2 millions de salariés sont en burnout sévère à l’aube du retour au bureau

ÉTAT PSYCHOLOGIQUE DES SALARIÉS

 

44% des salariés sont en situation de détresse psychologique (- 1% depuis mars)

36% des salariés sont en dépression nécessitant un traitement (= depuis mars)

2 000 000 de salariés en situation de burnout sévère (2X plus en 1 an)

80% des DG/DGA en situation de détresse psychologique.

56 000 000 de journées de travail perdues pour des raisons de santé psychologique depuis la COVID19

 

Paris le 26 MAI 2021 – Alors que le retour au bureau total ou hybride est au cœur des préoccupations des pouvoirs publics, des salariés, des entreprises, et que la vaccination en entreprise peine à trouver son rythme de croisière, cette 7ème vague du baromètre Empreinte Humaine de la santé psychologique des salariés en période de crise questionne l’évolution de la détresse psychologique des salariés français depuis le début de la crise. Il interroge aussi le taux de burn-out, l’impact du confinement avec enfants, la confiance des salariés envers leur direction générale, les effets du télétravail dans la durée notamment à l’égard du management, et enfin le retour dans les locaux et ses effets (nouvelles attentes, craintes, besoins d’accompagnement)

« Ces chiffres sont très inquiétants. Si la détresse psychologique n’évolue pas beaucoup elle demeure à un niveau très important. Mais le taux de burnout a doublé en un an culminant à 2 000 000 de personnes en burnout sévère. Avec de tels chiffres, dans un contexte de retour dans les bureaux, on peut s’attendre malheureusement à une nouvelle explosion des arrêts maladie dans les prochains mois. » pointent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

La détresse psychologique des salariés reste à un niveau élevé

Les indicateurs de l’état psychologique des salariés demeurent très inquiétants même si l’on observe une stagnation. Ainsi la détresse psychologique des salariés français reste importante à 44% (-1 pts par rapport à mars 2021) dont 17% élevée (=) de même que le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés qui se maintient à 36% (dont 21% risquant une dépression sévère).

Ce sont au total 2 000 000 de salariés qui sont en burnout. Les salariés au chômage technique total sont quant à eux 56% à présenter un risque dépressif. Enfin 15% des salariés disent avoir été absents pour raison de santé psychologiques depuis un an, le nombre moyen de jour d’absence par salariés s’établissant à 2,83 soit 56 000 000 journées de travail.

Pas de santé physique sans santé mentale

Les plaintes somatiques ont également augmenté en 1 an. 40% des salariés déclarent avoir des problèmes de sommeil, ce qui peut être interprété aussi comme des indicateurs de détresse psychologique ou de risque dépressif. Plus le temps passe plus ces risques sont importants, comme souvent dans les problèmes de santé psychologique, le facteur temps joue et les conséquences sur la santé globale sont à anticiper.

Les dirigeants et les managers frappés de pleins fouet

Parmi les foncions les plus exposées à la détresse psychologique, le top management tient le haut du pavé avec 80% pour les directions générales, devant les présidents et les DRH à 61% et les managers avec 52% souffrant de détresse psychologique. C’est particulièrement vrai chez les dirigeants de PME/TPE.

« Le cas des dirigeants est vraiment préoccupant et des actions de prévention doivent être mises en œuvre pour les soutenir spécifiquement et compléter les mesures de soutien économique. Les DRH sont touchés depuis un an car ils sont au centre de la crise dans les entreprises : au croisement des enjeux économiques, humains, sociaux et juridiques » commente Jean-Pierre BRUN

L’insécurité de l’emploi facteur de détresse psychologique

L’insécurité de l’emploi est depuis toujours un facteur de détresse psychologique mais dans un contexte de crise elle pèse beaucoup plus lourd dans l’état de santé psychologique des salariés.  Ainsi ¼ des salariés disent avoir peur de perdre leur emploi générant un taux de détresse psychologique pour 61% d’entre eux. Elle est sans surprise beaucoup plus forte chez ceux en chômage technique avec 49% d’entre eux qui ont peur.

« La santé psychologique de ces populations sera un élément clef dans leur capacité de rebond ou lors de la reprise. C’est un facteur très important à prendre en compte et qui aura nécessairement un impact sur la relance économique du pays » pointe Christophe NGUYEN

Le constat amer de la confiance vis à vis des entreprises

Avec la crise, 4 salariés sur 10 affirment avoir perdu confiance envers la direction générale de leur entreprise et 2/3 des salariés pensent que les entreprises n’assument pas les dégâts psychologiques qu’elles provoquent et 6 salariés sur 10 pensent que leur direction ne se rend pas compte de l’état psychologique des salariés et n’agit pas en fonction.

« Ces résultats montrent un certain manque de confiance des salariés envers leur direction générale depuis la crise COVID19. Aux yeux des salariés, les directions générales ne leur paraissent pas conscientes de la situation de leur état psychologique. Les résultats sont assez révélateurs d’un besoin d’agir différemment sur les thématiques de prévention des risques psychosociaux en entreprise. Les labels n’étant pas suffisants. La question du bien-être psychologique doit être portée par les comités de direction. » analyse Christophe NGUYEN

 La santé psychologique des parents salariés

  • 50% des parents salariés estiment que le télétravail affecte le développement de leur enfant.
  • Télétravailler avec un enfant de – 18 ans est un facteur de détresse psychologique pour 60% quand l’enfant est en maternelle et 54% quand l’enfant est en primaire.
  • 59% d’entre eux sont en situation de détresse psychologique quand les enfants ne sont pas retournées à l’école pendant le 3ème confinement.

« Le télétravail se marie définitivement mal avec les enfants en bas âge à la maison. Dans certaines entreprises, on remarque ainsi que les salariés parents reviennent particulièrement dans les locaux le mercredi. La fermeture des écoles, dont les modalités ont été différentes du 1er confinement, a tout de même eu un impact en particulier quand les enfants ne sont pas retournés à l’école pendant le confinement. » soulignent Jean-Pierre BRUN et Christophe NGUYEN

L’exposition toujours élevée des télétravailleurs et l’autocensure.

Contrairement au début de la crise, les télétravailleurs sont toujours les plus exposés à la détresse psychologique. Ils font malgré tout la part des choses : après la crise, le souhait de rester en télétravail à 100% reste minoritaire mais quasiment 8/10 veulent pouvoir télétravailler 1 à 3 jours par semaine. Les managers sont les plus en difficultés car « empêchés » de pouvoir « bien manager ». La pérennisation du télétravail devra passer par des évolutions managériales, des changements d’organisation du travail et notamment la réduction de la taille des équipes pour 1 manager / 2.

Une des raisons du maintien de ces niveaux importants de risques psychosociaux liés au travail est la difficulté à s’exprimer dans l’entreprise. 50% des salariés expriment avoir des difficultés psychologiques liées au travail. Parmi eux, la moitié n’osent pas en parler, a peur d’être stigmatisée, et sait pas à qui parler, ou le manager peut aussi nier ses propres difficultés…  On constate toujours un déficit en matière de prévention des risques psychosociaux et d’ancrage culturel de la sécurité psychologique dans les entreprises pour permettre les actions d’accompagnement et de prévention et en premier lieu son expression bienveillante.

La crainte du retour au bureau

Le retour dans les locaux doit être accompagné. La majorité des salariés pense que le retour est nécessaire pour la cohésion d’équipe. Il est illusoire de penser qu’on reviendra comme avant. La qualité du management, des relations et de l’organisation du travail post crise sera décisive y compris pour la rémission psychologique. Les pratiques de management et d’équipe devront changer dans un contexte plus hybride du travail. Les salariés sont marqués par plus d’un an de crise qui est devenue une crise du travail. Les vécus et souhaits de retour sont très disparates entre les salariés (75% des télétravailleurs ne veulent pas revenir au bureau « comme avant » vs 30% chez les non-télétravailleurs), ce qui joue sur l’érosion du sentiment collectif d’appartenance et peut être un facteur de tensions entre les personnes notamment. Le risque est l’apparition de drame humain, craint par 1/3 des salariés. On sait que l’agressivité et l’hostilité sont des corolaires de la détresse psychologique.

Méthodologie de l’étude :

La 7ème vague du Baromètre « Impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés » OpinionWay pour Empreinte Humaine, a été réalisée en ligne. Le recueil a été fait du 30 avril au 10 mai 2021 auprès d’un panel représentatif de 2007 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.  

La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’être atteintes de troubles mentaux sérieux.  Le questionnaire utilisé pour mesurer la résilience est également un questionnaire validé et qui a fait l’objet de nombreuses publications internationales.

 

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la santé psychologique et la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

Contacts presse

Agence Ozinfos

Esteban ALGRAIN / Amine MOUSSAOUI

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com

L’approche prédictive au service de la transition énergétique

Les collectivités locales sont au cœur de la transition écologique. Elles ne se contentent pas seulement d’impulser le changement : le législateur leur impose aujourd’hui d’améliorer la performance énergétique de leur bâti. Oxand, une entreprise leader de la gestion patrimoniale prédictive, les aide à y parvenir. Retrouvez l’entretien avec le PDG d’Oxand, Remy Jacquier ICI

Le retour au bureau : un enjeu d’engagement et de fidélisation des talents pour le « monde d’après »

Partis le 17 mai 2021 – De confinements en dé-confinements successifs, la crise sanitaire a obligé les entreprises à repenser dans l’urgence leur organisation sur les lieux de travail, pour respecter les recommandations gouvernementales et protéger leurs salariés. Tout en assurant au maximum leur continuité opérationnelle, dans un contexte tout aussi inédit, qu’incertain, elles ont géré les mesures de confinement, de suspension des activités, de télétravail et des moyens logistiques ou matériels. Les directions de l’environnement de travail (des services généraux ou Facility Management) ont endossé une large part de cette responsabilité en faisant preuve de résilience pour s’adapter à ces nouvelles donne sur les lieux de travail. A l’heure du troisième déconfinement, annoncé pour le 9 juin, elles doivent prendre en compte dès à présent toutes les dimensions que cette crise a imposées : la sécurité sanitaire, le confort des salariés, le réaménagement des espaces de travail mais aussi la productivité donc la performance de l’entreprise.

Le casse-tête du travail hybride

Avec l’expérimentation de modes de travail hybrides imposés, les salariés sont nombreux à souhaiter conserver les bénéfices du travail hybride : gain de temps de transport, autonomie, équilibre vie privée/vie professionnelle, efficacité… tout en exprimant leur souhait de retrouver leurs collègues et une vie professionnelle plus normale. Ces derniers mois ont suscité chez de nombreux salariés des envies de changement et de renouveau. La réouverture des bureaux ne doit pas être pensée comme un « retour à la vie d’avant », les modalités du travail sont devenues flexible et les salariés n’envisagent plus le bureau comme avant. Les entreprises de la Silicon Valley reviennent du 100% télétravail et plébiscitent désormais le mode de travail hybride.

Cette nouvelle donne impose aux entreprises de revoir l’usage des bureaux au-delà de la seule optimisation des surfaces. Repenser les espaces communs, les lieux de rassemblement comme les restaurants d’entreprises sont d’ores et déjà acquis. Anticiper une potentielle fuite des talents au moment de la reprise passe aussi par l’expérience « bureau » proposée aux salariés.

Vers un bureau, espace de vie et de socialisation

Les directions de l’environnement de travail en étroite collaboration avec les DRH et les directions générales vont devoir faire preuve d’imagination et de créativité pour concilier optimisation de leur empreinte immobilière et expérience collaborateurs dans des bureaux repensés, afin de continuer à fidéliser et attirer les talents.

Le flexoffice qui s’impose progressivement permet de favoriser les espaces collaboratifs et de développer de nouveaux services pour les collaborateurs. Cette optimisation de surfaces doit s’accompagner d’une redéfinition des espaces de travail calculée sur le taux de présence des salariés au bureau et le nombre de jours des nouveaux accords de télétravail : de 2 ou 3 jours par semaine pour la majorité des entreprises.

Pour faire vivre ces nouveaux espaces et donner envie aux salariés de (re)venir au bureau, les services de l’environnement de travail doivent revoir et proposer de nouvelles expériences aux collaborateurs, en axant les propositions sur la personnalisation. Offres de restauration renouvelées (plus variée, plus créative avec des produits sains et frais, la valorisation de circuits courts), création de services bien-être in situ (spa, salle de méditation, salle de sieste, salle de massage), mise en place de services de santé (salle de consultation télémédecine, kinésithérapeute, nutritionniste, …), la créativité et le redéploiement des moyens de l’entreprise, permettent d’entrer dans une nouvelle ère des bureaux pensé comme hospitality.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels.

Alors que la fonction de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) est au cœur de la performance des entreprises, (l’environnement de travail est un secteur financièrement et socialement important pour l’économie française puisqu’il représente en 2020 un marché de 204 milliards d’euros et génère plus d’un million d’emplois directs, non délocalisables [1]) elle demeure encore méconnue du fait notamment de son périmètre d’intervention très large allant de la rationalisation des dépenses des entreprises (immobilier, nettoyage, prestations externes…) en passant par les économies d’énergie (lutte contre le gaspillage des consommables …) jusqu’à la santé et au bienêtre des salariés (informatique, restauration, services aux usager, QVT, transformation des espaces de travail …).

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

Contacts médias

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

 

[1] Etude Arseg « Odyssée d’une profession : directeurs de l’environnement de travail 2020 »

Comment les entreprises se préparent à vivre durablement avec le virus

#Organisation#management#travail en #présentiel ou à #distance, gestion des conflits, occupation des #locaux… les #employeurs se projettent déjà dans la vie d’après et ont l’échéance de septembre en ligne de mire.
Retrouvez les points de vue de Christian Mainguy de la FIRPS – Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux Christophe Nguyen d’Empreinte Humaine et Latifa Hakkou présidente de l’ARSEG (Association des Directeurs de l’Environnement de Travail).
Lire l’article : ICI

Go Entrepreneurs : c’est parti pour 48 heures de live avec 50 000 entrepreneurs les 9 et 10 juin

Alors qu’un Français sur cinq se déclare prêt à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale * Go Entrepreneurs (Ex Salon des Entrepreneurs) annonce une édition spéciale pour l’évènement phare des créateurs et dirigeants d’Enterprise, qui se tient les 9 et 10 juin 2021.

Accueilli dans les studios du groupe « Les Echos Le Parisien » pour deux jours de débats, d’échanges et de rencontres, ce rendez-vous se donne pour ambition de contribuer à la relance de l’économie française, en accompagnant les entrepreneurs vers la réussite de leur projet.

Rendez-vous dans un mois pour 48 d’entrepreneuriat 100% numérique accessible en direct sur www.go-entrepreneurs.com

 

« Parce que les entrepreneurs sont au cœur de la relance de notre pays, il était primordial pour nous de maintenir Go Entrepreneurs en juin.  Les contraintes sanitaires nous obligent à être créatifs et à imaginer des solutions et des formats nouveaux. Nous sommes particulièrement fiers de proposer une expérience digitale dédiée à la création de valeur économique. » explique Florence Bordiau-Hardouin, Event Manager Go Entrepreneurs et Directrice adjointe Les Echos Le Parisien Evènements

Lire le communiqué de presse en cliquant sur le lien  GO Entrepreneurs 2021_07 05 2021_édition spéciale

L’Arseg retient l’agence Ozinfos pour l’accompagner dans sa stratégie de visibilité de la filière de l’environnement de travail

L’Arseg (Association des directeurs de l’Environnement de Travail) créée en 1975 et rassemblant plus de 2000 adhérents sur l’ensemble du territoire français vient de choisir à l’issue d’un appel d’offres, l’agence Ozinfos (agence de communication d’influence) pour l’accompagner dans sa stratégie de visibilité du métier de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) et dans le programme de relations presse institutionnelles de l’association.

Une profession stratégique encore méconnue

Alors que la fonction de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) est au cœur de la performance des entreprises, (l’environnement de travail est un secteur financièrement et socialement important pour l’économie française puisqu’il représente en 2020 un marché de 204 milliards d’euros et génère plus d’un million d’emplois directs, non délocalisables [1]) elle demeure encore méconnue du fait notamment de son périmètre d’intervention très large allant de la rationalisation des dépenses des entreprises (immobilier, nettoyage, prestations externes…) en passant par les économies d’énergie (lutte contre le gaspillage des consommables …) jusqu’à la santé et au bienêtre des salariés (informatique, restauration, services aux usager, QVT, transformation des espaces de travail …).

Une filière structurée et un objectif de visibilité

La crise sanitaire et économique a démontré le caractère stratégique de la fonction.

C’est dans cette perspective que l’Arseg, association professionnelle créée en 1975 rassemblant plus de 2000 adhérents, a choisi l’agence de communication d’influence Ozinfos, pour l’accompagner dans la valorisation du métier de Directeur de l’Environnement de Travail (DET), mais également de l’association en tant que filière représentative.  Cette collaboration s’organisera notamment autour des évènements annuels organisés par l’association, de la médiatisation d’une étude socio-économique posant les grands enjeux de la profession, et enfin autour de la valorisation des indicateurs des coûts de l’environnement de travail dans l’entreprise (Buzzy ratios) collectés par l’association chaque année.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels. A ce titre, elle a la légitimité à prendre part à tous les débats liés au travail : santé et bien-être des salariés, nouvelles organisations des espaces de travail, rapport au numérique, mobilité, aménagement du territoire, sécurité, etc.

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

OZINFOS l’agence spécialiste des thématiques éco-social-sociétal

Créée en 2001 par Marie-Céline Terré, OZINFOS agence de communication d’influence s’intéresse en priorité aux enjeux éco-sociaux-sociétaux des entreprises, institutions ou collectivités publiques. OZINFOS développe la visibilité et la réputation de ses clients en donnant la priorité absolue aux contenus et messages qu’elle déploie dans des programmes de relations publics et d’influence, en s’appuyant sur une présence digitale, éditoriale et événementielle. L’agence propose également des programmes de formation à la prise de parole (médiacoaching) et dispose d’un savoir-faire très expert en matière de communication dans un environnement complexe (fusion, croissance externe, restructuration, réorganisation).

L’agence porte en particulier les thématiques suivantes :

  • Les ressources humaines en entreprise autour d’acteurs du conseil : EKILIBRE Conseil (Cabinet spécialiste de l’accompagnement sur-mesure des enjeux de l’humain au travail), Empreinte Humaine (Cabinet spécialiste des risques psycho-sociaux en entreprise), GAE Conseil, (cabinet spécialiste des addictions en milieux professionnels), la FIRPS (Fédération des Intervenants en RPS), KMSI (éditeur de logiciel RH), Emeraude Escape (startup spécialiste des escape-game de prévention pour entreprise) Jeantet (cabinet d’avocats d’affaires), Oxand (acteur de la Predtech au service des bâtiments et infrastructures) …
  • L’anticipation & la maitrise des risques pour les entreprises : Jeantet Avocats (acteur du droit social, boursier, de la concurrence, de la consommation, fiscal, environnement…), Maitrisedescrises.com (conseil en prévention de crises systémique)
  • La santé : Groupement de pharmacies, Pharmabest, Tesly (start-up e-santé)
  • La mobilité : Saemes, Laboratoire de la Mobilité Inclusive, Wimoov …
  • L’engagement pour une société plus juste : Anpere (épargne responsable), Association PuissanceDYS (lutte contre la dyslexie), Fondation Apprentis d’Auteuil, CCFD Terre Solidaire, Voxfemina (parité dans les médias) …

OZINFOS est membre associé de l’AJEF (association des journalistes économiques et financiers) et de l’AJIS (association des journalistes d’information sociale). Elle est membre de l’organisation professionnelle IP&C (information presse et communication) et du Club Mac Luhan.

En savoir plus www.ozinfos.com / Twitter : @ozinfos 

Contacts médias

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

 

[1] Etude Arseg « Odyssée d’une profession : directeurs de l’environnement de travail 2020 »

JEANTET RENFORCE SON OFFRE « ÉTHIQUE, INTÉGRITÉ ET CONFORMITÉ » POUR RÉPONDRE AUX NOUVEAUX ENJEUX DE LA COMPLIANCE EN NOUANT UN PARTENARIAT ORIGINAL AVEC LE CABINET ZIMERAY & FINELLE

Paris, le 6 mai Le cadre récent du devoir de vigilance oblige les grandes entreprises à maîtriser leur chaine de valeur pour se soumettre à des exigences toujours plus nombreuses et pluridisciplinaires, en France et à l’étranger. Après les thèmes de la corruption, du blanchiment, de la fraude fiscale ou de la protection des données, la conformité s’ouvre à un nouveau champ de risques, celui des violations des droits fondamentaux. En d’autres termes, une nouvelle branche d’activité se dessine : les droits de l’Homme des affaires.

Initialement perçue comme une contrainte, la conformité est devenue un levier stratégique pour une entreprise vis-à-vis de ses partenaires et de ses concurrents, pouvant alors constituer un moteur de croissance comme un élément de différenciation.

C’est pourquoi, les cabinets Jeantet, cabinet d’affaires français indépendant bientôt centenaire et le cabinet Zimeray & Finelle, fondé par François Zimeray et Jessica Finelle, proposent d’accompagner leurs clients dans cette démarche proactive devenue aujourd’hui un impératif, au travers un « partenariat capsule », basée sur l’expérience et le savoir-faire de leurs avocats.

Le groupe dédié mis en place par Jeantet et dirigé par ses associés Phillipe Portier (Droit des sociétés/Fusions-Acquisitions), Martine Samuelian (Droit bancaire et financier) et Loraine Donnedieu de Vabres-Tranié (Droit de la concurrence et Droit européen), ainsi que les compétences développées par le cabinet Zimeray et Finelle forment ainsi une alliance permettant de répondre à l’ensemble des problématiques de leurs clients français et internationaux dans tous secteurs d’activité.

Face aux  nouveaux enjeux et à leur complexité, cette alliance originale entre un cabinet de premier plan dans le droit des affaires et un cabinet actif sur le terrain des droits de l’Homme, a pour objectif de devenir la référence des acteurs économiques en matière de RSE et permet d’offrir une réponse sur mesure à chacun d’entre eux et de leurs organes dirigeants ; allant du simple audit jusqu’à la défense devant les tribunaux civils et pénaux, en passant par la structuration d’un plan de conformité, la revue du plan de vigilance ou encore l’assistance en cas d’enquête et de contrôle.

Pour Philippe Portier « Les risques liés au devoir de vigilance évoluent rapidement ces dernières années, le prisme des enjeux s’élargissant avec l’apparition de nouveaux enjeux économiques et sociétaux. Ce partenariat est un vrai atout pour intégrer à nos savoir-faire historiques ces défis d’un nouveau genre »

Pour François Zimeray « Les droits de l’homme s’imposent aujourd’hui dans la grammaire universelle des affaires. Leur violation expose les entreprises à des risques, encore trop confusément anticipés. Il s’agit de construire le volet droits de l’Homme de la compliance. 

À propos de Jeantet

Jeantet est l’un des principaux cabinets d’avocats d’affaires français indépendant, délivrant des services personnalisés et à forte valeur ajoutée, avec un attachement à l’éthique et aux valeurs humaines. Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux. Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients. Jeantet à Paris, Casablanca, Genève, Budapest, Kiev et Moscou compte plus de 120 avocats dont 30 associés.

OZINFOS

Esteban ALGRAIN

Tel: 07 72 21 56 48

esteban@ozinfos.com

Marie-Céline TERRÉ

Tel. 06 27 26 49 65

jeantet@ozinfos.com

 

 

 

Cap sur les 1000 points de charge pour Saemes !

Paris le 5 mai 2021 – Saemes prévoit d’équiper près de 50% de la capacité des parkings parisiens remportés lors des derniers appels d’offres en borne de recharge électrique. Cette politique s’inscrit dans le cadre de la stratégie menée par la Ville de Paris en matière d’électro-mobilité. En 2021 et 2022, ce sont plus de 1000 points de charge qui seront ainsi installés sur les parkings Madeleine-Tronchet, Porte d’Auteuil, Jean Bouin, Haussmann Berri et Bergson-Saint-Augustin.

 

Un investissement global de plus de 3 millions d’euros

Cet investissement intègre les réseaux amont et aval des postes de transformation, l’achat, la pose, la maintenance, l’exploitation et la supervision des 1000 bornes de recharge électrique.

A l’issue d’un appel d’offre lancé au second semestre 2020 pour sélectionner le prestataire susceptible de l’accompagner sur ce déploiement ambitieux, c’est le groupement Sogetrel-Total qui a été sélectionné pour son expertise et la pertinence des solutions proposées.

Les bornes présentent un design épuré, un faible encombrement et sont assemblées en France (Pays de Loire).  Elles seront connectées à la plateforme de supervision de Total et celle de GIREVE (Groupement pour l’Itinérance et la Recharge des Véhicules Electriques) afin de permettre l’interopérabilité des bornes. Les puissances délivrées iront du 7 kVA au 22kVA. 

Un planning de déploiement par phases

La reprise en supervision des parkings exploités par Saemes et déjà équipés en recharge électrique (55 points de charge) est prévue le 30 juin 2021 pour les sites suivants :

Pyramides (Paris 1er), Hôtel de Ville (Paris 4ème), Lagrange-Maubert (Paris 5ème), Odéon (Paris 6ème), Meyerbeer Opéra (Paris 9ème), Mairie du 14ème (Paris 14ème), Mairie du 15ème (Paris 15ème), Cardinet (Paris 17ème) et Hôpital Henri Mondor (Créteil, 94).

Dans un second temps, à l’issue d’importants travaux de rénovation et de mises aux normes, 6 parkings parisiens seront nouvellement équipés en points de charge :

  • Flandrin, Porte d’Auteuil et Jean Bouin (Paris 16ème) en juin 2021
  • Haussmann Berri et Madeleine-Tronchet (Paris 8ème) en décembre 2021
  • Bergson-Saint Augustin (Paris 8ème) au printemps 2022. 

Une tarification attractive

Les tarifs comprennent un coût de service à 0.50€ TTC et un coût de recharge de 0.30€ TTC par KWH. Les utilisateurs pourront accéder au service par le biais de la carte Total, d’un QR Code leur permettant de payer sur un site internet dédié ou grâce aux cartes de mobilité des opérateurs de service tels que Belib’, Chargemap, Freshmile, NewMotion…

Les abonnés aux parkings Saemes Porte d’Auteuil, Jean Bouin, Madeleine-Tronchet et Bergson-Saint Augustin auront la possibilité de souscrire à un forfait de 35€ par mois leur permettant un libre accès aux bornes de recharge 7 kVA.

Une approche environnementale volontariste

Dans le cadre de sa politique Développement Durable et de sa certification ISO14001, Saemes a souscrit en janvier 2019 un contrat Energie Verte avec Total Direct Energie garantissant l’injection sur l’intégralité des parkings exploités par Saemes d’une production d’électricité d’origine renouvelable (100% éolienne).

Saemes en chiffres (à fin 2020)

70 parkings exploités en Ile-de-France

30 200 places en ouvrage et voirie

1,8 millions de clients horaires en 2020

43,3 millions d’euros de chiffre d’affaires

 

Pour consulter le dossier de presse de Saemes, cliquez ici.

A propos de Saemes

Saemes, opérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, exploite 30 200 places en ouvrage et en voirie et s’inscrit dans une politique d’innovation liée aux nouvelles mobilités urbaines. En 2016, Saemes a lancé sa plateforme d’Opendata devenant ainsi le premier opérateur de stationnement en France à libérer ses données.

Depuis le 1er janvier 2018, Saemes participe, en tant qu’acteur du contrôle du stationnement payant en voirie, à la mise en œuvre de la réforme de la dépénalisation du stationnement.

https://www.saemes.fr

 

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