Les Français livrent une vision optimiste mais résignée de leurs perspectives professionnelles à horizon vingt ans

Mars 2019 – A l’occasion de sa 7ème édition, le Printemps de l’économie dévoile les résultats exclusifs d’un sondage Opinionway sur la perception qu’ont les Français de l’avenir du travail. Traditionnellement plus négatifs que leurs voisins européens, les Français livrent une vision optimiste mais résignée de leurs perspectives professionnelles. S’ils se déclarent massivement conscients que leur métier existera encore dans vingt ans, les Français anticipent de fortes évolutions liées notamment au numérique et à la durée légale du temps de travail. Enfin, ils sont conscients de la persistance de la précarité de l’emploi et des inégalités salariales pour l’avenir. Revue de détail et décryptage.

–> 91 % pensent que leur métier existera encore dans vingt ans

–> 63 % estiment que leur métier aura évolué

–> 63 % considèrent que la sécurité de l’emploi sera moins accessible

–> 47 % ne croient pas que l’égalité salariale entre homme et femme sera atteinte

–> 44 % pensent que le niveau de qualification sera le premier facteur d’inégalité

 

« Les Français se distinguent souvent par le pessimisme de leur ressenti, loin de la réalité des faits. On évoque alors leur méconnaissance en économie. Cela ne se vérifie pas quand on les sonde sur l’avenir du travail. Se basant sur leur vécu, ils font preuve d’un certain réalisme, en phase avec les études de France Stratégie, de l’OCDE, quant aux effets limités des nouvelles technologies sur la disparition de leur métier » déclare Pierre-Pascal Boulanger Président-fondateur des Economiques et du Printemps de l’économie

« La dominante qui ressort de ce sondage est un certain fatalisme des Français face aux évolutions du travail, un trait que nous trouvions également dans le sondage de l’an passé sur la mondialisation. Ainsi, ils sont majoritaires à penser que le temps de travail va se maintenir, voire augmenter, que les emplois vont devenir plus précaires, que les inégalités femmes – hommes ne se réduiront pas. Diffuser la culture économique, c’est d’abord lutter contre ce fatalisme, et montrer qu’il y a toujours plusieurs voies vers l’avenir » ajoute Rémi Jeannin Vice-président des Economiques et du Printemps de l’économie

 

Des métiers toujours présents mais transformés par les nouvelles technologies

Si 91% des actifs s’accordent sur l’idée que leur métier existera toujours, 63% estiment qu’il aura évolué. Ils ne perçoivent en effet pas de changement total amenant à une disparition ou à une complète automatisation des métiers pratiqués aujourd’hui, mais plutôt à une évolution en profondeur de ces mêmes métiers, avec un déplacement des tâches et missions à effectuer.

 

Les changements technologiques liés au numérique ou encore aux biotechnologies apparaissent comme le premier facteur de changements dans le travail d’ici à 20 ans(cité par 57% des Français), se plaçant loin devant tous les autres facteurs, notamment les évolutions démographiques (15%).

 

L’importance de ces changements est particulièrement perçue par les personnes les plus âgées, qui ont pu assister à l’émergence de la révolution informatique (63% des personnes âgées de 50 ans et plus) alors que les plus jeunes, deux fois moins nombreux à désigner les changements technologiques (31%), citent plus souvent que leurs ainés la mondialisation (21% des jeunes âgés de 18 à 24 ans contre 11% des séniors).

 

Le travail tient une place toujours importante dans la vie des Français

Alors que depuis plus de cent ans, la tendance est à la diminution, 78% des Français estiment que d’ici à 20 ans la durée légale du temps de travail va se maintenir (46%) ou bien augmenter (32%). En conséquence,la plupart des Français estiment que le pourcentage du temps de vie consacré au travail va soit se maintenir (42%) soit augmenter (32%), seuls 23% estimant qu’il va baisser.

Enfin, si les Français anticipent cette augmentation, ils semblent néanmoins se résigner face à cette fatalité. A la question de savoir quels seront les critères sur lesquels ils se fonderont pour choisir un travail, seuls 22% mentionnent le temps de travail.

 

Plus de flexibilité et moins de sécurité seront les nouveaux marqueurs du travail

Autre évolution notable face à laquelle les actifs se montrent résignés : la sécurité de l’emploi. Ils considèrent majoritairement en effet, que la sécurité de l’emploi sera plus difficilement accessible dans 20 ans qu’aujourd’hui (63%), Conséquence de cette évolution, les Français ne placent la sécurité de l’emploi (24%) loin derrière le salaire (45%) ou encore les conditions de travail (44%) dans les critères de choix d’emploi dans 20 ans.

Symptomatiques de l’uberisation de leur monde, 65% des actifs considèrent que les formes d’emploi plus précaires vont augmenter dans le futur. Près d’un Français sur trois estime que cette augmentation sera importante, ces emplois ayant vocation à augmenter fortement (29%) tandis que seuls 14% considèrent qu’ils vont diminuer.

 

Le niveau de qualification, 1erfacteur d’inégalité devant le sexe

Aujourd’hui, les inégalités liées au sexe apparaissent comme les plus importantes pour expliquer les disparités salariales (48%), devant le niveau de qualification (42%).Dans 20 ans, les Français estiment que cetordre se sera inversé, le niveau de qualification devenant le premier facteur d’inégalité salariale (44%), loin devant le sexe (27%).

Ce sentiment que les inégalités liées au sexe sont amenées à prendre une place de moins en moins importante d’ici 20 ans se reflète dans la durée estimée par les Français pour voir les femmes bénéficier de salaires équivalents à ceux des hommes. Certes, 47% des Français considèrent que cette égalité ne verra jamais le jour, mais les 50% qui estiment qu’elle aura lieu un jour considèrent qu’elle se produira en moyenne d’ici 19 ans. L’importance croissante du niveau de qualification est ressentie personnellement par les actifs, et plus particulièrement parmi les plus âgés : 81% considèrent que les nouvelles technologies auront pour effet sur leur métier de devoir être plus qualifié qu’aujourd’hui.

 

Méthodologie : L’étude« Les Français et les mutations du travail » pour Le Printemps de l’économie, a été réalisée en ligne. Les interviews ont été réalisées du 15 au 18 février 2019 auprès d’un échantillon de 1017 personnes,représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

 

A propos du Printemps de l’économie

Créé en 2013 par Pierre-Pascal Boulanger, à la suite d’une impulsion que lui a donnée Michel Rocard, le Printemps de l’Economie a pour ambition de proposer au grand public et particulièrement aux jeunes (lycéens, étudiants, jeunes actifs) de réfléchir chaque année à un thème de l’actualité économique. Il a été rejoint en 2015 par Rémi Jeannin. L’ambition d’ouvrir la sphère éducative sur l’économie et d’œuvrer à la citoyenneté par une meilleure compréhension du monde permet à cet événement d’être soutenu par de nombreux partenaires institutionnels, scientifiques et associatifs (Académie de Paris, CAE, Institut CDC pour la recherche, Centre d’Economie de la Sorbonne, CEPII, Cnam, France Stratégie, IGPDE, Insee, PSE/Ecole d’économie de Paris, La finance pour tous, APSES, Les Economiques de Turgot, Lycée Turgot, Mairie du 3e, Natixis, OFCE Sciences Po, Xerfi). Le Printemps de l’économie dispose d’un Conseil Scientifique rassemblant dans leur plus grande diversité des économistes et des chercheurs en sciences sociales, des représentants des médias et de l’Education nationale. Par ailleurs, un Conseil Etudiant (une vingtaine d’étudiants issus d’établissements du supérieur : universités, écoles d’économie, écoles d’ingénieurs et écoles de commerce) veille à maintenir l’accessibilité et l’attractivité du programme proposé, et participe à l’organisation de l’événement. Au cours de ses 5 premières éditions, le Printemps de l’économie a accueilli 300 intervenants différents dans plus de 200 conférences pour un public supérieur à 21 000 visiteurs dont plus de 55% sont des jeunes. Il dispose d’un site internet (www.printempsdeleco.fr), d’un compte Facebook, Linkedin, Twitter (@printempsdeleco et #printempsdeleco).

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Marie-CélineTerré. 06 09 47 47 45 – Amine Moussaoui.  Tél : 06 27 26 49 64 printempsdeleco@ozinfos.com

Quatre femmes remarquables, emblématiques d’une nouvelle génération de dirigeantes

Février 2019 – Qu’elles soient dirigeantes associatives, médecins, avocates ou dirigeantes d’entreprise, les femmes occupent aujourd’hui le devant de la scène professionnelle. Pour autant, et alors que l’égalité « Homme Femmes » a été déclarée Grande cause du quinquennat, il est plus que jamais nécessaire de valoriser des « success-stories » de femmes. Focus sur le parcours de quatre femmes remarquables : Béatrice Sauvageot, Marie-Christine Jullion, Victoria Hutton, ou Catherine Saint Geniest.

                                                                                                 

Béatrice Sauvageot, la femme qui voulait faire de la dyslexie un enjeu de société

Orthophoniste, musicienne et compositrice, Béatrice Sauvageot a travaillé pendant plus de 12 ans à l’hôpital, avec une activité de recherches, en libéral et au sein de différentes missions de lutte contre l’illettrisme, l’exclusion, la réinsertion, l’insertion, l’apport des neurosciences auprès d’artistes professionnels et de sportifs de haut niveau. Elle exerce en cabinet et au sein de l’association Puissance Dys, un centre pédagogique et thérapeutique au sein duquel elle pratique sa propre méthode qu’elle a créée en 1992 avec la collaboration de Jean Métellus, docteur en neurologie et linguistique. En 2012, Béatrice Sauvageot découvre la 1ère langue neurologique et linguistique au monde : la « bilexie » qui révolutionne l’approche thérapeutique des troubles du langage écrit (TSLE). En 2019, fondatrice de l’association Puissance Dys, Béatrice Sauvageot a présenté DYSPLAY, une série d’applications mobiles pour démocratiser le dépistage de la dyslexie en France. DYSPLAY entend révolutionner grâce au numérique, l’approche des troubles Dys en permettant de les repérer plus simplement et plus massivement

 

Marie Christine Jullion, une femme engagée au service de la jeunesse en difficulté

Marie-Christine Jullion a créé en 2009, la première fondation abritée d’Apprentis d’Auteuil avec son mari (aujourd’hui décédé). « Sensibles à la détresse de la jeunesse en difficulté, nous avons décidé de nous engager pour cette cause de façon durable et structurée. Notre conviction ? Chaque enfant arrive sur terre avec un potentiel, à nous de l’aider à le découvrir et de l’accompagner dans l’accomplissement de soi-même pour devenir un adulte épanoui dans la sérénité, capable de transmettre les bonnes valeurs à son tour. » Depuis 2009, la fondation a financé 105 projets et accompagné plus de 4 000 enfants dans toute la France : ateliers d’éveil musical et artistique, activités sportives, vacances éducatives, jardins pédagogiques avec liens intergénérationnels, et de nombreux autres projets liés aux cinq sens pour « donner aux enfants l’envie d’avoir envie de faire… »

 

Catherine Saint Geniest une femme co-manager d’un cabinet d’avocat

Catherine Saint Geniest est avocate associée en charge de la pratique de droit immobilier et Co-Managing Partner de Jeantet depuis janvier 2019. Elle a pour mission de développer le pôle immobilier et d’accompagner l’équipe fusions et acquisitions pour les aspects immobiliers et l’audit juridique de ce type d’opérations ; Catherine Saint Geniest intervient principalement dans le cadre d’opérations de ventes d’immeubles, de restructurations de patrimoine immobilier et de baux complexes en matière transitionnelle et contentieuse. Catherine Saint Geniest est ancien membre du Conseil de l’Ordre du Barreau de Paris et chevalier de la Légion d’honneur.  Elle est enfin chargée de formation professionnelle des Barreaux de la cour d’appel de Paris (EFB)

 

Victoria Hutton, la femme qui soignait les enfants grave à l’équithérapie

Victoria Hutton a créé en 2017, la fondation « Chevaux porteur d’espérance » abritée par Apprentis d’Auteuil. « La Fondation Chevaux porteurs d’espérance permet à des enfants, adolescents et jeunes adultes en difficulté – y compris en situation de handicap -, de vivre une relation exceptionnelle de confiance avec un animal qui les fait rêver, le cheval. Au contact de cet animal symbole de liberté et de puissance, ils découvrent qu’ils peuvent se faire confiance, apprennent le respect mutuel, le désir d’aider les autres, tout en respectant la liberté d’autrui, symbolisée par celle du cheval ». Tous les projets financés entre septembre 2017 et l’été 2018 ont bénéficié à des enfants et adolescents suivis, scolarisés et accueillis dans des établissements gérés par Apprentis d’Auteuil.

 

Contact média

Amine MOUSSAOUI

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amine@ozinfos.com

 

« Travail : un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout ? » Réalisé par OZINFOS, le Mag du Printemps de l’économie se dote d’un casting prestigieux pour le sommaire de sa 2ème édition

Avec entre autres : Philippe Aghion, Professeur au Collège de France et membre du CAE (Conseil d’analyse économique) ; Laurent Berger, Secrétaire général de la CFDT ; Cécile Duflot, Dg d’OXFAM France ; Dominique Méda, Professeure de sociologie à l’université Paris-Dauphine et PSL ;Muriel Pénicaud, Ministre du Travail ; Guy Rider, Dg de l’Organisation international du travail(OIT)

 

Destiné aux quelques 8000 visiteurs qui chaque année depuis sept ans, font du Printemps de l’économie un évènement incontournable pour les amateurs d’économie, qu’ils soient professionnels ou non, Le Mag entend proposer sur quarante pages couleurs, un espace d’information et de réflexion pointu. Empruntant les codes du news d’information, il permet au participant de disposer d’une synthèse de ce qu’il faut retenir de l’édition. Alternant interviews exclusives et tribunes d’expression de personnalités académiques, syndicales ou politiques, ce magazine se veut accessible aux lycéens et étudiants, leur permettant de saisir les enjeux d’un thème. Au sommaire de l’édition 2019 la question du travail sous trois angles distincts : « Travail et Mondialisation »,« Travail et Environnement », « Travail et Bien être ».Distribué gratuitement à 10 000 exemplaires lors des 40 sessions qui se tiendront du 18 au 21 mars à Paris, il est également distribué dans les principaux lieux d’enseignement de l’économie de la capitale (Paris dauphine, la Sorbonne, Science Po, le CNAM, etc …), il est aussi téléchargeable et consultable en ligne depuis le site http://www.printempsdeleco.fr.

Revue de sommaire.

A propos du Printemps de l’économie

Créé en 2013 par Pierre-Pascal Boulanger, à la suite d’une impulsion que lui a donnée Michel Rocard, le Printemps de l’Economie a pour ambition de proposer au grand public et particulièrement aux jeunes (lycéens, étudiants, jeunes actifs) de réfléchir chaque année à un thème de l’actualité économique. Il a été rejoint en 2015 par Rémi Jeannin. L’ambition d’ouvrir la sphère éducative sur l’économie et d’œuvrer à la citoyenneté par une meilleure compréhension du monde permet à cet événement d’être soutenu par de nombreux partenaires institutionnels, scientifiques et associatifs (Académie de Paris, CAE, Institut CDC pour la recherche, Centre d’Economie de la Sorbonne, CEPII, Cnam, France Stratégie, IGPDE, Insee, PSE/Ecole d’économie de Paris, La finance pour tous, APSES, Les Economiques de Turgot, Lycée Turgot, Mairie du 3e, Natixis, OFCE Sciences Po, Xerfi).

 

Le Printemps de l’économie dispose d’un Conseil Scientifique rassemblant dans leur plus grande diversité des économistes et des chercheurs en sciences sociales, des représentants des médias et de l’Education nationale. Par ailleurs, un Conseil Etudiant (une vingtaine d’étudiants issus d’établissements du supérieur : universités, écoles d’économie, écoles d’ingénieurs et écoles de commerce) veille à maintenir l’accessibilité et l’attractivité du programme proposé, et participe à l’organisation de l’événement.

 

Au cours de ses 5 premières éditions, le Printemps de l’économie a accueilli 300 intervenants différents dans plus de 200 conférences pour un public supérieur à 21 000 visiteurs dont plus de 55% sont des jeunes. Il dispose d’un site internet (www.printempsdeleco.fr), d’un compte Facebook, Linkedin, Twitter (@printempsdeleco et #printempsdeleco).

 

OZINFOS pour mémoire

Créée en 2001 par Marie-Céline Terré, OZINFOS agence de communication d’influence s’intéresse en priorité aux enjeux éco-sociaux-sociétaux des entreprises, institutions ou collectivités publiques.OZINFOS développe la visibilité et la réputation de ses clients en donnant la priorité absolue aux contenus et messages qu’elle déploie dans des programmes de relations publics et d’influence, en s’appuyant sur une présence digitale, éditoriale et événementielle.

 

L’agence propose également des programmes de formation à la prise de parole (médiacoaching) et dispose d’un savoir-faire très expert en matière de communication dans un environnement complexe (fusion, croissance externe, restructuration, réorganisation).

 

Parmi les clients de l’agence :

  • des acteurs du conseil  aux entreprises:JeantetAssociés, cabinet d’avocats d’affaires, Eleas, conseil en Qualité de vie au travail et gestion des RPS, FIRPS (Fédération des Intervenants en RPS),
  • des acteurs de la distribution :le Groupement Pharmabest, FFPS (Fédération de la Parfumerie Sélective),
  • des acteurs de la mobilité :LMI (Laboratoire de la Mobilité Inclusive), Saemes, Wimoov,
  • des acteurs associatifs :Association PuissanceDYS, Fondation Apprentis d’Auteuil, Le Printemps de l’Economie, Voxfemina

 

OZINFOSest membre associé del’AJEF(association des journalistes économiques et financiers) et de l’AJIS(association des journalistes d’information sociale). Elle est membre de l’organisation professionnelle IP&C(information presse et communication) et du Club Mac Luhan.

En savoir plus www.ozinfos.com/ Twitter : @ozinfos

 

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Impact du digital sur les stéréotypes, visibilité de l’expertise des femmes dans les médias, Voxfemina organise le 19 mars une soirée débats

Mars 2019 – Qu’elles soient dirigeantes associatives, haut-fonctionnaires, médecins, avocates ou cheffes d’entreprise, les femmes occupent aujourd’hui le devant de la scène professionnelle. Pour autant, et alors que l’égalité « Femmes-Hommes » a été déclarée Grande cause du quinquennat, la visibilité des femmes dans les médias n’est pas représentative de la place qu’elles occupent dans la société. C’est pourquoi voxfemina organise le 19 mars une soirée de débats autour de l’impact du digital sur les stéréotypes et sur l’entrepreneuriat au féminin. Ce sera l’occasion de faire un bilan de la 5ème Saison du concours « Femmes en vue » et de lancer la 6ème saison, autour des « pitchs » de nos Lauréates.

 

Dix ans après la création de voxfemina, le sujet de la visibilité a certes pris de l’importance dans les médias, mais les chiffres n’ont malheureusement pas beaucoup bougé. Ces résistances au changement démontrent à quel point notre société reste encore marquée par un principe de séparation des pouvoirs fondé sur le sexe “ déclare Valérie Tandeau de Marsac, Présidente de l’association voxfemina.

Top départ pour la 6ème saison de « Femmes en vue »

Lancé en novembre 2014, le concours Femmes en Vue, c’est aujourd’hui 5 saisons, 96 lauréates, plus de 400 candidatures d’expertes reçues, des partenaires médias, privés, associatifs et institutionnels mobilisés pour pour promouvoir plus d’expertes dans les médias. Ce concours soutenu par de nombreux partenaires*, permet à toute experte de soumettre sa candidature par l’envoi d’une vidéo de présentation de son expertise en moins d’une minute. Les lauréates de chaque saison bénéficient d’une formation à la prise de parole devant les médias en partenariat avec TF1.

Les femmes désireuses de participer devront réaliser un « selfie » vidéo de 90 secondes maximum présentant leurs expertises et les sujets sur lesquels les médias pourraient les interviewer. Ces selfies de candidature devront être déposés par elles-mêmes sur le site : http://voxfemina.eu/nos-actions/femmes-en-vue, avant le 16 juin 2019.

Un jury composé de journalistes et de personnalités sélectionnera les lauréates finales. A la clé un média training d’une journée dans les studios de TF1 et une vidéo personnelle de signature audiovisuelle sera publiée sur le site voxfemina (http://voxfemina.eu).

Partenaires de femmes en vue

 

A propos de voxfemina : association créée il y a 10 ans promeut une représentation équilibrée et non stéréotypée des femmes dans les médias. Plateforme interactive, Voxfemina propose aux journalistes un accès privilégié à un vivier de femmes qualifiées pour donner un avis d’expert dans leur domaine de compétence. L’association travaille sur un levier d’action préconisé par les institutions internationales pour faire évoluer la société en général, l’économie et les entreprises en particulier, vers un meilleur équilibre hommes-femmes : le levier de la visibilité des femmes dans les médias et la constitution de répertoires d’experts féminins. Voxfemina est partenaire des associations suivantes : Association Femmes Ingénieurs et A3F, Fédération Femmes Administrateurs, PWN, BPW, Parité Assurance. En 2014, Voxfemina lance le concours femmes en vue, permettant d’identifier des femmes expertes dans tous les domaines de la société et offrir aux lauréates, avec le concours de TF1 Initiatives, un médiatraining, leur permettant de travailler leur signature médiatique. Les membres du Conseil d’Administration sont :Valérie Tandeau de Marsac, Présidente de voxfemina, avocate – fondatrice de VTM Conseil ; Claire Deguerry, Associée – Deloitte Finance ; Cécile de Guillebon, Directeur de l’immobilier et des services généraux – Renault ; Béatrice Lejarre, Présidente – Lp Digital ; Clotilde Scemama, Consultante Ressources Humaines; Marie-Céline Terré, Fondatrice – Ozinfos. Christine Chillet, Gestion Middle Office – Syquant Capital.

Nous suivre :  @voxfeminaassofr – http://voxfemina.eu

 

 

Pari réussi pour Pharmabest

Le groupement affiche un chiffre d’affaires de 740 millions d’euros soit une croissance de 40 % sur 2018

 

Face à la transformation profonde du marché de la pharmacie, l’enseigne Pharmabest séduit toujours davantage et poursuit sa croissance sur un rythme élevé. Crée début 2016 autour de 21 officines et 214 M€ de chiffres d’affaires, Pharmabest a multiplié son chiffre d’affaire par 3,5 portant celui-ci à 740 M€ pour 84 pharmacies.

Un important développement qui s’explique par une stratégie globale articulée autour de quatre axes complémentaires : une couverture totale du territoire ; une offre très large composée de plus de 25 000 références ; les meilleurs prix dans les zones de chalandise de chaque officine ; et enfin une politique innovante de conseils et services de proximité pour la santé du quotidien. Un pari réussi qui s’accompagne de l’objectif ambitieux consistant à atteindre le milliard d’euros de CA et 100 pharmacies en 2020.

 

« Le pharmacien est au cœur du quotidien des français, l’officine doit devenir un lieu de santé et bien-être, nous sommes des aiguillons du marché. Le groupement se vit comme un acteur de référence de la pharmacie et à ce titre anticipe l’évolution des missions de l’officine, vers plus de services de santé publique, la participation active à des campagnes de prophylaxie, de respect de l’observance … » souligne le Dr David Abenhaim, Président de Pharmabest.

 

Une marque forte sur tout le territoire

Cherchant à accroitre sa présence territoriale, pour mieux se rapprocher des centres de vie des Français, pour créer une vraie marque de santé aux yeux des français le groupement a multiplié son réseau par quatre. Désormais implanté sur l’ensemble du territoire métropolitain, Pharmabest l’est aussi en Corse et à la Martinique.

 

La force d’un réseau important couplé à un maillage fin de l’hexagone constitue un facteur clé du succès du groupement. Ainsi les officines membres se sont engagées dans des travaux d’agrandissement pour doubler voire tripler leurs surfaces d’exposition produits, et se sont enfin appuyées sur les techniques de la distribution moderne telles que des corners par spécificité, des têtes de gondoles, une signalétique claire, et des campagnes de trade marketing.

 

« Le rôle de la pharmacie comme acteur de la santé évolue très vite avec les nouvelles attentes des clients. Dans ce cadre Pharmabest initie de nouvelles modalités commerciales et marketing au bénéfice de ces derniers »,commente Alain Styl, directeur général du Groupement.

 

Des services innovants de santé au quotidien

Le développement de services de proximité de santé, est un axe majeur du positionnement stratégique du groupement. « Si notre métier de pharmacien consiste à soigner, apporter des médicaments, du matériel médical, des soins, nous avons également le devoir de proposer de nouvelles modalités de mise en œuvre de ces services auprès d’une population parfois vieillissante, souvent très presséeFort de notre expérience quotidienne, de nos compétences métiers et d’une proximité immédiate avec la patientèle, nous avons proposé dès 2017 des services à valeur ajoutée à nos clients »explique David Abenhaim, Président de Pharmabest.

Après PharmaBest@home lancé en juillet 2017 à Marseille et déployé depuis dans 18 nouvelles villes (service de livraison à domicile de médicaments conçu en partenariat avec la Poste), un service de prévention du cancer du mélanome en pharmacie a été lancé en juin 2018. Proposé depuis septembre 2018, le dépistage du Mélanome, est la 1èreinitiative de service de santé en officine, permettant à l’aide d’un appareil d’imagerie de dernière génération, d’effectuer un pré-dépistage du Mélanome. 400 personnes ont pu bénéficier de ce service en 2018.

« Nous souhaitons continuer à nous impliquer dans une démarche globale de prophylaxie tout en renforçant notre positionnement d’acteur de santé globale et de proximité » précise Alain Styl, directeur général du Groupement.

Une stratégie de marque totalement assumée

 Une marque propre pour le groupement

En 2018, Pharmabest a lancé Pharmascience , sa propre gamme decompléments alimentaires bio pour soulager les maux du quotidien. Au total ce sont 71 références de compléments alimentaires dont une dizaine dédiée à la minceur et six à la beauté qui ont été proposées.

« Cette gamme a été conçue par des pharmaciens et répond aux comportements observés dans nos pharmacies »commente David Abenhaim. Forte de cette réussite, la gamme Pharmascience propose à présent 55 références d’huiles essentielles 100% bio et devrait être complétées en 2019.

Le succès était au rdv puisque 24 459 unités ont été vendues avec trois produits phares en TOP 3 :

En compléments alimentaires

  • Le Curcuma Piperine
  • La spiruline
  • Le charbon végétal

En huiles essentielles :

  • Tea tree
  • Lavande officinale
  • Menthe poivrée

 

Des opérations catégorielles récurrentes

Pharmabest a fait le pari en 2018, d’une stratégie d’opérations catégorielles pour dynamiser l’ensemble de ses points de vente. « Le patient client est au cœur de nos préoccupations, il souhaite des offres commerciales très lisibles c’est pourquoi nous avons choisi cette stratégie déclinée dans toutes nos officines »ajoute Alain Styl.

La première campagne de découverte bio en pharmacie « Best of Bio » notamment a été un succès avec une croissance de 30% de ces catégories de produits en une semaine. Pharmabest, c’est plus d’une dizaine de marques BIO pour 840 références dont celles de Pharmascience la marque de l’enseigne.

Un nouveau site web serviciel

Vitrine en ligne unifiée et commune aux 84 officines le site www.pharmabest.compermet aux clients d’accéder, via une navigation simple et fluide aux offres promotionnelles mais également aux différents services proposés (programme de fidélité MyVeryBestCard, livraison de médicaments à domicile, détection de mélanomes, etc) ainsi qu’aux conseils de santé du quotidien prodigués par le groupement.

Un programme de fidélisation orienté prix

Permettre à chacun d’accéder au bien-être et à la santé, c’est aussi mettre en place des actions permettant de donner un coup de pouce au pouvoir d’achat. Plus de 420 000 foyers, ont adhérés au programmede fidélité MyVeryBestCardqui rassemble 70 marques.

Ce programme généreux et entièrement gratuit permet d’économiser 10% de ses achats des 100€. En 2018, 200 000 euros de pouvoir d’achat ont été rendu aux clients de Pharmabest.

Pharmabest en quelques chiffres…

Evolution du réseau : Début 2018, 64 pharmacies, 84 début 2019

  • Dont + 8 en Ile de France, qui devient, avec 25 pharmacies la première région pour Pharmabest en termes d’implantation
  • Double sa présence à Paris, passant de 4 à 8 pharmacies en 2018, (19, Bd Haussman 9ème,54, rue de la Chaussée d’Antin 9ème, 11, rue de Mogador, 9ème, 10 place Raoul Dautry 15ème)
  • 84 pharmacies dont 25 en IDF, 10 dans le Nord, 6 en Paca, Nouvelle aquitaine, Nouvelle occitanie,
  • 740 millions d’€ de CA à fin 2018
  • 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’ordre
  • 32 millions de tickets par an
  • 14 millions d’ordonnances par an
  • +25 000 références en moyenne dont 840 références en BIO,
  • 180M€ de CA en dermo-cosmétique, 10% du marché
  • 420 000 porteurs de la carte de fidélité, 200 000 euros de restitution de pouvoir d’achat, 50 opérations dans l’année

A propos de PHARMABEST

 Pharmabest s’est hissé en quelques années parmi les tout premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe 84 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse et à la Martinique. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 780 millions d’euros pour 2018. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’ordre, accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 14 millions d’ordonnances chaque année. Pharmabest, c’est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 420 000 abonnés et 70 marques – juillet 2017, lancement de Pharmabest@home, premier service de livraison de médicaments à domicile avec La Poste – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement autour d’une gamme de compléments alimentaires, puis d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site internet national www.pharmabest.com.

Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur un magazine trimestriel distribué à 410 000 exemplaires.

Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur Général Alain Styl.

 Contacts médias

Agence Ozinfos

Céline Kéruzoré / 06 03 92 15 49 – Marie-Céline Terré / 06 09 47 47 45. pharmabest@ozinfos.com

Apprentis d’Auteuil, fondation abritante depuis 10 ans

Février 2019 – Depuis 2009, Apprentis d’Auteuil bénéficie du statut de fondation abritante, réservé aux fondations reconnues d’utilité publique les plus représentatives. 10 ans plus tard, elle compte 21 fondations abritées, qui agissent en faveur des jeunes et des familles en difficulté.

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Le SEST vous invite à sa conférence « Et vous, que faites-vous de vos talents ? » le 21 février 2019

Paris, le 28 janvier 2019 – Que faites-vous de vos talents en entreprise ? Ces talents, ce sont les employés à fort potentiel qui peuvent augmenter considérablement la productivité de l’entreprise grâce à leur travail. Dans une équipe de football par exemple, il existe un collectif mais certains joueurs se démarquent grâce à leurs qualités techniques et physiques. Dans le monde du travail, c’est la même chose. Au lieu de les appeler « champions », les recruteurs parlent de salariés à haut potentiel. Grâce à leur intelligence, leur agilité et leur créativité, ils peuvent avoir une productivité au travail de 400% supérieure à la moyenne [1].

C’est bien ici tout l’enjeu pour les entreprises qui peinent à conserver leurs talents au sein de leurs structures et qui, très souvent, n’arrivent pas à utiliser tout leur potentiel pour en faire profiter l’entreprise dans sa globalité. L’inexploitation des talents par l’entreprise peut conduire le salarié à entrer dans un cercle vicieux, pouvant nuire à sa santé. Pour discuter de ce sujet, le Service aux Entreprises pour la Santé au Travail, en partenariat avec le cabinet Eléas, Équilibre Ergonomie et Aménagement et le réseau Pleins talents, vous invite à sa conférence « Et vous, que faites-vous de vos talents ? » le 21 février 2019 de 18h30 à 20h30.

 

Et vous, que faites-vous de vos talents ?

Jeudi 21 février 2019 

18h30 à 20h30

Schoolab
21, rue de Cléry
75002 Paris

 

Cette conférence sera animée par Stéphanie Gritti et Anne-Françoise De Solère, qui sont toutes deux membres du réseau Talents et Trajectoires (https://www.talents-trajectoires.com). Le réseau accompagne lycéens, étudiants ou encore actifs dans le diagnostic de leurs talents et leur accompagnement professionnel. Avec la participation de Xavier Cail, Fondateur du réseau Pleins Talents (https://www.talents-trajectoires.com)

[1] https://hbr.org/2014/11/what-high-performers-want-at-work

<Fin>

A propos du SEST

Basé en Ile-de-France, le SEST, Service aux Entreprises pour la Santé au Travail, est une association, régie par les dispositions de la loi du 1er Juillet 1901, créée en 1946. Le rayon d’action du SEST s’étend sur les quatre départements des Hauts-de-Seine, de Paris, de l’Essonne et du Val-de-Marne. L’association a pour objectif exclusif : l’organisation, le fonctionnement et la gestion du service interentreprises de santé au travail en vue de l’application des dispositions relatives à la santé au travail; la prise de participation, directe ou indirecte, dans toute société, quelle que soit sa forme et, notamment, des sociétés ayant pour objet la formation, la sécurité, l’hygiène, la santé, l’environnement et le conseil en ces matières et l’acquisition, la cession, la location et la gestion de tous biens immobiliers.

A propos d’Eléas

Fondé en 2001, Eléas est un cabinet conseil spécialiste de la qualité de vie au travail et de la prévention des risques psychosociaux. Basés sur l’approche systémique, les dispositifs mis en œuvre par Eléas mobilisent l’ensemble des acteurs concernés autour des leviers et des forces de l’organisation (Direction générale, Direction des ressources humaines, management, CHSCT, IRP, médecine du travail…).

Eléas propose aux entreprises des démarches d’accompagnement sur-mesure et intervient dans cinq domaines principaux : les études et diagnostics, l’accompagnement des transformations et mutations, les dispositifs d’écoute et de soutien psychologique, la gestion des évènements critiques, la formation et le coaching.

L’équipe Eléas est constituée de 20 consultants et d’un réseau national de 160 experts certifiés spécialistes dans différents domaines : prévention des risques psychosociaux, sociologie des organisations, psychologie clinique, management des hommes, pédagogies innovantes, communication, relations et climats sociaux, ergonomie, médecine. Le cabinet intervient auprès de grandes entreprises privées et publiques, d’ETI, de PME, d’associations et de collectivités

Eleas bénéficie d’une habilitation IPRP (Intervenant en Prévention des Risques professionnels), de l’agrément du ministère du travail et d’une qualification OPQF (Office Professionnel de Qualification des Organismes de Formation). Pour plus d’informations : www.eleas.fr

A propos d’Equilibre Ergonomie et Aménagement

La société Équilibre est Spécialiste des solutions ergonomiques pour aménager les postes de travail. Forte de 35 années d’expérience dans le mobilier de bureau ergonomique, elle a accompagné 7500 personnes et a installé plus de 12000 postes handicap depuis 2012. Parmi leurs solutions phares ; des bureaux et des fauteuils ergonomiques testés par des ergonomes, médecin du travail… approuvés par les clients, et provenant de fabricants européens répondant aux normes environnementales.

A propos du réseau Pleins Talents

PLEINS TALENTS est née de la rencontre de personnes convaincues de la primauté des relations dans la performance des entreprises, dans la durée. Au cours d’années marquées par des allers et retours entre théorie et pratique, les intervenants de PLEINS TALENTS ont acquis un véritable  » tour de main  » pour amener les équipes à travailler ensemble. Chaque intervention fait l’objet d’une réflexion d’équipe, pour bénéficier de la complémentarité des parcours et des talents des intervenants. La réponse apportée au client s’en trouve enrichie.

Inscriptions

Avant le 12 février 2019 à l’adresse suivante : aurelie.methion@sestidf.fr

Contact presse :

Agence OZINFOS

Marie-Céline Terré / Pauline Le Mouellic

Tél : 01 42 85 47 32 – sest@ozinfos.com

OZINFOS renforce son pôle « non profit – intérêt général » en recrutant Amine Moussaoui en tant que directeur conseil

Février 2019 – OZINFOS annonce l’arrivée d’Amine Moussaoui au poste de Directeur conseil. Amine Moussaoui dispose d’une expérience en communication de plus de vingt acquise au sein de grandes associations ou institutions nationales au service de l’intérêt général.

 « OZINFOS est depuis près de 20 ans une agence de conseil en communication d’influence, spécialisée sur des thématiques économiques, sociales et sociétales. L’expertise d’Amine Moussaoui en tant que directeur de la communication sur des sujets « non profit » vient renforcer notre positionnement stratégique. Un regard de dircom allié à une maitrise des sujets qui sont les nôtres, apportera un éclairage nouveau à notre métier de consultants et nous permettra d’être encore et toujours plus performants pour nos clients » déclare Marie-Céline Terré fondatrice et dirigeante de l’agence.

 

De 1995 à 1997, il participe au CNRS (Centre national de la recherche scientifique) à la naissance et à élaboration de plusieurs manifestations scientifiques d’envergure internationale. En 1998, il intègre le département communication de l’AGEFIPH (Association de gestion du fonds
pour l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap) où il contribue à la conception et au lancement de plusieurs campagnes d’information et de sensibilisation (média et hors média).

Il rejoint l’AFPA (Agence pour la formation professionnelle des adultes) en 2005 en tant que responsable des relations presse auprès du Directeur général avant d’être nommé en 2009, directeur adjoint de la communication et de la stratégie de marque. Au cours de cette période, il accompagne notamment le déploiement du plan stratégique de l’agence.

Entre 2013 et 2018, il dirige le service communication d’Initiative France (1er réseau associatif français de financent et d’accompagnement des créateurs, repreneurs et développeurs d’entreprise). Il pilotait dernièrement la communication de la FGPEP (fédération générale des pupilles de l’enseignement public).

OZINFOS pour mémoire

Créée en 2001 par Marie-Céline Terré, OZINFOS agence de communication d’influence s’intéresse en priorité aux enjeux éco-sociaux-sociétaux des entreprises, institutions ou collectivités publiques. OZINFOS développe la visibilité et la réputation de ses clients en donnant la priorité absolue aux contenus et messages qu’elle déploie dans des programmes de relations publics et d’influence, en s’appuyant sur une présence digitale, éditoriale et événementielle.

L’agence propose également des programmes de formation à la prise de parole (médiacoaching) et dispose d’un savoir-faire très expert en matière de communication dans un environnement complexe (fusion, croissance externe, restructuration, réorganisation).

Parmi les clients de l’agence :

  • des acteurs du conseil  aux entreprises : JeantetAssociés, cabinet d’avocats d’affaires, Eleas, conseil en Qualité de vie au travail et gestion des RPS, FIRPS (Fédération des Intervenants en RPS),
  • des acteurs de la distribution : le Groupement Pharmabest, FFPS (Fédération de la Parfumerie Sélective),
  • des acteurs de la mobilité : LMI (Laboratoire de la Mobilité Inclusive), Saemes, Wimoov,
  • des acteurs associatifs : Association PuissanceDYS, Fondation Apprentis d’Auteuil, Le Printemps de l’Economie, Voxfemina

OZINFOS est membre associé de l’AJEF (association des journalistes économiques et financiers) et de l’AJIS (association des journalistes d’information sociale). Elle est membre de l’organisation professionnelle IP&C (information presse et communication) et du Club Mac Luhan.

En savoir plus www.ozinfos.com/ Twitter : @ozinfos

Saemes fête ses 40 ans et choisit l’agence OZINFOS pour la mise en œuvre de sa stratégie de relation presse

Paris, le 16 janvier 2019 : Saemes, opérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, a choisi à l’issue d’un appel d’offres l’agence de communication d’influence Ozinfos, pour l’accompagner dans son programme de relation presse à l’occasion de ses 40 ans. Dès le mois de janvier 2019, Saemes ouvre les festivités avec un programme valorisant son expertise de longue date dans le stationnement.

En 2019, Saemes souhaite ainsi mettre l’accent sur l’histoire de l’entreprise, les évolutions et transformations qui font les parkings d’aujourd’hui et ainsi asseoir sa position de référent dans la construction de parcs de stationnement, l’exploitation et le développement de services accompagnant la multi-modalité de ses clients, qu’ils soient automobilistes, motards ou cyclistes.

L’agence Ozinfos, accompagnera également Saemes dans ses prises de parole sur ses actualités et son développement et sur les enjeux liés au stationnement en voirie comme en ouvrage.

 

 

Pour toutes demandes d’informations complémentaires merci de contacter :

L’agence OZINFOS

Elyse Scheidt – elyse@ozinfos.com – 06 18 10 55 61

Myriam Ketfi – myriam@ozinfos.com – 06 27 26 49 65

 

A propos de Saemes :

 

Saemes, opérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, exploite près de 30 000 places en ouvrage et en voirie sur plus de 90 parkings et s’inscrit dans une politique d’innovation liée aux nouvelles mobilités urbaines. En 2016, Saemes a lancé sa plateforme d’Opendata devenant ainsi le premier opérateur de stationnement en France à libérer ses données.

Depuis le 1er janvier 2018, Saemes participe, en tant qu’acteur du contrôle du stationnement payant en voirie, à la mise en œuvre de la réforme de la dépénalisation du stationnement.

https://www.saemes.fr/fr

 

Utilisation des outils numériques au travail : une sensation de trop plein d’informations et de débordement !

Paris, le 23 novembre 2018 – Enquête « L’impact des outils numériques professionnels sur les salariés »

 

#DIGITAL, #HYPERCONNEXION, #INFOBESITE, #DEBORDEMENT, #STRESS, #FLEXIBILITE, #TELETRAVAIL, #DECONNEXION, #PAUSE

 Deux ans après la mise en place du droit à la déconnexion, le cabinet ELEAS, un des principaux acteurs du conseil en qualité de vie au travail et prévention des risques psychosociaux, fait le point et a présenté à l’occasion du prix du DRH numérique organisé par l’ANDRH le jeudi 22 novembre 2018, les résultats d’un sondage inédit « L’impact des outils numériques professionnels sur les salariés français». Cette enquête, réalisée par Opinionway auprès d’un échantillon représentatif de la population active française, analyse les usages et perceptions des outils numériques et de la digitalisation au sein des entreprises.

 

Les outils numériques font de plus en plus partie du quotidien des salariés :

                                                     

  • 75% d’entre eux les utilisent plus de 3h par jour et 43% plus de 6h par jour.

 

  • Les effets du numérique sont perçus comme un progrès pour 45% des salariés, permettant davantage deréactivité dans l’échange de l’information pour 62% des salariés etplus d’autonomie professionnelle pour 57 % d’entre eux.

 

  • Cependant, l’utilisation et le flux d’informations liés aux outils numériques suscitent l’expression d’effets négatifs,
    • Une sensation de fatigue pour 43% des salariés,
    • Un sentiment de submersion pour 36% d’entre eux,
    • Le ressenti d’un trop plein d’informations pour 39% des salariés,
    • Un manque de temps pour traiter les informations pour 27% d’entre-eux.

 

  • L’usage professionnel déborde largement sur le temps personnel : 47% des salariés les utilisent encore le soir après le travail, 45% le week-end et 35% pendant les congés.

 

  • Les jeunes (18-29 ans) sont plus fragilisés par l’utilisation intense des outils numériques professionnels.
    • Plus stressés (48% vs 35% ensemble des salariés),
    • Plus submergés (44% vs 36% ensemble des salariés) ,
    • Moins concentrés (44% vs 32% ensemble des salariés),
    • Plus désorientés (33% vs 22% ensemble des salariés).

 

  • Face à ces difficultés, le déploiement de solutions par les entreprises est encore peu répandu et souvent dérisoire : 41% n’ont mis en place aucune action, 23% ont diffusé des chartes de bonnes pratiques et seules 16% ont élaboré des règles de déconnexion.

 

  • Pour éviter l’épuisement numérique, les salariés se sont forgés leur propre parade: 45 % déclarent faire une autre activité récréative toutes les 2 heures, 27% se réservent un créneau horaire dédié exclusivement à la gestion de ces informations, ¼ éteint ponctuellement certains outils ou s’impose des durées précises de consultation. Les salariés déclarent faire en moyenne 2 pauses par jour, pour la moitié d’entre eux, d’une durée inférieure à 10 minutes.

  

Des outils au cœur du travail quotidien des salariés

Aujourd’hui,l’usage des outils numériques s’intensifie : 75% des salariés les utilisent plus de 3h par jour soit 8 pts de plus qu’en 2016 montrant un phénomène de généralisation dans la vie des salariés français. Ce mouvement touche désormais des populations qui jusqu’ici étaient éloignées de l’emprise du numérique dans leur quotidien professionnel : les salariés de l’industrie (34% plus de 3h/jour),

L’utilisation intensive des outils numériques (plus de 6h/jour) concerne 43% des salariés (49% lorsqu’ils travaillent dans de grandes entreprises) et sans surprise, 55% des cadres, ainsi queles jeunes (33%).

53% des salariés estiment qu’ils transforment leur mission et près de 40% qu’ilscréent des opportunités d’évolution professionnelle.

 

Une exposition jugée positivement par la majorité des salariés

Les effets du numérique sont perçus comme un progrès pour 59% des salariés.

Les outils numériques donnent plus de flexibilité dans les horaires de travail pour 43% des salariés (en progression de 5 pts vs 2016)

Ils impactent positivementle contenu de leur travail, instaurant une plus grande réactivité et une meilleure gestion d’ensemble du travail :

 

  • 62% des salariés soulignent la réactivité dans l’échange de l’information permise par leurs outils numériques ;
  • 57 % d’entre eux soulignent les gainsen autonomie professionnelle, 55% dans l’organisation du travail dans l’équipe,
  • 55% une meilleure gestion des urgences.

Toutefois les salariés français émettent plus de réserve sur le contenu du travail qui tendrait à devenir plus répétitif avec une diversité moindredes tâches (48% d’avis positifs), une diminution de la coopération entre collègues (49%), des rapports plus dématérialisés avec les clients (47%).

« Le développement des outils numériques permet de nouvelles formes d’organisation du travail tel que le télétravail à domicile, le flex-office en entreprise, le nomadisme pour profiter des temps morts. Cette liberté liée aux lieux ou aux temps travaillés est perçue de façon très positive. Mais il convient de rester attentif à certains impacts sur le contenu du travail : l’intérêt des tâches, la dégradation du lien social, la dématérialisation de la relation client sembleraient être des enjeux liés au numérique qui partagent davantage les avis des salariés français» commente Éric GOATA, Directeur associé du cabinet ELEAS

  

Un sentiment de trop plein, source de difficultés, notamment pour les plus jeunes.

 

Un sentiment diffus de « surabondance d’informations » serait en train de s’installer. 4 salariés sur 10 estiment qu’ils reçoivent trop d’informations. Ce sentiment culmine à 49% pour ceux qui utilisent les outils plus de 6h/jour et 44% pour les cadres. Pour plus d’un quart des salariés (27%), il a pour corollaire la perception d’un manque de temps pour traiter toutes les informations reçues. Ce résultat monte à 41% dans l’industrie.

 

Les effets négatifs de cette surabondance d’informations relativisent l’efficacité attendue des outils numériques professionnels. Ils se font clairement sentir chez les salariés, au premier rang desquels la fatigue qui concerne 43% des salariés (54% pour ceux qui les utilisent plus de 6h/jour).

 

Les jeunes (18-29 ans) sont plus fragilisés par l’utilisation intense des outils numériques professionnels.

  • Plus stressés (48% vs 35% ensemble des salariés),
  • Plus submergés (44% vs 36% ensemble des salariés) ,
  • Moins concentrés (44% vs 32% ensemble des salariés),
  • Plus désorientés (33% vs 22% ensemble des salariés).

 

 « Au-delà de l’instantanéité dans la transmission de l’information, l’immédiateté et l’intensité de la diffusion d’informations permises par les outils numériques augmentent le volume d’informations à traiter et peuvent saturer les capacités d’analyse et de synthèse ou contribuer à diminuer les capacités de prise de décision. Sous la masse d’informations, on ne fait plus la différence entre priorité et urgence. L’hyperchoix permis par le numérique peut aboutir à une forme d’épuisement informationnel » commente Éric GOATA, Directeur associé ELEAS

 

 

Un débordement de la vie professionnelle sur la vie privée culpabilisant pour plus d’un tiers des salariés

 

La portabilité des outils numériques s’immisce dans les temps hors travail et suscite un débordement de l’activité professionnelle sur les temps personnels.L’étude illustre ainsi un paradoxe de la flexibilité qu’apportent les outils numériques professionnels.

 

  • 47% des salariés utilisent leurs outils professionnels numériques pour travailler le soir (68% pour les managers et 66% pour les 18-29ans), chiffre quasi comparable pour le week-end 45% (63% pour les managers, 58% pour les 18-29 ans). Seules les vacances sont l’occasion de faire un vrai break. Cependant 35% déclarent encore se connecter (53% des managers et 45% des cadres).
  • 40% des salariés culpabilisent de ne pas se connecter le soir, 37% durant le week-end ou les congés.

 

Les catégories les plus impactées par ce phénomène sont, sans surprise, les cadres (2 sur 3) et les jeunes de 19 à 29 ans (6 salariés sur 10 dans cette catégorie). Et plus d’un tiers des salariés expriment un sentiment de submersion, de stress et une diminution des capacités de concentration, notamment les plus jeunes dans la tranche de 18 à 29 ans.

 

 

Une nécessaire implication des entreprises au delà de leur obligation légale

 

Dans ce contexte, les entreprises et les organisationsmanquent d’initiatives. Deux ans après la mise en application de la loi sur le droit à la déconnexion, 51% des salariés déclarent que personne ne traite leurs mails quand ils sont en congés et 63% attendent que leur entreprise les forme à leurs usages numériques.

  • 41 % des entreprises n’ont pas mis en place d’actions pour réguler l’utilisation des outils numériques.

Parmi les actions mises en place par les entreprises,

  • La création de charte de bonnes pratiques sur l’usage des mails vient au premier rang avec 23%,
  • La création de règles de déconnexion pour 16% (24% dans les grandes entreprises)
  •  L’obligation de faire une ou plusieurs pauses dans la journée pour 13% d’entre elles.

 

« Les salariés français expriment de fortes attentes d’accompagnement pour retrouver une maîtrise des outils numériques professionnels. Le constat d’un manque d’initiatives de la part des organisations, appelle à déployer des plans d’actions adaptées pour accompagner l’émergence des nouveaux usages professionnels liés au numérique. Elles passent notamment par l’apprentissage de nouvelles compétences qui peuvent aider à mieux contenir les risques liés aux outils numériques professionnels, ainsi que par le développement de capacités préservant l’intérêt et le lien social dans le travail »,souligne Eric Goata.

 

 

Une première solution : la pause !

 

En l’absence de dispositif d’accompagnement, les salariés ont recours spontanément à la pause pour diminuer le stress et se déconnecter du sentiment de submersion lié au flux d’informations.

  • 1 salarié sur 2 s’organise des pauses régulières pendant la journée de travail, en moyenne un peu plus de deux par jour.
  • 45 % déclarent faire une autre activité récréative toutes les 2 heures,
  • 27% se réservent un créneau horaire dédié exclusivement à la gestion de ces informations,
  • 1 salarié sur 4, éteint ponctuellement certains outils ou s’impose des durées précises de consultation de ces dernier,

48 % des salariés déclarent faire des pauses de moins de 10 minutes et parmi ceux-là, 57% de ceux qui sont exposés plus de 6h/jour, 60% travaillant dans des TPE et seulement 39% dans les ETI. Seuls, 11% des managers déclarent faire des pauses de plus de 20 minutes.

« Il serait envisageable de mener des démarches d’accompagnement incitant les salariés à gérer des pauses plus efficaces leur permettant de déconnecter en peu de temps afin de mieux maîtriser la charge mentale liée à l’utilisation des outils numériques. Cet accompagnement peut passer par des sensibilisations visant à transmettre des méthodes ou des outils destinés à retrouver une capacité de ressourcement ou de priorisation, par exemple. Quoiqu’il en soit, mettre à profit ces pauses pour éviter une sensation de fatigue ou de submersion restera une démarche qui impliquera une volonté de la part des salariés » conclut Éric Goata.

 

<FIN>

*étude Eleas Les usages et perceptions des outils numériques dans le cadre professionnel – octobre 2018

 

 

Méthodologie de l’enquête conduite par Opinionway

Enquête réalisée du 16 au 23 octobre 2018 auprès d’un échantillon de 1010 salariés travaillant dans un bureau, tiré d’un échantillon représentatif des salariés français, âgées de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas au regard des critères d’âge, de sexe, de région, de taille d’entreprise, de statut et de secteur d’activité.

 

 

A propos d’Eléas

Fondé en 2001, Eléas est un cabinet conseil spécialiste de la qualité de vie au travail et de la prévention des risques psychosociaux. Basés sur l’approche systémique, les dispositifs mis en œuvre par Eléas mobilisent l’ensemble des acteurs concernés autour des leviers et des forces de l’organisation (Direction générale, Direction des ressources humaines, management, CHSCT, IRP, médecine du travail…).

Eléas propose aux entreprises des démarches d’accompagnement sur-mesure et intervient dans cinq domaines principaux : les études et diagnostics, l’accompagnement des transformations et mutations, les dispositifs d’écoute et de soutien psychologique, la gestion des événements critiques, la formation et le coaching.

L’équipe Eléas est constituée de 20 consultants et d’un réseau national de 160 experts certifiés spécialistes dans différents domaines : prévention des risques psychosociaux, sociologie des organisations, psychologie clinique, management des hommes, pédagogies innovantes, communication, relations et climats sociaux, ergonomie, médecine. Le cabinet intervient auprès de grandes entreprises privées et publiques, d’ETI, de PME, d’associations et de collectivités

Eleas bénéficie d’une habilitation IPRP (Intervenant en Prévention des Risques professionnels), de l’agrément du ministère du travail et d’une qualification OPQF (Office Professionnel de Qualification des Organismes de Formation). Pour plus d’informations : www.eleas.fr

 

Pour rappel, ELEAS a publié en juin 2014 et novembre 2015 deux grandes enquêtes sur les incivilités au travail.

ELEAS a également publié 2 enquêtes sur les usages numériques en entreprise – en octobre 2016 Les usages et perceptions des outils numériques dans le cadre professionnel et en septembre 2017– Les Pratiques numériques des salariés pendant les congés.

Elles sont à télécharger depuis le site www.eleas.fr

 

Contacts Presse – Agence Ozinfos

Tel. : 01 42 85 47 30 – eleas@ozinfos.com – Marie-Céline Terré – 06 09 47 47 45 / Pauline Le Mouellic – 06 27 26 49 64.

Marionnaud – Marionnaud remet un chèque de 100 000 euros à l’association CEW

3 mai – Marionnaud a remis un chèque de 100 000 euros à Françoise Montenay, présidente du Cosmetic Executive Women France. L’association CEW prodigue des soins de beauté aux femmes et aux hommes hospitalisés.

Marionnaud soutient la cause des femmes et des hommes atteints par la maladie à travers un engagement de longue date aux côtés du CEW France. Chaque année a lieu la traditionnelle remise de chèque au profit de l’association. Ce jeudi 27 avril, l’événement s’est déroulé à la Marionnaud Academy Paris. Eileen Yeo, Directrice Générale Marionnaud France, a remis un chèque de 100 000 euros à Françoise Montenay, Présidente des Centres de Beauté CEW France. Une contribution qui fait suite à l’opération caritative de la vente de 600 000 peluches habillées par Zadig & Voltaire dans les boutiques Marionnaud pour les fêtes de fin d’année. Il s’agit du plus beau succès de l’opération depuis sa création.

 

Lire l’article du Journal des Femmes