Anthony Brice, assembleur de la chaîne de formation

À la tête de cinq entreprises, Anthony Brice, 32 ans, est devenu un acteur qui compte dans l’univers de la formation. Prochain projet de cet autodidacte au dynamisme communicatif : l’ouverture d’un CFA, en janvier 2022.

Inffo Formation lui consacre sa page Itinéraire / Portrait.

A lire : inffo-formation-1022-15-au-31-dcembre-2021-portrait-AB

Covid: les entreprises font des économies sur les postes de travail

Accueillir un salarié coûte de moins en moins cher aux entreprises. L’an dernier, déjà, le coût d’un poste de travail hors salaires avait chuté de 23% par rapport à 2019, à 10.246 euros par an contre 13.391 euros , selon une étude publiée par l’Arseg (Association des directeurs de l’environnement de travail). Et la tendance s’est confirmée en 2021.

A lire ICI

Les entreprises délaissent les banlieues pour les centre-villes

La crise sanitaire ayant vidé les bureaux d’une bonne partie de leurs occupants, les coûts liés à l’exploitation de ces surfaces sont en net recul, selon la toute dernière étude de l’Arseg, l’Association des directeurs de l’environnement de travail. Les montants investis globalement dans l’environnement de travail sont en 2021 de 584 euros par mètre carré. C’est une baisse de 26% par rapport à 2019, avant la crise.

A écouter ICI

Harcèlement dans la fonction publique : des moyens pour le combattre

Le harcèlement moral dans la fonction publique peut prendre des formes insidieuses qui tiennent au statut et à la stabilité des agents en fonction. Pour Gilles Riou, psychologue et fondateur du cabinet Egidio, spécialisé dans les enquêtes sur le harcèlement, que RCL a interviewé, pour le combattre, il existe des méthodes préventives mais également des traitements.

Explications à lire ICI

Simi : 12 organisations rejoignent l’Alliance immobilière pour la convergence numérique

12 organisations professionnelles de l’immobilier d’entreprise et de l’environnement de travail (dont l’Arseg), ont signé hier au Simi, un accord en vue de mettre en place l’Alliance immobilière pour la convergence numérique. Partageant des objectifs communs, les signataires s’engagent à échanger des informations au sein de l’industrie immobilière.

A lire ICI

Le coût d’un poste de travail s’effondre … et c’est peut-être durable.

Combien coûte un poste de travail ? Une association professionnelle a fait le calcul. Et grâce à la pandémie, les entreprises ont fait beaucoup d’économies. Cette association professionnelle c’est l’Arseg qui réunit les Directeurs de l’Environnement de travail, les DET, ceux qui s’occupent des “services généraux”.

Présentation des résultats des Buzzy Ratios 2021.

A écouter ICI

 

Conséquence directe de la pandémie et du télétravail, le coût d’un poste de travail en entreprise est en chute en 2020

Paris le 9 décembre 2021 – L’Association des Directeurs de l’Environnement de Travail (ARSEG) publie ce jour les résultats des « Buzzy Ratios 2021 » (exercice 2020), son étude de benchmark analysant le coût de l’Environnement de Travail en entreprise tertiaire. L’impact de la pandémie se fait sentir à presque tous les niveaux, de l’immobilier à la masse salariale en passant par l’exploitation technique et fonctionnelle, les moyens et équipements et les services aux collaborateurs. Concernant la première année de la pandémie, les mesures sanitaires se traduisent ainsi de façon significative sur le coût d’un poste de travail par salarié, ce dernier s’établissant en moyenne à 10 246 euros par salarié, chutant de 23% par rapport à 2019 (13 391 euros).

 « Forte de ces enseignements édifiants, pour garantir la performance future des entreprises, la filière de l’’Environnement de Travail devra faire des choix, réinventer des métiers et forger des nouveaux modèles agiles, innovants et durables. Rien de cela ne sera possible sans la pleine compréhension de cette crise, de ses ruptures et des opportunités qui se dessinent pour une filière qui a toujours su s’adapter avec succès aux transformations de l’entreprise, de l’économie et de la société française » indique Latifa HAKKOU, présidente de l’ARSEG

Les services aux collaborateurs en baisse

Pendant des mois, les bâtiments ont été vidés de leurs occupants, et le télétravail est devenu une activité professionnelle massifiée dans la plupart des entreprises tertiaires de l’Hexagone. Dans cette filière dont le modèle s’axe principalement sur la présence au bureau, les confinements et les périodes d’activité partielle ont eu pour conséquence la chute des coûts variables de l’Environnement de Travail. On pense notamment aux services aux collaborateurs, qui ont connu une baisse de l’ordre de 32 % par poste de travail en raison de la réduction du volume de prestations destinées aux occupants (ex. la restauration d’entreprise). Dans le domaine de l’exploitation, la réduction de 16 % par poste de travail s’attribue principalement à la baisse du niveau de certaines prestations (ex. la sécurité-sûreté) et à la réduction des consommations énergétiques pendant les périodes d’occupation faibles.

L’immobilier stable (pour l’instant)

Sans surprise, les coûts les plus stables en 2020 étaient décorrélés de l’activité des sites au 1er rang desquels les charges liées aux bâtiments (loyers, assurances et taxes), qui ont connu une baisse légère de l’ordre de 2,9 % par poste de travail. Si l’immobilier est le premier poste de coûts du budget, il est marqué par une baisse presque constante du taux d’occupation depuis 2016, avec en parallèle un taux de salariés en télétravail qui a augmenté avec le temps.

Dans l’avenir proche, ces tendances pourraient s’accélérer : d’après un sondage réalisé en 2021 par le cabinet de conseil Génie des Lieux, plus de 68 % des salariés consultés souhaitaient que leurs entreprises évoluent en fonction des enseignements tirés du confinement et de la crise sanitaire. Parmi les attentes évoquées, 42 % souhaitaient une meilleure prise en compte de l’hybridation des modes et des espaces de travail. Pour une filière qui a dédié en 2020 presque 70 % de son budget aux coûts immobiliers, l’hybridation du travail est une nouvelle piste à travailler pour optimiser les surfaces tout en proposant des modes de travail plus adaptés aux besoins et envies des collaborateurs.

D’autres coûts stables sont ceux liés à l’entretien et à la maintenance des établissements qui ont pour leur part baissé de 3,4 % et 1,3 % par poste de travail.

Méthodologie de l’étude :

L’édition 2021 des « Buzzy Ratios » de l’ARSEG, a été réalisée en ligne auprès des entreprises adhérentes de l’ARSEG. Le recueil a été fait d’avril à août 2021 auprès d’un panel de 110 établissements (dont 56% hors ile de France) représentant près de 100 000 postes de travail.

Résultats détaillés de l’étude sur demande auprès du service de presse

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’Environnement de Travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels. A ce titre, elle a la légitimité à prendre part à tous les débats liés au travail : santé et bien-être des salariés, nouvelles organisations des espaces de travail, rapport au numérique, mobilité, aménagement du territoire, sécurité, etc.

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

Contact presse

Amine Moussaoui

06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

 

 

Les professionnels de l’immobilier d’entreprise et de l’environnement de travail s’inscrivent dans l’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique

IMMOBILIER D’ENTREPRISE

 

Paris le 8 décembre 2021 – A l’occasion du SIMI (Salon de l’immobilier d’entreprise de Paris), 12 associations professionnelles signent un accord en vue de mettre en place l’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique.

Les signataires partagent des objectifs communs sur les échanges d’informations au sein de l’industrie immobilière. Afin de mieux satisfaire les attentes de l’utilisateur final et pour répondre aux enjeux de plus en plus globaux (ESG, flexilité des usages, etc…), ils se proposent de mettre en place une concertation structurée dans l’objectif de définir une liste de données et de méta données permettant l’élaboration d’un référentiel tout à la fois clair, logique, précis et évolutif. Dans le cadre de leurs discussions, les signataires ont souhaité se regrouper en vue d’atteindre cet objectif, objet de la présente convention de partenariat et de se réunir en sous l’égide de l’«Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique ».

L’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique, qu’est-ce que c’est ?

L’Alliance Immobilière pour la Convergence Numérique, devra permettre à ses signataires de travailler ensemble de manière collaborative afin de répondre aux besoins identifiés des différents acteurs de l’immobilier en matière de transmission des informations devant permettre de déterminer la solution pour fluidifier, fiabiliser les échanges, valoriser les flux de transmission entre les acteurs, le tout de manière pérenne, de gagner en efficacité opérationnelle pour l’ensemble des acteurs de la chaîne immobilière, maîtriser la donnée et son traitement et enfin travailler et réfléchir dans un esprit «Inter-métiers », vecteur d’une création de valeur mesurable.

Les organisations signataires de l’Alliance

Csongor Csukas, Président de l’APROMA (Association des Property Managers) est à l’origine de cette convention de partenariat, réunissant :

  • ADI, Association des Directeurs Immobiliers
  • APROMA, Association des Property Managers
  • ARSEG, Association Nationale des Directeurs de l’Environnement de Travail
  • ASPIM, Association Française des Sociétés de Placement Immobilier
  • BUILDING SMART FRANCE, Association des acteurs du BIM en France
  • FIDJI, Association Professionnelle Immobilière FIDJI
  • FSIF, Fédération des Sociétés Immobilières et Foncières
  • FPI FRANCE, Fédération des Promoteurs Immobiliers de France
  • RICS France, Royal Institute Chartered Surveyors
  • SBA, Smart Buildings Alliance for Smart Cities
  • SYPEMI, Syndicat des professionnels du Facility Management
  • ULI, Urban Land Institute
 

 

Contact presse

Amine Moussaoui

06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.cm

 

Lancement officiel de l’AICN :

Palais des congrès| niveau 2 – salle 252 B – 08/12/2021 – 11:30/12:30  Inscription : ICI

 

Avec la crise sanitaire, faut-il s’inquiéter de la santé mentale des salariés ?

Les professionnels de la santé au travail tirent la sonnette d’alarme : la crise sanitaire et le recours au télétravail entraînent une détérioration de la santé mentale des salariés. A l’occasion du salon Preventica, le 1er décembre à Paris,  François Cochet, président de la FIRPS, la fédération des intervenants en risques psychosociaux répondait aux questions d’Actuel CSE. Quel constat peut-on dresser de la situation en matière de santé au travail ? Le dialogue social dans les entreprises traite-t-il ces risques ? Les tensions salariales ont-elles un lien avec les conditions de travail ? Que peuvent faire les élus, alors qu’approche le renouvellement des CSE ?

Voici, en vidéo, ses réponses et ses conseils ICI

Le cabinet Egidio milite pour une professionnalisation du traitement des enquêtes en cas de harcèlement au travail

La Cour de cassation a consacré l’obligation pour les employeurs, de diligenter des enquêtes lorsque des cas de harcèlement sont mis en lumière. Si cette astreinte constitue une avancée notable, elle pose néanmoins quelques questions opérationnelles. Qui ? Quoi ? Quand ? Comment ? Les prérogatives de l’entreprise sont cantonnées au pouvoir de subordination de l’employeur et témoignent d’une réglementation lacunaire et d’une nécessaire professionnalisation des enquêtes harcèlement.

« L’actualité récente le démontre, il est essentiel de bien articuler les rôles de chacun entre psychologue enquêteur et avocat sur le sujet de harcèlement afin de permettre une structuration plus lisible et plus professionnelle des enquêtes harcèlement » déclare Gilles Riou, président fondateur du cabinet Egidio.

Une obligation d’enquête

Quand un cas de harcèlement est porté à la connaissance de l’employeur, ce dernier a l’obligation légale de mener une enquête. L’absence d’enquête constitue une violation par l’employeur de son obligation de prévention des risques professionnels (Cour cassation 27 novembre 2019).

Néanmoins, rien n’indique pour l’heure qui doit mener cette enquête, ni dans quelles dispositions. Cette lacune juridique nuit au bon déroulé de l’enquête. L’employeur ne disposant pas d’un pouvoir de police, ses prérogatives d’enquête sont limitées. De même, une enquête menée par l’employeur pose la question des conflits d’intérêt au sein de l’organisation et du recul suffisant pour apprécier les comportements déviants.

Une nécessaire professionnalisation

Une enquête harcèlement implique implicitement l’ensemble de l’entreprise, bien au-delà des deux parties (accusé et accusateur). Dans une période marquée par la défiance dans les institutions et la parole publique, toute enquête est scrutée. Sa qualité et son intégrité sont des gages de la confiance que les salariés peuvent placer dans leur entreprise. Il est ainsi indispensable d’adopter une démarche indépendante, transparente et éthique impliquant le CSE dans un accord de méthode.

La complémentarité au cœur du processus d’enquête

Le harcèlement étant un comportement déviant pris dans une dynamique collective complexe, il importe autant de le qualifier que d’en élucider les causes pour empêcher sa réminiscence. C’est pour répondre cet impératif que l’avocat et le psychologue enquêteur doivent travailler de concert, chacun apportant son expertise dans la qualification et l’élucidation des faits.

Le psychologue est le spécialiste des comportements individuels et collectifs : de leur identification, de leur analyse, de leur mise en évidence et de l’évaluation de leurs conséquences psychiques.  L’avocat est le spécialiste de leur qualification juridique.

Une articulation pertinente

Dans cette optique, Egidio, spécialiste des enquête harcèlement, milite pour une méthode rigoureuse et opposable, fondée sur l’indépendance du psychologue enquêteur, la pertinence des entretiens et la faculté à modéliser les comportements déviants en complément de l’action des cabinets d’avocats sur ces sujets.

A propos de EGIDIO

Créée en septembre 2020 par Gilles Riou, psychologue du travail et expert de la prévention des RPS, EGIDIO est le premier cabinet de psychologues qui se spécialise sur les enquêtes harcèlement moral. Il a développé une méthodologie fiable et spécifique d’enquête interne permettant aux mandataires sociaux d’objectiver un signalement pour harcèlement. Ce positionnement permet de s’adresser directement aux DG et DRH du fait de l’importance institutionnelle que revêtent ces investigations. Egidio accompagne en direct ou avec leurs avocats, les grands groupes afin sécuriser leur démarche « enquête harcèlement ». Plus sur www.egidio.eu

Contacts médias / Agence Ozinfos

Robin Barbacetto – 06 27 26 49 65 – Amine Moussaoui – 06 27 26 49 64 –  egidio@ozinfos.com

 

Gouvernance : La FIRPS accueille 3 nouveaux cabinets dans son conseil d’administration et le féminise.

À la suite de l’Assemblée Générale de la Fédération, qui s’est tenue le 25 novembre 2021, la gouvernance de la FIRPS a évolué. La Fédération a renouvelé son conseil d’administration qui compte avec 6 nouveaux membres désormais 11 administrateurs dont 5 nouvellement élus parmi lesquels, 3 femmes. Les administrateurs nouvellement élus sont : Monsieur Kevin AUDUREAU (USIDE), Madame Célia KUSTER (EKILIBRE), Monsieur Camy PUECH (QUALISOCIAL), Monsieur Hervé RABEC (ELÉAS), Madame Isabelle TARTY (IAPR), Madame Brigitte VAUDOLON (BE POSITIVE). Demeurent administrateurs : M. Emmanuel CHARLOT (STIMULUS), M. François COCHET (SECAFI), M. Jean-Luc ODEYER (GROUPE JLO), M. Christian MAINGUY (WPO), et M. Alexis PESCHARD – (GAE conseil)

Le nouveau conseil d’administration a élu le 30 novembre un nouveau bureau :

M. François COCHET (SECAFI) demeure Président de la Fédération, Mme. Isabelle TARTY (IAPR) est élue Vice-Présidente aux côtés de M. Jean- Luc ODEYER (GROUPE JLO). M. Emmanuel CHARLOT (STIMULUS) devient Trésorier et M. Christian MAINGUY (WPO) devient Secrétaire-Général.

« Après deux années de crise sanitaire et de bouleversement des modes d’organisation du travail, jamais la santé des salariés au travail n’a autant été au cœur des préoccupations des entreprises et des pouvoirs publics. La FIRPS se félicite de la mise en lumière sans précédent de ces enjeux et compte poursuivre avec cette nouvelle équipe sa contribution au débat public », souligne François Cochet Président de la FIRPS.

Biographie des nouveaux administrateurs

  • Célia KUSTER – Cofondatrice et associée du cabinet EKILIBRE CONSEIL, administratrice de la Firps. Consultante et formatrice, Célia KUSTER intervient depuis 13 ans en pilotage de projet et depuis 10 ans dans le conseil RH, notamment en prévention des RPS et risques éthiques, en analyse des conditions de travail, en amélioration de la qualité de vie au travail et en conduite du changement
  • Isabelle TARTY – Responsable des partenariats à l’IAPR – gestion des RPS – Sociologue du travail et médiatrice des conflits en entreprise Vice-Présidente de la Firps. Isabelle Tarty développe une approche neutre et objective et étudie les problématiques rencontrées au sein des entreprises en matière de risques psychosociaux afin d’apporter des solutions adaptées de prévention primaire, secondaire et tertiaire à chaque organisation. Membre du Comité Scientifique de l’IAPR. Membre du jury de l’IFM, certificat de niveau 7 « Médiation dans les organisations ».
  • Brigitte VAUDOLON – Directrice Générale de BE POSITIVE, administratrice de la Firps. Psychologue clinicienne, coach, consultante spécialisée dans l’amélioration du bien-être au travail depuis plus de 20 ans. Auteure de : « Mieux vivre en entreprise » (Dunod 2010) et « La résilience, ça se cultive au quotidien » (Mango 2019).
  • Camy PUECH – PDG de QUALISOCIAL, administrateur de la Firps. Diplômé de ESCP Business School, Camy Puech découvre l’importance de la santé mentale dans la performance humaine après une première expérience dans l’assurance. Il oriente alors son mémoire de fin d’étude sur l’impact économique du bien-être au travail en 2008 et part à la rencontre de DRH pour évoquer le sujet. C’est en 2009 que l’aventure démarre réellement lorsque plusieurs entreprises le recontactent pour lui confier leur projet de prévention des risques psychosociaux.
  • Kevin AUDUREAU – responsable de l’équipe QVT de USIDE. Administrateur de la Firps. Psychosociologue de formation, Kévin est expert en prévention des RPS et accompagne depuis 15 ans les entreprises sur ces sujets. Après avoir réalisé des travaux de recherche pour le compte des Laboratoires Parisiens de Psychologie Sociale et du CNRS, Kévin a intégré des conseils spécialisés en RPS (diagnostic, formation, gestion de crise). Kévin est l’actuel responsable de l’équipe QVT de USIDE.
  • Hervé  RABEC – directeur du Groupe SEST-ELEAS, administrateur de la Firps. Hervé Rabec est directeur d’Eléas,  un cabinet conseil, spécialiste du développement de la QVT et de la prévention des RPS. Éléas fait partie du groupe SEST depuis 2017. Améliorer la qualité de vie au travail nécessite d’identifier et de mobiliser toutes les ressources de l’organisation, en portant attention aux personnes. C’est aussi être capable de traiter les difficultés et de se placer dans une logique de co-construction. C’est aussi un réseau de consultants pluridisciplinaires, experts dans leur domaine, partageant nos convictions (psychologues, formateurs, coachs, ergonomes, sociologues et managers)

<fin>

À propos de la FIRPS

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), créée en 2011 et présidée par François Cochet, (groupe SECAFI), compte 20 acteurs, significatifs et reconnus, spécialistes de la prévention des RPS et du management de la QVT, réunis autour du partage de valeurs fortes pour l’exercice de leur métier. Elle s’est dotée dès sa création d’un code de déontologie qui régit un mode d’exercice de ses membres dans le respect d’une éthique commune. Elle a depuis 2016, publié une série de travaux visant à promouvoir des bonnes pratiques au sein d’une profession encore jeune. Ces travaux destinés en priorité aux professionnels en entreprise ou en cabinet, abordent des questions présentes à l’agenda des DRH : la question du suicide au travail, la prévention des RPS lors des restructurations, la déontologie dans la pratique de l’assistance psychologique à distance. Elle prend également part au débat public par la publication de manifestes : Six propositions pour faire de la santé au travail un enjeu national, propositions pour la mission Santé au travail ». Tous sont accessibles en téléchargement gratuit sur le site de la FIRPS – www.firps.org – @firps_org

20 Cabinets membres de la FIRPS au 1er novembre 2021

ABSILIA, ACTEMS CONSEIL, AXIS MUNDI, BELLEDONNE RH, BE POSITIVE, ÉKILIBRE CONSEIL, ÉLÉAS, GAE CONSEIL, IAPR, ICAS FRANCE, INC, ISAST, GROUPE JLO, MOODWORK, QUALISOCIAL, SANTÉ PARTNERS, SECAFI, STIMULUS, USIDE et WORKPLACE OPTIONS.

 

Contacts médias

Agence Ozinfos : Marie-Céline Terré / Robinson Lebrun

Tél : 06 09 47 47 45 / 06 75 08 15 53 – firps@ozinfos.com