disent que le travail n’a pas de sens pour eux ou l’entreprise
  • 22% perçoivent des menaces, intimidations ou de la malveillance
  • 44% vivent de la qualité empêchée : 61% pensent faire des choses qui auraient dû être faites différemment
  • 40% des télétravailleurs n’arrivent pas à oublier le travail après la journée
  • 50% cachent leur émotion ou font semblant d’être de bonne humeur (facticité émotionnelle)

 

« Le télétravail peut être source de bien-être et d’engagement quand il est bien conçu et accompagné. Il doit reposer sur des principes de confiance/ autonomie, responsabilisation et conciliation entre conception et exécution du travail et donc sur la participation aux décisions, l’autonomie, le développement dans les tâches… pour participer à un meilleur équilibre des vies et permettre un travail dans lequel le télétravailleur peut se reconnaître et être fier. Toutefois,  on a vu qu’une forme de télétravail pouvait être à l’inverse des principes positifs pour concilier bien-être et efficacité au travail. Il  génère un risque psychosocial fort  quand il est néo-taylorisé et quand le management ou les relations ne sont pas adaptés. L’encadrement du télétravail ne doit pas être uniquement être réalisé d’un point de vue juridique ou de charte mais aussi et surtout autour de l’organisation, des comportements et des attitudes au travail. » Christophe NGUYEN

« Cette nouvelle organisation massive du télétravail induit des opportunités ainsi que de nouveaux risques. Les entreprises doivent pouvoir proposer des organisations du travail favorisant la résilience. Certaines caractéristiques de la résilience sont absentes dans une certaine forme de télétravail actuel. Le télétravail n’est pas qu’un déplacement physique du travail mais change tous les comportements qui doivent être accompagnés.  » ajoute Jean-Pierre BRUN

Méthodologie de l’étude :

La 3ème vague du Baromètre « Impact de la crise sanitaire sur la santé des salariés » OpinionWay pour Empreinte Humaine, a été réalisé en ligne. Les interviews ont été faites du 20 au 29 mai auprès d’un échantillon de 2000 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises. La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’être atteintes de troubles mentaux sérieux.

Le questionnaire utilisé pour mesurer la résilience est également un questionnaire validé et qui a fait l’objet de nombreuses publications internationales.

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

 

Contacts média

Agence Ozinfos

Sothany TUM / Amine MOUSSAOUI

06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com

[1] [2] La manière dont on peut se transformer psychologiquement de façon positive après une épreuve et s’ouvrir à une autre vision de la vie (ses valeurs, ses priorités…) : meilleure attention portée à soi, plus d’ouverture aux autres, plus d’intérêt accordé aux relations, plus d’empathie, sens renforcé de ses forces personnelles… La résilience maintient la santé psychologique et protège notamment de la dépression, de syndrome post traumatique

Marie-Célien TERRE, fondatrice de l’agence Ozinfos revient pour L’ADN sur les mois de confinement

Marie-Céline Terré fondatrice de l’agence Ozinfos évoquait ce matin dans L’ADN la façon dont l’agence a vécu ces trois mois de #confinement liés à la #crise #sanitaire et au #coronavirus #covid19 #RP #journalistes #Communication #influence

Pour voir la vidéo c’est ICI

La solidarité à l’épreuve du coronavirus – Une enquête Ipsos – Apprentis d’Auteuil auprès de l’ensemble des Français et des hauts revenus

Dans un contexte économique et social morose, et de baisse de la collecte pour de nombreuses associations, Apprentis d’Auteuil s’intéresse à la générosité des Français et à l’impact de la crise du coronavirus sur la solidarité.

La fondation publie une enquête intitulée « La solidarité à l’épreuve du coronavirus », menée par IPSOS auprès de l’ensemble des Français et des hauts revenus.

De quelle manière la solidarité s’est-elle exprimée au cours de la crise sanitaire ? Quels sont les gestes qui ont été plébiscités par les Français ? L’envie de solidarité est-elle temporaire ou « le monde d’après » sera-t-il véritablement plus solidaire ? Quel impact cette crise a-t-elle sur les dons et intentions de dons aux associations ? Quelle part les Français les plus aisés prennent-ils à cet élan de générosité ? Les Français sont-ils au fait des dispositifs fiscaux destinés à encourager leur générosité, et notamment le relèvement du plafond du dispositif Coluche ?

 

A retenir
 

  • En moyenne, les Français les plus aisés ont exprimé leur solidarité pendant la crise sanitaire de 3 manières différentes (2,3 en moyenne pour la population française).
  • Pour 75% des Français à hauts revenus, la crise leur a donné envie d’être plus solidaires
  • La part des donateurs parmi les hauts revenus progresse en 2020 : 82% envisagent de donner (+5 points par rapport à 2019) et 61% l’ont déjà fait.
  • Près d’une personne aisée sur deux compte donner plus qu’en 2019 (49%).
  • Le niveau d’information des plus hauts revenus en matière d’avantages fiscaux liés aux dons, donations et legs est perfectible.
  • La presse est la principale source d’information des hauts revenus en matière d’avantages fiscaux liés aux dons, donations et legs (29% s’informent par ce biais).

 

Une solidarité multiforme pendant la crise sanitaire


Pendant la crise sanitaire, et notamment le confinement, la solidarité a pris de nombreuses formes, selon les possibilités et les envies des Français. Parmi les plus plébiscitées :

 

  • 52% ont pris plus souvent des nouvelles de personnes isolées de leur entourage (un geste encore plus largement effectué par les femmes que par les hommes – 58% contre 46%-).
  • 46% ont pris le temps de remercier les caissiers et caissières pour leur travail, en particulier les séniors (56% des 65 ans et plus l’ont fait).
  • 33% ont rendu service à leurs voisins, notamment les moins de 25 ans (39% l’ont fait).
  • 31% ont applaudi les soignants à 20h, en particulier les Parisiens (41%) et les jeunes (56% des moins de 25 ans).
  • 17% ont remercié les éboueurs par un message, un dessin ou un signe de la main, particulièrement les séniors (23% des 65 ans et plus) sensibles au maintien de ce service essentiel, et les habitants d’une zone particulièrement touchée, le Nord-Est (20%).
  • 16% ont souhaité coudre des masques ou donner du matériel pour en fabriquer, et 6% donner de la nourriture et du matériel médical pour les soignants, deux gestes particulièrement effectués par les foyers les plus modestes.
  • Les dons aux associations ou à des cagnottes en ligne ont concerné un nombre plus restreint de Français (10%), tout comme le bénévolat pour des associations (9%), même si l’investissement de nouveaux bénévoles et notamment des jeunes a permis de palier avec succès à l’absence des bénévoles traditionnellement âgés et qui étaient confinés, et donné l’espoir d’un engagement durable d’une nouvelle génération.

 

Les Français les plus aisés ont également pris part à cet élan de solidarité, en l’exprimant de 3 manières différentes en moyenne (contre 2,3 pour la moyenne des Français), à travers les mêmes gestes que l’ensemble des Français, mais aussi en effectuant plus souvent des dons d’argent (32% contre 10% pour la moyenne des Français), en maintenant le salaire de personnes travaillant habituellement pour eux – garde d’enfants, femmes de ménage – (31% contre 6% des Français certes moins souvent concernés) ou encore en donnant de la nourriture et du matériel médical pour les soignants (20% contre 6% en moyenne).
Le monde d’après sera-t-il plus solidaire ?

  • Les Français sont convaincus que de nombreuses catégories de population vont être gravement impactées par les conséquences économiques et sociales de la pandémie : commerçants (92% le pensent) et auto-entrepreneurs en tête (91%), mais aussi familles modestes (83%), jeunes en difficulté scolaire (81%) et jeunes adultes sans emploi ni formation de 18 à 25 ans (79%), devant même les personnes sans domicile (78%), les salariés (75%), les chômeurs (64%) et les retraités (46%).
  • Mais alors que l’entraide va être particulièrement nécessaire dans les mois qui viennent, seuls 28% des Français croient que le monde « d’après » sera plus solidaire, à l’exception notable des jeunes (42% des moins de 35 ans et même 56% des moins de 25 ans), mais aussi des plus hauts revenus (43%).
  • Même si un certain nombre de Français doutent d’une transformation durable de la société, à titre individuel près des deux tiers des Français déclarent que la crise et ses conséquences anticipées leur ont donné envie d’être plus solidaires des autres (65%, dont 12% « beaucoup plus ») et c’est particulièrement le cas là encore des plus jeunes (79% des moins de 25 ans) et des plus hauts revenus (75% dont 34% « beaucoup plus »).
  • Les Français considèrent d’ailleurs que les citoyens (et donc eux-mêmes) ont un rôle primordial à jouer pour construire le monde de demain (62%), après l’Etat certes (80%) et juste derrière les entreprises (64%). Les associations ont également évidemment un rôle crucial à jouer (84% des Français considèrent qu’elles ont un rôle important ou primordial).
  • Cet élan se traduit avant tout par la volonté d’être plus solidaire de certains membres de son entourage (74% des Français le disent dont 49% qui pensent certainement l’être dans les prochains mois, les 25% restants n’étant pas sûrs que ce sera vraiment le cas) et des dons en nature (54% dont 25% qui pensent certainement le faire), plus que par des dons d’argent (44% dont 21% certainement) sauf chez les hauts revenus (76% d’intentions dont 48% de certitudes).

Ces derniers sont également plus nombreux que la moyenne des Français à envisager de s’engager bénévolement au sein d’un organisme (56% des hauts revenus dont 26% qui en sont certains) voire même en se réorientant professionnellement (38% dont 19% qui pensent certainement le faire).

Pour ces Français les plus aisés, la crise sanitaire et la conscience de la violence de son impact économique et social ont donc agi comme de véritables révélateurs.
« Les Français sont convaincus que l’impact économique et social de cette crise sera considérable et ils ont raison. Nous le constatons depuis le début, les familles précaires en ressortent encore plus fragilisées, le nombre de décrocheurs scolaires est de plus en plus élevés et l’insertion des jeunes s’annonce comme l’un des défis les plus importants qu’il faudra relever. Sur tous ces sujets, les équipes d’Apprentis d’Auteuil restent plus que jamais mobilisées. » insiste Stéphane Dauge, Directeur de la communication et de la collecte d’Apprentis d’Auteuil.
Quel impact sur les dons aux organismes caritatifs en 2020 ?

  • 51% de Français ont déjà donné ou comptent donner en 2020, soit exactement la même proportion qu’en 2019. Cette stabilité s’explique par la crainte à l’égard de l’avenir économique, qui tempère l’élan de générosité observé. En revanche, la part de donateurs parmi les hauts revenus progresse : 82% comptent donner en 2020 (+5 points par rapport à 2019) et parmi eux 61% ont d’ailleurs déjà donné au 1er semestre.
  • Une majorité de Français pense donner le même montant qu’en 2019 (52%), alors que 18% pensent donner moins, notamment compte tenu de l’incertitude économique. Face à l’augmentation des besoins, tous les espoirs sont donc tournés vers les 25% restants qui ont l’intention de donner plus (et même 3% « beaucoup plus »). Pour rappel, le montant global donné en 2019 était en moyenne de 300 €, avec des dons totalisant 100 € ou moins pour près de la moitié des donateurs. La contribution des plus hauts revenus devrait également s’avérer décisive (49% pensent donner plus dont 15% « beaucoup plus », pour un montant global moyen de dons de 2140 € en 2019).
  • Logiquement, compte tenu du contexte, les Français comptent avant tout donner en 2020 pour la santé et la recherche médicale (39%), mais aussi pour l’aide aux personnes démunies (27%) et l’environnement (27%), sans oublier la traditionnelle défense des animaux (23%). Le contexte ne fait pas oublier l’enfance et l’éducation (20% des intentions de don ; 34% pour les hauts revenus), elles aussi fortement impactées par la crise sanitaire et le confinement qui a accéléré les difficultés scolaires.

« Il est encourageant de constater, dans la crise sanitaire inédite que nous traversons, qu’un Français sur quatre et près de la moitié de ceux disposant de hauts revenus, comptent augmenter le montant de leurs dons cette année par rapport à 2019. » souligne Stéphane Dauge, Directeur de la communication et de la collecte d’Apprentis d’Auteuil.
L’information sur les dispositifs fiscaux cruciale pour maximiser les dons

  • Seuls 27% des Français savent que le plafond de déduction des dons aux associations permettant de bénéficier d’une réduction de 75% sur son impôt sur le revenu a été relevé (de 552€ prévus à 1000€) pour l’année 2020. Mieux faire connaître cette mesure est crucial dans la mesure où 88% des donateurs en 2019 ont donné dans la limite de ce plafond de déductibilité – maximum de 537€ pour 2019).
  • Le niveau d’information des plus hauts revenus en matière d’avantages fiscaux liés aux dons, donations et legs reste lui aussi perfectible : 81% s’estiment aujourd’hui bien informés mais seulement 37% « très bien informés » sur ce sujet. Ils sont aujourd’hui plus d’un tiers à s’estimer mal informés des possibilités de donation de biens immobiliers à des organismes caritatifs (37%), de la possibilité dans le cadre d’une succession d’extraire un bien de la succession (donc de l’assiette de calcul du montant des droits) s’il fait l’objet d’une donation par l’héritier à un organisme caritatif (37%), des modalités de réduction de l’IFI au titre des dons faits à des organismes caritatifs (36%), des dispositifs de legs à des organismes caritatifs (35%) ou encore du report possible de la réduction d’impôt sur le revenu sur les 5 années suivantes lorsque le montant des dons dépasse la limite de 20% du revenu imposable (35%).
  • La presse joue un rôle crucial en la matière, car il s’agit de la principale source d’information des hauts revenus sur ce sujet (29% s’informent par ce biais), avant même l’administration fiscale (26%) ou leur conseiller bancaire (23%).

« On constate que l’information concernant la hausse du plafond de déduction des dons aux associations permettant de bénéficier d’une réduction de 75% sur son impôt sur le revenu n’est pas convenablement parvenue jusqu’aux Français or nous mettons beaucoup d’espoir dans cette mesure. Nous espérons qu’elle pourra les inciter à faire des dons plus importants.» conclut Stéphane Dauge, Directeur de la communication et de la collecte d’Apprentis d’Auteuil.

Méthodologie de l’enquête

Pour répondre à ces questions, Ipsos a réalisé une enquête auprès de 1500 personnes, dont 1000 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française, et de 500 personnes dont le revenu annuel net du foyer est supérieur à 120 000 € (moins de 2% des foyers fiscaux).

 

À propos d’Apprentis d’Auteuil

Fondation catholique reconnue d’utilité publique, acteur engagé de la prévention et de la protection de l’enfance, Apprentis d’Auteuil développe en France et à l’international des programmes d’accueil, d’éducation, de formation et d’insertion pour redonner aux jeunes et aux familles fragilisés ce qui leur manque le plus : la confiance. Apprentis d’Auteuil accompagne plus de 30 000 jeunes et familles dans près de 240 établissements. Ces jeunes lui sont confiés par leur famille ou par l’Aide sociale à l’enfance. La fondation dispense 77 formations professionnelles dans 12 filières. A l’international, Apprentis d’Auteuil a choisi d’agir en partenariat. La fondation mène des actions dans plus de 32 pays aux côtés de ses 70 partenaires locaux. Chaque année, 25 000 jeunes et familles dans le monde bénéficient de ces programmes.

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L’opérateur de stationnement SAEMES se renforce dans le 8ème arrondissement de Paris

Paris le 25 Mai 2020 – Saemesopérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, vient de remporter le contrat d’exploitation des parkings Madeleine Tronchet et Bergson à l’issue d’une consultation publique. L’exploitation de ces 2 ouvrages vient confirmer l’ancrage de Saemes dans le 8ème arrondissement de Paris, qui par sa destination de bureau attire de nombreux automobilistes, ainsi que son expertise dans la rénovation d’ouvrages complexes. L’opérateur propose désormais 4500 places de stationnement dans l’arrondissement.

Saemes a remporté le contrat d’exploitation de la délégation de service public du parking Madeleine situé sous l’église de la Madeleine, et du parking Bergson implanté sous le square Henri Bergson à Paris 8ème (respectivement 975 places voitures sur 6 niveaux et 910 places sur 5 niveaux) pour une durée respective de 10 ans et 11 ans à compter de 2020.

Une rénovation pour adapter l’offre de stationnement aux nouveaux usages de mobilité

Afin de répondre à la demande de stationnement électrique ou hybride, ces deux parkings verront leur offre de bornes de recharge électrique considérablement augmenter avec environ

Après travaux 40% (pour Bergson) et 50% (pour Madeleine-Tronchet) de la capacité des parcs ( seront équipés de bornes de 7 à 22 kVA, soit près de 800 points de charge.

De plus, ces ouvrages bénéficieront dès cette année d’un programme de rénovation complet : mises aux normes PMR (Personnes à Mobilité Réduite) incluant la création d’un ascenseur débouchant en surface pour Bergson, sécurité et incendie, rénovation de l’éclairage et des systèmes de contrôles d’accès (piétons et véhicules), remise en peinture du parc, aménagement de zones pour le stationnement des motos et vélos et de nouveaux services de mobilité.

Une présence significative dans un arrondissement clé

Ces deux parkings supplémentaires permettent de renforcer significativement la présence de Saemes dans le 8ème arrondissement de Paris, où l’opérateur exploite déjà le parc de stationnement public Haussmann Berri avec près de 2200 places depuis juin 2018 et le parking (réservé aux abonnés) Rond-Point Champs-Élysées depuis janvier 2016 (315 places).

Désormais, ce sont près de 4500 places que gère Saemes dans cet arrondissement, où les besoins en stationnement sont importants.

A propos de Saemes

Saemes, opérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, exploite plus de 30 000 places en ouvrage et en voirie et s’inscrit dans une politique d’innovation liée aux nouvelles mobilités urbaines. En 2016, Saemes a lancé sa plateforme d’Opendata devenant ainsi le premier opérateur de stationnement en France à libérer ses données.

Depuis le 1er janvier 2018, Saemes participe, en tant qu’acteur du contrôle du stationnement payant en voirie, à la mise en œuvre de la réforme de la dépénalisation du stationnement. https://www.saemes.fr

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Lignes d’écoute à distance, un outil au service des collaborateurs. Pendant la crise sanitaire, les cabinets adhérents de la FIRPS observent une forte augmentation du recours aux services d’assistance psychologique à distance pour les salariés.

Paris, le 20 mai 2020 – Alors que la période de confinement strict touche à sa fin et que les salariés retrouvent progressivement le chemin des entreprises, la FIRPS (fédération des intervenants en risques psycho-sociaux) fait état d’une utilisation importante des lignes d’assistance psychologique à distance mises en place par les entreprises. Les spécialistes alertent sur l’état psychologique et physique des salariés en sortie de confinement. Très sollicitées pendant le confinement, les lignes d’écoutes à distance devraient maintenir une activité soutenue pendant les prochains mois.

Les services d’assistance psychologique à distance, connus aussi sous l’appellation réductrice de lignes d’écoute ou de numéros verts, sont un des instruments de la prévention des Risques Psychosociaux, mis en place par les entreprises. Depuis plusieurs années, la FIRPS s’attache à encadrer la pratique de ces dispositifs de prévention des RPS, par la publication de guides de bonnes pratiques*.

« Dans un contexte d’urgence lié au besoin de réponses pour accompagner les salariés, les entreprises sont confrontées à une profusion d’acteurs se présentant comme des spécialistes des risques psychosociaux et de l’assistance psychologique à distance. Il nous a paru pertinent d’en rappeler l’usage et la pertinence, comme l’encadrement qui doit en être fait », souligne François Cochet, président de la FIRPS.

Un instrument de prévention des RPS

Depuis début mars, les professionnels membres de la FIRPS (Eléas, IAPR, JLO, Psya, Rehalto/Worplace, ICAS et Stimulus) qui représentent près des 2/3 du marché, constatent tous une sur-sollicitation de ces dispositifs (+45% en moyenne). Cette tendance, déjà sensible au mois de mars, s’est accentuée en avril et se poursuit sur les premières semaines de mai.

Pour faire face à l’augmentation très forte du nombre d’appels (+45%) depuis le 16 mars (date d’entrée en confinement), nous avons renforcé notre équipe par 20 psychologues supplémentaires. En France, notre équipe compte actuellement 64 consultants psychologues cliniciens salariés », déclare Emmanuel Charlot, administrateur de la Firps, directeur de Stimulus.

Ces services, organisés à distance, sont directement opérationnels dans le contexte de l’épidémie. Tous les appels sont pris par des psychologues diplômés et formés à ce soutient à distance. Les cabinets spécialistes de cette activité sont habitués à faire face à des pointes d’activité, comme au moment des attentats terroristes à Paris. Faire face à une augmentation rapide des appels a donc pu se faire sans difficulté.

Les thèmes abordés révèlent les angoisses des salariés pendant la crise sanitaire

La méthodologie de chaque cabinet pour identifier les thématiques traitées n’est pas normée. Il convient donc de rester prudent. Toutefois, la proportion des appels en rapport direct avec la crise sanitaire représente 65%, ce qui correspond à plusieurs dizaines de milliers d’appels de salariés pris en charge par des psychologues sur la période. Cette tendance va en s’amplifiant. Cette thématique prend donc le dessus sur les autres, bien qu’il puisse y avoir un effet lié à la mesure. Un appelant qui évoque les difficultés relationnelles avec son manager du fait du télétravail confiné fait bien référence à la crise sanitaire, mais auparavant, il aurait pu aussi évoquer un problème managérial, qui préexistait au confinement.

D’un cabinet à l’autre, les thématiques abordées lors des appels convergent largement :

  • L’angoisse liée à la maladie qui touche des proches ou des ascendants qui sont en EHPAD, le décès de proches ou de collègues et la difficulté d’organiser le deuil.

 

  • Les difficultés liées au « télétravail confiné » mis en place précipitamment :
    • Surcharge de travail du fait des échanges par mail – téléphone – visio qui prennent plus de temps, travail haché.
    • Impression d’être surveillé à l’excès par son manager qui demande régulièrement un reporting pour suivre et réguler la charge.

 

  • L’insécurité économique, crainte des conséquences financières du chômage partiel ou de pertes d’emploi, vécu difficile de certaines pressions : congés à poser durant les jours de confinement, annonce de refus de vacances en sortie de crise.

 

  • Pour les professionnels en contact avec le public :
    • Peur d’être contaminé et de transmettre le virus
    • Charge d’activité importante et épuisement.

 

  • Stigmatisation de ceux qui sont accusés de manquer de solidarité parce qu’en arrêt pour raisons médicales ou garde d’enfants, allant parfois jusqu’à des menaces managériales dans le travail, tensions familiales allant parfois jusqu’aux violences, problématiques suicidaires.

 

  • Les inquiétudes liées au déconfinement et à la reprise d’activité : utilisation des transports en commun, présentiel imposé, surcharge ou absence de travail.

 

« Directement touchés ou pas, les salariés se sentent concernés par la pandémie. Entre le flot d’actualités diffusés chaque jour, les témoignages de chacun, on s’aperçoit que beaucoup de salariés sont touchés par ce qui arrive et que cela impacte un collectif de travail totalement bouleversé par le confinement et le télétravail » constate Jean-Louis Ringuede, administrateur de la Firps et directeur général de l’IAPR.

Vers un développement plus structurel de ces services

La crise du COVID-19 met exergue le fait que les entreprises hexagonales sont encore insuffisamment équipées en dispositifs d’écoute et d’accompagnement psychologiques. En 2019, d’après une enquête Réhalto-Workplace réalisée auprès d’un échantillon de plus de trois cents DRH, seul un quart d’entre eux déclaraient avoir mis un place un dispositif d’écoute téléphonique à distance et moins de huit pour cent envisageaient de le faire à terme.

« Cette pratique contraste fortement avec les pays anglo-saxons, qui depuis des décennies ont systématisé la mise à disposition de plan d’assistance aux employés » souligne Christian Mainguy, administrateur de la Firps, directeur de Réhalto/Workplace.

Nombre d’entreprises prennent mieux conscience aujourd’hui de la nécessité de mettre en place de tels programmes. Mais ce type de prestation doit se faire dans des conditions précises. Il faut bien sûr le faire dans le plus strict respect du règlement sur la protection des données et en garantissant aux salariés la confidentialité la plus stricte. L’intérêt de la mise en place de ces programmes doit aussi être bien compris par les salariés eux-mêmes. Une démarche qui associe les représentants du personnel, en particulier la commission Santé Sécurité Conditions de travail, est recommandée.

« Le n° vert n’est pas un outil isolé dans les dispositifs de prévention des RPS, avec la reprise, il faudra être vigilant. Ceux qui vont reprendre le travail ne seront pas les mêmes que ceux qui l’ont quitté brutalement mi-mars. Le risque pour les entreprises est de vouloir au motif de la reprise d’activité, les aligner sur un moule « sanitaire » très strict, et reconstituer des équipes sur le modèle d’ « avant », alors que les gens auront entretemps, évolué pendant la crise » conclut Eric Goata, administrateur de la Firps, directeur général délégué d’Eléas.

<fin>

À propos de la FIRPS

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), créée en 2011 et présidée par François Cochet, (groupe Alpha), compte aujourd’hui 20 acteurs significatifs et reconnus, regroupant près de 500 consultants de la prévention des RPS et du management de la QVT, réunis autour du partage de valeurs fortes pour l’exercice de leur métier. Elle s’est dotée dès sa création d’un code de déontologie qui régit un mode d’exercice des membres de la FIRPS en vue du respect d’une éthique commune. Il cherche à répondre à un ensemble de droits et devoirs pour guider les actes des intervenants en prévention des risques psychosociaux, les rapports entre ceux-ci et leurs clients ou les salariés de leurs clients. Suivez nos actualités sur twitter @firps_org. Ou sur internet :  www.firps.org

Liste des publications : Mai 2012 – « Recommandations sur la question du suicide au travail » ; Avril 2013 – « La prévention des risques psychosociaux lors des restructurations » ; Janvier 2015 – « Assistance psychologique à distance : comment garantir la confidentialité et la sécurité des personnes et des données » ; Mars 2016 – «Prévenir le Burn-out » ; Févier 2017 – « Six propositions pour faire de la santé au travail un enjeu national » ; Mai 2018 – « Référentiel et Guide d’achat de la FIRPS sur les prestations d’assistances psychologique et social à distance » ; Mai 2018 – « Propositions pour la mission Santé au travail ». Tous sont disponibles en téléchargement gratuit sur le site de la FIRPS – www.firps.org

Cabinets membres de la FIRPS : ABSILIA, ACTEMS CONSEIL, AXIS MUNDI, BELLEDONNE RH, BE POSITIVE, ÉLÉAS, GAE CONSEIL, IAPR, ICAS FRANCE, IME, ISAST, GROUPE JLO, PACTES CONSEIL, PSYA, QUALISOCIAL, REHALTO/WPO, SANTÉ PARTNERS, SECAFI, STIMULUS, USIDE.

 

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Trésorerie tendue : Et si les entreprises se penchaient sérieusement sur le recouvrement des indemnités journalières liées aux arrêts de travail ?

Paris le 18 mai 2020 – Alors que les arrêts de travail vont se multiplier, et que les besoins en trésorerie des entreprises sont de plus en plus intenses, la gestion au plus près des indemnités journalières maladie peut se révéler, une source inespérée de cash. L’ampleur du non-recouvrement des arrêts maladie auprès des organismes sociaux peut se chiffrer en millions d’euros pour les grandes entreprises. En cause, la complexité de la gestion des arrêts de travail et le volume des dossiers à traiter pour lesquels, les entreprises ne sont pas assez outillées. KMSI, acteur français indépendant des SIRH et spécialiste de la paie, propose une suite de services pour épauler les entreprises dans cette gestion rigoureuse. Externalisation, ou portail SAAS de rapprochement automatique des Indemnités Journalières avancées en paie avec celles remboursées, permet aux entreprises de connaitre l’ampleur de leur créance auprès des organismes de sécurité sociale et de recouvrir jusqu’à 100% des montants avancés en paie.

Lorsqu’un audit est établi, les entreprises s’aperçoivent qu’elles ont très largement sous-estimé le montant des encours en jeu. Pour une entreprise de 1000 salariés celui-ci peut représenter jusqu’à 300 000 euros soumis au délai de prescription de 27 mois.

« Cette tâche est un véritable casse-tête pour les entreprises qui doivent pointer salarié par salarié le bon remboursement par les organismes sociaux, des sommes avancées en paie » commente Anne Verger, directrice de l’activité maladie chez KMSI.

La suite de services proposés par KMSI, nouvelle étape dans la transformation numérique des services RH

Vous êtes pressé et imaginez que le montant est important, l’offre IJ Stock permet d’apurer le stock d’indemnités journalières en souffrance en quelques semaines.

Vous n’avez aucune ressource disponible pour ces taches, IJ recouvrement, permet une externalisation complète de la gestion du recouvrement des indemnités journalières d’arrêts maladie.

Les grandes entreprises qui souhaitent ce service complet en l’administrant de façon autonome, peuvent recourir au portail en Saas.

Cette solution d’automatisation des rapprochements permet de simplifier la gestion de la maladie en gagnant en efficacité, en productivité et en baissant de plus de 70% les coûts humains inhérents à cette gestion (RH & contrôle de Gestion).

Ces services permettent une gestion administrative optimale des Indemnités Journalières (IJ), capable d’accélérer les remboursements et de maitriser plus efficacement la trésorerie de l’entreprise.

« Lorsque l’on sait qu’une entreprise de 1000 salariés peut gérer jusqu’à cent arrêts maladie chaque mois, on comprend qu’il soit primordial d’assurer une gestion au jour le jour de ces indemnités journalière, pour éviter d’accumuler des sommes importantes qui ne seront que partiellement ou jamais remboursées pour cause de forclusion. Une perte qui aurait, le plus souvent pu être évitée », souligne Anne Verger.

A propos de KMSI

Groupe KMSI, est une SSII 100 % française composée de 2 entités : KMSI spécialiste de la paie et des SIRH et Clariteam expert dans les développements informatiques sur mesure et dans l’infrastructure IT. En 2019, le groupe a réalisé 16 millions d’euros de chiffre d’affaires et emploie 150 collaborateurs installés en France. L’activité de gestion de la maladie sur lequel se positionne KMSI, permet aux entreprises d’accélérer les remboursements des arrêts maladies et de maîtriser efficacement leur trésorerie. 3 offres sont disponibles : IJ STOCK : Mission de récupération sur le passé ; IJ GOING : Offre d’externalisation de la maladie au quotidien et IJ PORTAIL : outil de rapprochement automatique des IJ en Saas. En savoir plus : www.groupekmsi.fr

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Empreinte Humaine lance un nouveau programme de prévention en matière de santé psychologique au travail

Alors que s’ouvre une période de déconfinement progressif, la détresse psychologique ressentie par les salariés français durant les semaines précédentes[1] risque de ne pas disparaître. Au contraire même, la situation alarmante des 44% des salariés s’étant déclaré  en détresse risque de s’aggraver du fait d’une situation nouvelle générant stress et anxiété supplémentaires. Pour accompagner les entreprises et leurs salariés au plus près de leurs besoins, le cabinet Empreinte Humaine, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux et dans la qualité de vie au travail, a décidé d’aller plus loin que les dispositifs de soutien psychologique traditionnels tels que les lignes d’écoute. Dédié aux entreprises, HuCare© son nouveau programme d’accompagnement innovant entend promouvoir la santé psychique individuelle au travail et développer une culture et un climat de sécurité psychologique dans les entreprises. Explications.

 «  La crise que nous traversons confirme notre conviction qu’il faut renforcer les ressources individuelles de chacun avant même de percevoir les premiers signes de mal-être ou de souffrance au travail. La prévention est plus que jamais le cœur de notre programme. En effet, pour protéger la santé mentale des salariés et assurer un climat de sécurité psychologique, il est important de ne plus être dans une simple logique d’assistance aux personnes en détresse, mais dans une démarche d’anticipation pour donner à l’ensemble des collaborateurs, les clés leur permettant de devenir acteurs de leur bien-être » déclare Célia Badet, coach et manager chargée du développement de HuCare©

Un dispositif sur mesure pour les entreprises

Le programme HuCare© s’organise en plusieurs étapes modulables selon la taille, le secteur d’activité, la culture et les besoins de chaque organisation. En premier lieu porté par une communauté d’ambassadeurs, choisis parmi les acteurs représentatifs de l’entreprise, aux profils et fonctions variés, HuCare© s’appuie sur des contenus exclusifs (capsules vidéo, webinaires, etc.), proposés pendant plusieurs semaines à l’ensemble des salariés afin de permettre un réel développement d’une culture de sécurité psychologique. « Les sujets abordés vont de l’intelligence émotionnelle au sommeil et à la résilience en passant par le stress » précise Sophie Cot-Rascol, psychologue clinicienne et manager de l’offre HuCare©

La santé psychologique pour tous et de tous 

Le programme HuCare© se donne pour ambition de démocratiser l’accès au développement personnel pour les salariés. Confiance en soi, dans ses capacités, stabilité émotionnelle, sentiment d’efficacité personnelle, motivation, optimisme, résilience, sont au cœur des sujets traités par ce programme qui permet de sortir de l’assistanat passif des accompagnements classiques de souffrance au travail. HuCare© est donc un programme, et non un dispositif isolé. Il vise à installer les conditions d’un éveil collectif autour de la santé mentale et du développent des ressources personnelles. Il invite tous les salariés, quelle que soit leur situation, leur niveau de bien-être, à monter en compétences sur ce sujet, à « muscler » leur intelligence émotionnelle, leur capacité de résilience et de développement.

HuCare© s’appuie notamment sur une ligne d’écoute qui ne se réduit pas à une ligne d’urgence utile seulement pour les situations de détresse psychologique aigue mais qui s’adresse à tous les salariés qui souhaitent renforcer leurs ressources personnelles et muscler leur résilience individuelle.

« Les salariés peuvent poser des questions, partager leurs ressentis et leurs expériences, demander des conseils à des psychologues pour augmenter leur sentiment de bien-être au travail, poursuit-elle. Ce soutien n’est ainsi pas réservé aux SOS, mais peut aider plus largement tous les salariés » poursuit Célia Badet

Augmenter la culture de sécurité psychologique et booster la résilience collective 

Créer un cadre de confiance, faire que l’environnement professionnel permette de se sentir protégé de l’anxiété, de la peur, du stress, des relations toxiques sont des socles essentiels indispensables à un climat psychosocial sécuritaire pour protéger la santé mentale et accélérer les performances individuelles et collectives.

Faire que les données collectées par la ligne d’écoute et principalement par les divers modules du programme, soient des leviers d’amélioration et de pilotage de la politique de prévention de l’entreprise (comprendre les besoins des salariés, y répondre suffisamment en amont pour réduire les RPS et l’installation des problématiques). « Prévenir les facteurs de risque est moins couteux que de devoir les prendre en charge ultérieurement, il faut parfois peu pour créer des déclics individuels et collectifs » explique Célia Badet.

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail.

Contacts média

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Sothany TUM / Amine MOUSSAOUI

06 27 26 49 64 – empreintehum@ozinfos.com

[1] Eude OpinionWay pour Empreinte Humaine auprès de XXXX du xx au xxx.