Ghislaine GEFFROY, nouvelle Directrice Générale de Saemes

Le Conseil d’Administration de Saemes, opérateur majeur du stationnement en Ile-de-France, a nommé sa Directrice Générale, Ghislaine Geffroy. Diplômée de l’École des Ingénieurs de la Ville de Paris et de l’École nationale des Ponts et Chaussées en management public, experte de la mobilité et des infrastructures, elle a pris ses fonctions le 29 mars 2021.

Une carrière au sein de la Ville de Paris

Ghislaine Geffroy a démarré sa carrière professionnelle en 1984 au sein de la Direction de la Voirie de la Ville de Paris. Elle a occupé différents postes d’ingénieurs au sein de cette direction jusqu’en 2001 et a notamment coordonné de grands dossiers en matière de déplacements, d’aménagements, de voirie et de stationnement.

En 2001, elle devient Ingénieure en Chef, responsable de la Mission Tramway au sein du Secrétariat Général de la Ville de Paris.

De 2007 à 2009, en tant que Directrice des Espaces Verts et de l’Environnement (DEVE), elle participe à la mise en place de la politique du développement durable et coordonne la mise en œuvre des actions prévues dans le 1er plan Climat de Paris de 2007.

En 2009, elle devient Directrice Générale de la Voirie et des Déplacements (DVD) en charge de la gestion de l’espace public consacré aux déplacements (voirie et canaux), des carrières souterraines et des parkings souterrains concédés de la Ville de Paris.

Elle poursuit sa carrière à la Ville de Paris, devenant en 2012 Directrice Générale de l’Immobilier, de la Logistique et des Transports (DILT), où elle œuvre à la modernisation de la direction et des méthodes de travail et pilote de grands projets structurants comme l’abandon du diesel et la rationalisation de l’immobilier administratif.

En 2017, elle devient Chargée de l’Économie Circulaire auprès de la Secrétaire Générale coordonnant entre élus et directions concernées les actions menées dans le cadre du 1er Plan d’Économie Circulaire.

Depuis Août 2018, en tant que Directrice Générale du Syndicat Autolib’ Velib’ Métropole, structure intercommunale qui regroupe 105 communes dont Paris, elle assure pour ces dernières la compétence Velib’ et Autolib’.

 Une feuille de route ambitieuse pour Saemes

Dans un contexte de déploiement des mobilités douces et partagées à Paris (vélos, trottinettes électriques, véhicules en auto-partage…) et de baisse de fréquentation automobile depuis plus de 10 ans, Ghislaine Geffroy accompagnera l’entreprise à relever de nouveaux défis : proposer des services toujours plus innovants pour favoriser une meilleure utilisation des parkings, contribuer à la transition écologique en déployant plus de 1000 points de recharge électrique d’ici 2022, accroître les parts de marché de Saemes en Ile-de-France, renforcer l’expertise de l’entreprise dans l’activité voirie et le contrôle du stationnement payant…

 SAEMES EN CHIFFRES

250 collaborateurs
70 parkings en Ile-de-France
30 200 places

de stationnement, gérées

1,8 million

de clients horaires

43,3 M€

Chiffre d’affaires en 2020

 

A propos de Saemes

Saemes, opérateur majeur de stationnement en Ile-de-France, exploite plus de 30 200 places en ouvrage et en voirie et s’inscrit dans une politique d’innovation liée aux nouvelles mobilités urbaines. Saemes est le premier opérateur de stationnement à libérer ses données sur le site d’Opendata (opendata.saemes.fr).

Depuis le 1er janvier 2018, Saemes participe, en tant qu’acteur du contrôle du stationnement payant en voirie, à la mise en œuvre de la réforme de la dépénalisation du stationnement.

En 2019, la société a fêté 40 ans d’expertise dans ses missions de délégation de service public.

https://www.saemes.fr

Contacts média –

Agence Ozinfos – saemes@ozinfos.com

Marie-Céline Terré – 06 09 47 47 45 / Clémentine Venisse – 07 50 43 30 32

ÉTAT PSYCHOLOGIQUE DES SALARIÉS UN AN APRÈS LE DÉBUT DE LA CRISE SANITAIRE

La santé mentale des salariés Français nettement et durablement dégradée après un an de crise Covid-19

6ème vague du baromètre

45% des salariés sont en situation de détresse psychologique (- 5% depuis décembre)

36% des salariés sont en dépression nécessitant un traitement (+ 15% depuis décembre)

62% des – de 29 ans sont en situation de détresse psychologique dont 39% en risque de dépression

49% des télétravailleurs sont en situation de détresse psychologique

53% des femmes sont en situation de détresse psychologique

Paris le 23 mars 2021 – Alors que l’épidémie ne cesse de se propager, que la campagne vaccinale prend du retard et qu’un 3ème confinement vient d’être déclaré par le Gouvernement, Empreinte Humaine (Cabinet spécialiste en prévention des risques psychosociaux et en qualité de vie au travail) publie la 6ème vague de son « Baromètre de la santé psychologique des salariés Français en période de crise » réalisé par OpinionWay. Un an après le début de la crise sanitaire, deux confinements, et plusieurs semaines de couvre-feu plus tard, cette 6ème vague interroge les salariés Français sur leur état psychologique, la crise du sens au travail, la solitude sociale et émotionnelle, l’impact psychosocial du télétravail.

« Ces chiffres sont plus qu’alarmants. Au début de la crise, l’anxiété était liée à la peur du virus en lui-même, c’est devenu aujourd’hui une dégradation de la santé mentale et de ses effets dramatiques. En face de ces peurs, les besoins des salariés sont de plus en plus forts et clairs à l’égard du gouvernement et des entreprises pour agir fortement et différemment de ce qu’elles ont pu faire auparavant. On a constaté pendant un an l’augmentation des risques psychosociaux et paradoxalement on a observé un moindre engagement des comités de direction sur ces sujets. C’est ce que perçoivent les salariés. C’est regrettable.» pointent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

La détresse psychologique des salariés sur une pente glissante vers la dépression

Si la détresse psychologique des salariés français reste importante à 45% (-5 pts par rapport à décembre 2020) dont 20% élevée (=) en revanche le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés explose : il passe de 21% à 36% (+15 pts). La détresse psychologique est de plus en plus visible puisque 63% des salariés déclarent qu’ils voient de plus en plus de gens en détresse psychologique.

« En avril 2020, je parlais déjà de la crise psychologique générée par la COVID-19. Comme souvent avec les risques psychosociaux, la question de la chronicité est centrale. On est passé de 25% de dépression probable à 36%. Le nombre de dépressions sévères a doublé. Les arrêts maladie vont continuer à augmenter très probablement si des actions ne sont pas mises en œuvre » s’inquiète Christophe NGUYEN.

Les managers, les jeunes, les femmes et les télétravailleurs dans la tourmente

Sans surprise, les populations les plus à risque sont les jeunes avec 62% des – de 29 ans en situation de détresse psychologique (dont 39% en risque de dépression), les femmes pointent à 53% et les télétravailleurs à 49%, de situation de détresse psychologique.

Viennent ensuite les managers 48% contre 44% des non-managers. Facteur aggravant pour les premiers,  60% d’entre eux ne se permettent pas de parler de leurs difficultés avant de traiter celles de leurs collaborateurs et 4/10 se sentent isolés en tant que manager.

« Les managers ne se parlent plus, n’ont plus de temps pour échanger sur leurs pratiques de management. La santé psychologique des femmes a été mise à mal lors du premier confinement avec la fermeture des écoles mais on constate que les problèmes de double journée pèsent encore plus fortement sur elle. Ces inégalités continuent à se creuser » commente Jean-Pierre BRUN.

La taille du lieu d’habitation joue un rôle primordial pour la santé mentale

Les salariés habitant dans moins de 40 m 2 sont surexposés à la détresse psychologique (65%), la détresse psychologique culmine à 75% pour les télétravailleurs dans ces surfaces d’habitation.

« La distinction vie professionnelle et personnelle est encore plus difficile lorsqu’on habite de petites superficies c’est évident. Le sentiment de claustration y est par conséquent plus fort pour les télétravailleurs. Permettre à ces salariés de se ressourcer et les protéger psychologiquement est un enjeu de santé publique. Ce sont les mêmes catégories de population qui sont les plus impactées psychologiquement. Toutefois, là où en avril 2020, les plus exposés était ceux en chômage partiel, ce sont aujourd’hui les télétravailleurs les plus en détresse psychologique. La question de la prévention dans les entreprises se pose toujours plus fortement. Le travail ne joue plus son rôle protecteur pour la santé mentale » analyse Christophe NGUYEN.

Que font les salariés pour récupérer psychologiquement ?

A l’heure où les restrictions des activités de loisirs et des distractions sont de plus en plus forte, la récupération psychologique est un défi pour les salariés en particulier pour les télétravailleurs. Ces temps de ressourcement sont fondamentaux pour la santé psychologique surtout quand la qualité du travail devient un facteur de risque psychosocial. Le soir ou le week-end après le travail, 70% des salariés arrivent à se détacher psychologiquement du travail et à vivre des émotions positives, 60% d’entre eux arrivent à faire l’expérience d’activités stimulantes et 80% déclarent qu’ils choisissent d’organiser leur temps libre.

«Quand ces expériences de récupération sont présentes, on note une forte baisse de la détresse psychologique. Il faut vraiment inviter tous les salariés et toutes les entreprises à sanctuariser ces temps de vie, à prendre soin d’eux. Face à l’épuisement, qui peut aussi être lié à un trop grand nombre de visioconférences et à de fortes amplitudes horaires, les entreprises se doivent d’être attentives à la façon dont elles permettent à leurs managers de décrocher et de se ressourcer par des temps de pause et de récupération. Par exemple en arrêtant d’organiser des réunions entre midi et 14 heures, ou en diminuant les circuits de décision dans l’entreprise ; car des process inadéquats peuvent aussi peser. » soulignent Jean-Pierre BRUN et Christophe NGUYEN

Les salariés attendent de vraies actions de prévention de la part des entreprises

70% des salariés considèrent que l’entreprise pourrait faire plus pour protéger la santé psychologique de ses salariés, que le gouvernement devrait plus aider les entreprises à protéger psychologiquement leurs salariés et enfin que beaucoup de choses dans les politiques de qualité de vie au travail annoncées par les entreprises ne sont que de l’affichage.

« Cette crise dévoile au grand jour aux yeux des salariés des démarches de qualité de vie au travail qui doivent changer pour répondre aux nouveaux risques psychosociaux. La demande d’aide du gouvernement envers les entreprises pour traiter la question de la santé mentale au travail espérons-le sera traitée dans le cadre de la prochaine loi Santé au travail » pointe Christophe NGUYEN

Le télétravail en voie de devenir un risque psychosocial au travail

La lassitude du télétravail se confirme puisque 4 salariés sur 10 saturent du télétravail (+10 pts) et que pour 50% le manque de lien social avec les collègues impacte négativement le sens qu’ils donnent à leur travail

« Les salariés font la différence entre le moment que nous vivons et le télétravail en rythme de croisière. Le télétravail ouvre de formidables opportunités. Là où on avait un fort engouement il y a un an pour le 100% télétravail, celui-ci a fortement diminué. Pour une bonne partie des télétravailleurs, il se confirme que l’absence de lien social avec les collègues appauvrit l’expérience du travail qui devient plus monotone. Le sens que l’on donne à son travail est touché, ce qui a des effets délétères sur l’engagement et la santé mentale à longs termes. La question est de regarder si la productivité accrue liée à cette période en télétravail que certaines études identifient ne s’annulent pas par des troubles psychosociaux dans le temps» souligne Christophe NGUYEN.

La charge de travail, les horaires, les abus et le télétravail « gris »

  • 6/10 disent que certains travaillent trop
  • 1/3 déclarent être en sous charge en télétravail
  • ½ déclarent travailler plus tôt et finir plus tard
  • ½ considèrent que certains profitent du télétravail pour ne pas travailler
  • 1/3 des télétravailleurs ont l’impression de ne pas respecter le droit du travail
  • 40% disent ne pas pouvoir faire tout leur travail en télétravail

« Tout comme les décrocheurs scolaires, le distanciel crée des décrocheurs professionnels. Les jeunes recrues apprennent plus difficilement leur nouveau métier car ils ne peuvent plus observer comment se fait le travail. Ainsi après 1 an de télétravail pour certains, il n’est pas possible de recréer tous les repères professionnels que nous avons habituellement (rituels, réseau interne, les horaires de travail, les personnes référentes…). La question du manque de créativité en télétravail est identifiée, souvent ce sont les mêmes idées qui reviennent. »  conclut Jean-Pierre BRUN.

Méthodologie de l’étude :

La 6ème vague du Baromètre « Impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés » OpinionWay pour Empreinte Humaine, a été réalisée en ligne. Le recueil a été fait du 1 au 12 Mars 2021 auprès d’un échantillon de 2004 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.  

La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’être atteintes de troubles mentaux sérieux.  Le questionnaire utilisé pour mesurer la résilience est également un questionnaire validé et qui a fait l’objet de nombreuses publications internationales.

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la santé psychologique et la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

Contacts presse

Agence Ozinfos

Esteban ALGRAIN / Amine MOUSSAOUI

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com

 

 

Empreinte Humaine : Résultats du 6ème baromètre sur la santé psychologique des salariés

Dans le cadre des résultats du 6eme baromètre Empreinte Humaine sur la santé psychologique des salariés, Christophe Nguyen, Président d’Empreinte Humaine et psychologue du travail a été interview pour BFM Business pour évoquer les souffrances des salariés en télétravail

Voici le lien de son intervention ICI (reportage à partir de 30min)

JEANTET CONSEILLE PASSMAN CORP DANS LE CADRE D’UNE PRISE DE PARTICIPATION MAJORITAIRE DANS LE GROUPE TAKTIK

Paris, le 17 mars 2021 – Jeantet a conseillé le créateur de solutions connectées et digitales, Passman Corp dans le cadre de l’acquisition d’une prise de participation majoritaire dans le capital du groupe Belge Taktik, éditeur de logiciels B2B, spécialisée dans les solutions de gestion des médias et dans les solutions destinées au secteur médical.

Créé à Villeurbanne, le Groupe Passman propose depuis plus de 25 ans des solutions connectées et digitales (Wifi, TV, Chromecast, Domotique…) a près de 7000 établissements dans les secteurs de l’hôtellerie, hospitalier et commercial.

Basée sur la commune belge de La Hulpe, développe et commercialise, depuis sa création en 2003, en Europe et aux Etats-Unis, des solutions logicielles entièrement personnalisées tels que Flowr et iCure.

L’équipe de Jeantet était composée de Philippe Martignon (associé), Pascal Georges (counsel), Camille Perodeau et Vianney Birot (collaborateurs) pour les aspects Corporate/M&A, Calixte Glotin (collaborateur) en matière de financement et François-Xavier Simeoni (collaborateur) pour les aspects fiscaux. Le cabinet Dear Krzewinski & Willez était en charge des aspects de droit belge

Les cédants et fondateurs de Taktik (Antonio Di Natale, Antoine Duchateau et Nicolas Spiette) étaient conseillés par le cabinet BDO (Didier Leclercq et Sandrine Paraire)

À propos de Jeantet

Jeantet est l’un des principaux cabinets d’avocats d’affaires français indépendants, délivrant des services personnalisés et à forte valeur ajoutée, avec un attachement à l’éthique et aux valeurs humaines.

Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux.

Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients.

Jeantet à Paris, Casablanca, Genève, Budapest, Kiev et Moscou compte plus de 120 avocats dont 30 associés.

 

Contact presse 

  • OZINFOS : Marie-Céline Terré /Esteban Algrain – Tél : 07 72 21 56 48 – jeantet@ozinfos.com

 

Jeantet conseille Thoma Bravo dans le cadre de son projet d’OPA visant les titres de la société Talend

Paris, le 16 mars 2021, Jeantet est intervenu comme conseil de Thoma Bravo, fonds de private equity de premier plan spécialisé dans les éditeurs de logiciels et les entreprises de services technologiques, dans le cadre de la conclusion d’un « Memorandum of Understanding » portant sur l’acquisition potentielle par Thoma Bravo de 100% du capital de Talend, société française cotée sur le marché Nasdaq aux Etats-Unis spécialisée dans l’intégration et l’intégrité des données.

L’acquisition serait réalisée par voie d’offre publique d’achat en numéraire portant sur les actions ordinaires et les American Depositary Shares de Talend au prix de 66 dollars par action ordinaire et par American Depositary Share.

Cette offre valorise Talend à environ 2,4 milliards de dollars.

 

Jeantet (conseil juridique de Thoma Bravo sur certains aspects de droit français de l’opération) : Cyril Deniaud, associé, et Benjamin Cohu, collaborateur (Pôle Corporate / Droit boursier), Stephen Walters, associé, et Victoria Regis, collaboratrice (Pôle Corporate / M&A), Nicolas Mancret, associé, et Eva Kopelman, counsel (Pôle Droit Social) ainsi que Frédéric Sardain, associé, et Sophie Boinnot, collaboratrice (Pôle IP/IT).

Thoma Bravo était également conseillé par Kirkland & Ellis (avec, à Paris, Vincent Ponsonnaille et Louis Gosset) ainsi que par le cabinet Houthoff (pour les aspects de droit néerlandais).

Talend était conseillé par les cabinets Gide (sur les aspects de droit français), Wilson Sonsini Goodrich & Rosati, P.C. (sur les aspects de droit américain) et Loyens & Loeff (sur les aspects de droit néerlandais).

À propos de Jeantet

 

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Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux.

Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients.

Jeantet à Paris, Casablanca, Genève, Budapest, Kiev et Moscou compte plus de 120 avocats dont 30 associés.

 

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  • OZINFOS : Marie-Céline Terré/Esteban ALGRAIN- Tél : 07 72 21 56 48 – jeantet@ozinfos.com