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INTERACTIFS – Blog pour l’emploi : au lieu d’attendre une augmentation de salaire, demandez là

3 décembre 2015 – Croire que vos compétences et votre performance seront récompensées par une augmentation de salaire que l’on viendra vous annoncer est une attitude qui mène à la déception. Pour obtenir quelque chose, il faut le demander. Conseils pour formuler au mieux votre demande.

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INTERACTIFS – L’Express : Le client est roi, vraiment ?

27 novembre 2015 – Retenons de cet adage bien vieillissant ce qu’il a de bien : de rappeler que la satisfaction du client importe. Or, en voulant promouvoir des comportements visant à mieux  » rendre service « , il a installé des comportements  » serviles « .  » Etre servile  » ça n’est pas  » rendre service « . Ne confondons pas les deux.

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ELEAS – Le Monde : après le 13 novembre, tous n’étaient pas traumatisés, mais tous étaient atteints

La cellule d’écoute psychologique à La Poste a enregistré une centaine d’appels depuis les attentats, le double de l’usage ordinaire.
Une équipe de psychologues spécialisés est à disposition chez L’Oréal, un numéro d’appel chez Allianz global assistance, et les médecins du travail accompagnent les salariés d’EDF qui sont sous le choc, après la perte de leur collègue, Juan Alberto Gonzalez Garrido, 29 ans, vendredi 13 novembre au Bataclan.

La majorité des grandes entreprises ont un dispositif d’accompagnement psychologique interne ou en partenariat avec des cabinets privés, qu’elles ont activé ces derniers jours.

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Menway – Le Blog pour l’Emploi : un bon numéro 2 n’empiète jamais sur le territoire du numéro 1

12 novembre 2015-

Il peut être un futur premier ou un éternel second. Si les motivations et qualités attendues changent d’un profil à l’autre, tenir le rôle de numéro 2 demande d’être capable de la plus grande loyauté envers le numéro 1 et de ne pas empiéter sur son territoire.

Catherine Dervaux a été interrogée sur ce sujet.

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Jeantet – Le Monde : tribune de Philippe Portier sur l’ « uberisation » de la société

6 novembre 2015 –

Par Philippe Portier (@antalpol)

Le législateur est obligé de distinguer économie collaborative et « ubérisation »

La réglementation des emplois et des entreprises du numérique doit s’appliquer au secteur marchand concurrentiel, sans brider la créativité sociale

Les Français plébiscitent, à l’usage comme dans les sondages, les percées de nouvelles formes organisationnelles d’une économie dopée au numérique. Les expérimentations se multiplient dans des domaines aussi variés que le transport de personnes (le symbolique Blablacar, le polémique UberPop…) ou de colis (You2You, GoGoRunRun…), le « coavionnage » (wingly), la finance (crowdfunding, Bitcoin…), la location de logements (Airbnb), le partage de livres (Booxup), voire de canapés (Couchsurfing). La presse se fait l’écho journalier de cette vague sociétale qui bouscule les habitudes, les acquis, les rôles et le rapport à autrui, à la croissance ou à la propriété. Blablacar a réalisé en septembre une levée de fonds record de 200 millions de dollars (183 millions d’euros). D’autres mènent cette révolution à coups de hache, prenant le risque d’être donnés aux lions, mais gagnant d’autant en notoriété et, in fine, sans doute, en parts de marché.

Cynisme ? Réalisme ? Vision ? Avant de porter un jugement d’ensemble sur cette révolution impulsée par la tech- nologie, il paraît nécessaire d’en définir les contours pour éviter les amalgames entre deux tendances, techniquement proches, mais économiquement différentes.
L’économie « collaborative » s’appuie sur une mutualisation des biens et des outils (l’usage plutôt que la propriété), l’organisation en communauté et l’intermédiation par des plates-formes mobiles. Ce premier modèle relève d’une dynamique non professionnelle, non concurrentielle et non lucrative, qui l’inscrit dans le périmètre non marchand de l’« économie domestique ». Les flux financiers, quand ils existent, relèvent du don ou de l’amortissement de frais, ou servent à rémunérer les services de la plate-forme de mise en relation.

PRAGMATISME

L’économie « uberisée », c’est l’émergence de professionnels concurrençant les modèles traditionnels grâce à la combinaison d’outils technologiques (souvent communs à l’économie collaborative) et de l’autoentrepreneuriat. Ce second modèle est plus disruptif, puisqu’il décrit un modèle d’entre- prise marchande, horizontalisée et dématérialisée, concurrençant les acteurs classiques via la mobilisation par le numérique de prestataires individuels et indépendants, sans en assumer la charge. Dans sa version extrême, l’économie uberisée s’affranchit également des monopoles, des taxis (UberPop), des banques (Fintech et crowdfunding), voire des avocats (Weclaim). Cette forme de concurrence, semi-professionnelle, peu ou pas régulée, ultra-technologique, en réseau, inquiète. Le risque de précarisation sociale est souvent avancé, au risque de nier une appétence sociétale pour ce type d’activité. Mais du côté des entreprises aussi, comme l’indiquait Maurice Lévy, le patron de Publicis, fin 2014, « tout le monde commence à avoir peur de se faire uberiser ».
Ce « capitalisme de plates-formes » d’inspiration néolibérale dans un pays rétif aux ruptures schumpetériennes soulève des questions de société. Mais il ne faut pour autant pas les amalgamer avec celles afférentes à l’économie collaborative.
Qu’attendre dès lors des pouvoirs publics ? Certes, les enjeux imposent a minima une certaine neutralité, par exemple sur le plan fiscal, pour éviter les faux-semblants de la gratuité, ou sur le plan social, en évitant une nouvelle forme de salariat dérégulée. Mais s’il s’agit d’éviter des effets d’aubaine, ne risque-t-on pas de dépasser cet objectif en renforçant encore des réglementations sectorielles déjà bien lourdes ?

Le cas du transport est typique. La réglementation, importante, aurait pu nuire à l’émergence de Blablacar, promoteur de l’auto-stop universel, aujourd’hui à la conquête du marché mondial, n’eût été une position favorable de la Cour de cassation en 2013 et du législateur en août 2015. Ce pragmatisme, inspiré par la logique écologique du concept (puisqu’une voiture doit accomplir un trajet, autant qu’elle soit remplie), a été rendu possible par la finalité non lucrative de cette activité. En revanche, dans le secteur du covoiturage de colis (You2You, GoGoRunRun, Expédiezentrevous), la réponse semble moins claire. Le Syndicat national des transports légers a alerté les pouvoirs publics devant le risque de laisser faire « de nouveaux acteurs en dehors de toute contrainte légale et administrative ». Il est essentiel que, tout comme pour le covoiturage de personnes, le législateur sache distinguer uberisation et collaboratif, et permette de mutualiser des véhicu- les pour en amortir la charge obligée. Et contribuer aussi à répondre à l’équation des livraisons du dernier kilomètre, dont le coût prohibitif interdit la distribution de 400 millions de colis, selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad).

Le Conseil d’analyse économique préconise ainsi de rendre plus dynamiques et accueillantes les réglementations sectorielles, pour ouvrir un « droit à l’expérimentation de nouveaux modèles ». Pragmatisme qui rejoint celui de la commission des finances du Sénat, qui propose un seuil annuel d’imposition de 5 000 euros pour distinguer avec simplicité entre amortissements de charges (domaine de l’économie collaborative) et recettes d’exploitation (domaine de l’économie uberisée).
Quand le système D à la française, saisi par la technologie, offre des perspectives de croissance tout en mutualisant des sources de pollution et en engendrant des « licornes » (entreprises à forte croissance) à vocation internationale, il est temps que les pouvoirs publics s’inspirent de la devise de Cocteau (dans Les Mariés de la tour Eiffel) : « Puisque ces mystères me dépassent, feignons d’en être l’organisateur. »

Interactifs – Blog pour l’emploi : Être opportuniste sans être inopportun

5 novembre 2015 – Le cadre professionnel nous pousse à être opportuniste mais l’être est généralement montré du doigt. Conseils pour faire en sorte que cette démarche soit bien perçue.

Pourquoi ce qui est opportun, ce qui « pousse vers le port » (l’épithète, qui appartient à la langue nautique, parle du vent) comme nous l’enseigne sa racine latine « opportunus », est-il bienvenu alors qu’être opportuniste est mal vu ? Parce que le vent frise l’incorrection dans ses brusques changements de direction ?

« En général, quand on dit de quelqu’un qu’il est opportuniste, c’est un hommage à son intelligence mais pas un éloge de son niveau d’éthique et c’est toute la somme des comportements inopportuns, sans discernement, égoïstes, qui connote péjorativement le fait d’être opportuniste », analyse Clément Toulemonde, directeur associé chez Interactifs.

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Eleas – Courrier Cadres : Incivilités au travail : 1 salarié français sur 3 en souffre

5 novembre 2015 – Selon une enquête réalisée par le cabinet Eléas, dans le cadre d’un colloque organisé par l’Assemblée nationale ce jeudi 5 novembre, un salarié français sur trois souffre d’incivilités au travail. Les personnes travaillant en accueil ou en guichet sont les plus concernées.

A lire dans Courrier Cadres

Eleas – Challenges : Open space et smartphones: ce qui favorise les incivilités au travail

5 novembre 2015 – 58% des salariés interrogés constatent que le travail en open space favorise les incivilités, « quel que soit le secteur d’activité, la taille de l’entreprise ou l’âge des salariés ».

Le travail en open space et l’utilisation excessive du smartphone favorisent les incivilités au sein de l’entreprise, selon un sondage publié jeudi 5 novembre par le cabinet de prévention Eleas, spécialisé dans le suivi de la qualité de vie au travail. Selon ce sondage, réalisé par internet du 7 au 16 septembre par l’institut Ginger, un an et demi après la première étude commanditée par Eleas sur le sujet, près d’un salarié sur deux (42%) reste fortement exposé aux incivilités sur son lieu de travail, qu’il s’agisse de manque de courtoisie, d’irrespect de la personne, ou plus rarement cependant, de violence verbale voire physique.

Retrouvez l’intégralité de l’article sur le site de Challenges

Eleas – RTL – Xavier Luquetas interviewé dans la matinale

Plus d’un salarié sur deux trouve insupportable de voir un collègue décrocher son téléphone pendant une réunion. C’est le résultat d’une enquête du cabinet Éléas. Le fondateur du cabinet, Xavier Luquetas était interviewé, ce matin, par Yves Calvi (7h15).

Retrouvez le replay de l’émission
Découvrez le reportage d’RTL sur le sujet

Menway – Les Echos Start : Les 20 métiers qui montent

Le numérique est-il en train de faire naître toute une série de nouveaux métiers ou transforme-t-il simplement des fonctions qui existaient déjà dans les entreprises ?
Au-delà des lieux communs sur la révolution numérique en marche dans les entreprises, les métiers proposés aux (jeunes) cadres sont en train de connaître une mutation sans précédent. Toutes les fonctions sont impactées : finance, commercial marketing, communication, ressources humaines, juridique, production, et, ça va sans dire, informatique…

Catherine Dervaux, directrice de Menway Talents a répondu aux questions de Jean-Paul Coulange sur différents métiers.

Retrouvez le dossier en intégral sur le site des Echos Start