Jeantet annonce la cooptation de Laetitia Ternisien et Pascal Georges au rang d’associé.
Month: juillet 2021
Jeantet nomme deux nouveaux associés: Laeticia Ternisien et Pascal Georges
Paris, 13 juillet 2021 – Jeantet a le plaisir d’annoncer la cooptation de deux nouveaux associés. Ces promotions s’effectuent dans un contexte de croissance continue du cabinet et confirment sa stratégie de développement interne tout en respectant son engagement pour la parité. Laetitia Ternisien et Pascal Georges rejoignent ainsi à partir du 1er janvier 2022 les 30 autres associés.
Laetitia Ternisien, 42 ans, accompagne depuis plus de quinze ans une clientèle française et internationale sur leurs enjeux de droit social et plus spécifiquement dans la gestion des projets de réorganisation et de restructuration des sociétés tant in bonis qu’en procédures collectives. Laetitia a rejoint Jeantet en 2015 en tant que Of Counsel. Elle dispose d’une expertise étendue sur tous les aspects du droit social tant en conseil qu’en contentieux. Laetitia est diplômée d’un DESS de Droit et Pratique des Relations de Travail et d’une Maîtrise de Droit privé (Université Paris II – Panthéon – Assas)
Pascal Georges, 41 ans, intervient depuis près de dix ans auprès de fonds d’investissement lors de leurs investissements dans des sociétés françaises, dans le cadre d’opérations avec effet de levier (LBO). Avant de rejoindre Jeantet en 2012 au sein de l’équipe de Philippe Matignon pour développer le pôle Private Equity, Pascal a travaillé plusieurs années dans le département M&A d’un cabinet français réputé. Pascal assiste également des managers et dirigeants à l’occasion de la négociation ou de la structuration d’accords d’investissement ou des entreprises dans le cadre d’opérations de venture capital ou de capital-développement. Pascal est diplômé d’un Master Droit des Affaires Internationales et Management de l’ESSEC et d’un DESS de Droit du commerce extérieur de l’Université Paris I – Panthéon-Sorbonne.
Pour Karl Hepp de Sevelinges, co-managing partner : « Ces deux cooptations sont un véritable vecteur de croissance pour Jeantet. Avec l’élargissement de notre collège d’associés après quelques recrutements latéraux récents, Jeantet affirme son ambition de donner des perspectives réelles d’association à ses collaborateurs.»
À propos de Jeantet
Jeantet est l’un des principaux cabinets d’avocats d’affaires français indépendants, délivrant des services personnalisés et à forte valeur ajoutée, avec un attachement à l’éthique et aux valeurs humaines. Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux. Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients. Jeantet à Paris, Casablanca, Genève, Budapest, Kiev et Moscou compte plus de 150 avocats dont 32 associés. www.jeantet.fr Jeantet – avocats |
Contact presse JEANTET Charlotte VERILHAC Responsable communication Tel. +33 (0)1 45 05 80 05 cverilhac@jeantet.fr
OZINFOS Marie-Céline TERRÉ Tel. 06 27 26 49 65 Esteban ALGRAIN 07 72 21 56 48
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Le casse-tête des congés payés
La fin de l’état d’urgence et la reprise de l’activité font craindre des tensions entre employeurs et salariés. Les premiers, en exigeant de leurs salariés qu’ils soient présents dans l’entreprise pour faire face à la reprise, les seconds, en posant des congés après des semaines de confinement et de restrictions de déplacement.
Pas de nuages en vue sur l’été 2021. « La fixation des congés payés se passe plutôt bien. Il peut y avoir des frictions, mais la fixation des jours de congé est, en général, consensuelle », estime déclare Laëtitia Ternisien, avocate au sein du cabinet Jeantet. Et ce, même avec la loi n° 2021-689 du 31 mai relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire qui prévoit l’instauration d’une période transitoire allant du 2 juin au 30 septembre 2021, pendant laquelle l’application de certaines mesures d’urgence notamment en matière de congés payés est maintenue. Sous réserve d’un accord d’entreprise ou de branche, l’employeur peut, en effet, de manière exceptionnelle imposer la prise de congés payés ou modifier les dates d’un congé déjà posé, dans la limite de huit jours ouvrables (au lieu de six jours), en respectant un préavis d’au moins un jour franc (au lieu d’un mois ou du délai prévu par un accord collectif). « Je n’imagine pas un employeur modifier les jours de congé posés par un salarié, même si l’entreprise doit faire face à une commande importante. Non seulement la reprise a été anticipée, mais ce serait très compliqué, sur le plan humain, de refuser ou modifier des congés. Les employés présentent une grande fatigue morale et une lassitude à la suite des contraintes imposées par la crise sanitaire », ajoute l’avocate spécialisée en droit du travail.
Les nouveaux codes du commerce
L’éditorial
Cette semaine, LSA met à l’honneur dix nouveaux concepts de magasins. Ils démontrent que le point de vente n’est pas mort. Pour s’en convaincre, il suffit d’arpenter Pharmabest Carré Opéra, à Paris.
Cet exemple, parmi d’autres, est un condensé de bonnes idées et permet d’égrener quelques préceptes des nouveaux codes du commerce.
1/ Favoriser le plaisir d’achat.
Une verrière baigne de lumière naturelle cette officine aux airs de concept store. Dans un parcours fluide, le client doit se sentir bien pour une expérience d’achat réussie.
2/ Différencier son offre.
Des pépites repérées notamment sur les réseaux sociaux complètent l’offre habituelle. En raison de l’hyperchoix de l’e-commerce, le magasin doit plus que jamais se différencier par des exclusivités, des originalités, du local, de l’écoconception, etc.
3/ Élargir son territoire.
Pour une pharmacie, les rayons maquillage et soins pour hommes sont particulièrement développés. Sortir de son métier de base permet de développer son CA et d’attirer de nouveaux consommateurs.
4/ Suivre les tendances.
La pharmacie propose quelques références en vrac et les clients découvrent de quoi fabriquer leurs cosmétiques. Cette demande est là, il faut y répondre.
6/ Permettre d’essayer les produits.
Des espaces incitent à tester les produits. Le magasin, c’est le lieu où l’on touche, où l’on essaye….
7/ Créer des lieux événementiels.
Un beauty bar au rayon maquillage, un espace pop-up pour les produits du moment : tout doit être fait pour surprendre et inciter à la flânerie.
8/ Multiplier les animations.
Un fauteuil de coiffeur et une cabine de soins permettent aux marques de réaliser des animations. Un lieu de vie se doit d’être animé.
9/ Acquérir de nouvelles compétences.
Un nutritionniste réalise des consultations et un orthopédiste donne des conseils dans un salon dédié. Un bon moyen de valoriser son expertise et une nouvelle preuve que l’humain (les vendeurs, les caissiers…) fera la différence.
10/ Donner une image de modernité.
Une cabine de téléconsultation médicale est à disposition. Il s’agit d’aller encore plus loin dans sa «promesse de marque».
11/ Protéger l’environnement.
Une zone de collecte permet aux patients de déposer les déchets médicaux. Ils peuvent aussi y laisser leurs emballages cosmétiques. Impossible de ne pas proposer de telles solutions : la RSE doit être visible.
12/ Digitaliser le point de vente.
Des bornes de gestion des files d’attente ou de consultation des prix sont installées à chaque étage. Et des casiers permettent de récupérer le click & collect. Le digital est devenu un allié du magasin face à la montée en puissance de l’e-commerce. 13/ Concrétiser des idées simples. Si le client veut faire ses achats seul, il prend un panier noir. S’il veut du conseil, il en prend un rouge.
Simple, efficace. C’est ça aussi, le commerce !
Voilà donc les nouveaux codes du commerce. Un mélange d’investissements et de bon sens, de physique et de digital, de travail sur l’offre et sur les services, d’automatisation et de contacts humains. Le tout étant une question de dosage ou de parti pris.
McDonald’s, Lactalis, Bigard, Adrexo, Leroy Merlin, Generali, Altrad, Euro Disney… 44 entreprises toujours hors la loi ?
Le CCFD-Terre Solidaire et Sherpa publient aujourd’hui la troisième édition du “Radar du devoir de vigilance”. Selon les recherches menées par les deux associations, au moins 263 entreprises seraient soumises à cette loi visant à prévenir et réparer les violations aux droits humains et à l’environnement commises à l’étranger par des entreprises françaises. Notre étude recense 6 entreprises ayant fait l’objet de mises en demeure ou d’assignations en justice, ainsi que 44 entreprises qui n’auraient toujours pas publié le plan de vigilance exigé par la loi.
Une loi contre l’impunité des multinationales
Depuis le 27 mars 2017, la loi sur le devoir de vigilance impose une obligation de vigilance aux entreprises comptant plus de 5.000 salarié.es en France ou plus de 10.000 salarié.es dans le monde.
Cette loi vise à prévenir les atteintes graves envers les droits humains et l’environnement qui résultent des activités des grandes entreprises françaises, y compris via leurs filiales, fournisseurs ou sous-traitants établis de par le monde. Cette loi se fonde sur deux obligations : une obligation de comportement vigilant, d’une part, et une obligation de transparence, d’autre part, par la publication d’un plan de vigilance.
Un outil, le radar du devoir de vigilance
Comme démontré en juin 2019 et 2020, lors des précédentes éditions de ce “radar du devoir de vigilance”, en raison de l’absence de suivi de cette loi et de l’opacité dont profitent pleinement certaines entreprises, il est impossible pour les citoyen.nes d’identifier de manière exhaustive les entreprises soumises à cette obligation.
Compte tenu des enjeux, le CCFD-Terre Solidaire et Sherpa ont créé un outil accessible en ligne, plan-vigilance.org, afin de servir de vigie citoyenne pour garantir l’accès à l’information à propos de la mise en œuvre de cette loi.
Cette édition 2021 du radar du devoir de vigilance révèle que :
- Au moins 263 entreprises seraient soumises à cette obligation de vigilance
- 6 entreprises ont été assignées en justice ou ont fait l’objet de mises en demeure par des associations et/ou des syndicats
- 44 entreprises n’ont toujours pas publié de plan de vigilance, en dépit des relances par courrier effectuées par le CCFD-Terre Solidaire, Sherpa et Amnesty International France au cours des derniers mois. Parmi ces entreprises, McDonald’s, Lactalis, Bigard, Adrexo, Leroy Merlin, Generali, Altrad, Euro Disney. Les associations publient dans un rapport les explications avancées par certaines de ces entreprises pour justifier leur absence de plan.
Une législation à appliquer et à étendre
A l’heure où le devoir de vigilance est en voie d’être étendu au niveau européen, ces écueils dans l’application de la législation française (seuils d’application trop élevés, absence d’accès à l’information etc.) doivent être corrigés. Surtout, la nouvelle législation européenne devrait faciliter les actions en justice contre les entreprises qui manquent à leurs obligations.
Pour Swann Bommier, chargé de plaidoyer pour la régulation des entreprises multinationales au CCFD-Terre Solidaire
“Cette troisième édition du radar du devoir de vigilance révèle l’apathie et le manque de volonté criante du gouvernement et des parlementaires de la majorité à assurer le contrôle et la mise en oeuvre de cette loi : voilà quatre ans qu’aucune liste des entreprises soumises à cette loi n’a été publiée, et que les manquements à la publication d’un plan de vigilance restent impunis.
Plus inquiétant, c’est également la mise en oeuvre effective de la loi sur le terrain qui ne semble pas non plus préoccuper Bercy : l’entreprise EDF, contrôlée par l’Etat via l’Agence des participations de l’Etat, est impliquée dans des violations des droits humains au Mexique, sans que les pouvoirs publics ne réagissent”.
En juin 2020, le CCFD-Terre Solidaire et Sherpa proposaient de conditionner les aides d’Etat du plan de relance au respect de cette simple obligation de transparence. Une idée portée par divers parlementaires dans l’hémicycle, rejetée par le gouvernement et la majorité parlementaire.
Pour Lucie Chatelain, juriste à Sherpa
“On le voit dans les réponses des entreprises à nos courriers : certaines ne prennent pas au sérieux leur devoir de vigilance, qu’elles voient comme une simple formalité administrative qu’elles peuvent appliquer à leur guise. Le législateur européen doit absolument exclure cette logique, en renforçant les mécanismes de responsabilité en cas de dommage et en facilitant l’accès à la justice pour les victimes”.
Note aux rédactions
Notre rapport présentant toutes les affaires en cours
Le rapport du CCFD-Terre Solidaire, ECCHR et ProDESC concernant l’implication de l’Etat français dans les violations aux droits humains au Mexique dans le cadre d’un projet d’EDF, dans l’indifférence des pouvoirs publics français : lien
Contacts :
CCFD-Terre Solidaire : Sophie Rebours – Tel : 07 61 37 38 65 – s.rebours@ccfd-terresolidaire.org
Ozinfos : Amine Moussaoui – Tel : 06 27 26 49 64 – ccfd@ozinfos.com
Devoir de vigilance des multinationales : une enquête montre l’opacité et la faible application de la loi
Impact climatique, pollution, déplacement de populations… Votée en 2017 avec pour objectif de responsabiliser les très grandes entreprises aux enjeux environnementaux et de respect des droits humains, la loi sur le devoir de vigilance est toujours insuffisamment appliquée, selon le CCFD TERRE SOLIDAIRE
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Les nouvelles bonnes idées du non-alimentaire
Un air de renouveau souffle sur le commerce non alimentaire.
Il faut dire que les fermetures pendant les multiples confinements avaient freiné beaucoup de développements. Résultat : « Depuis le 19 mai, il y a beaucoup d’actualités avec une concentration des ouvertures qui avaient été décalées », constate Frank Rosenthal, expert retail. Parmi elles, de nombreux concepts qui étaient dans les cartons sortent de terre. C’est le cas d’Ikea Décoration, Miliboo ou encore de JouéClub, dont le dernier concept dans un magasin testé en 2019 va finalement être déployé cette année dans une dizaine de points de vente (LSA n °2659).
Deux cibles d’emplacements sont visées en particulier par les enseignes : les centres-villes et les centres commerciaux. Ainsi, Besson Chaussures, né sur un format de périphérie, s’est installé à Lyon Part-Dieu et à Évry 2 en Essonne l’an passé, et à Paris ce mois-ci. « Du côté des centres commerciaux, il y a un vrai renouvellement de l’offre. Quant aux centres-villes, ils faisaient déjà l’objet de nombreux tests avant la crise. Aujourd’hui, les enseignes poursuivent leurs réflexions à l’instar d’Ikea avec ses formats City et Décoration à Paris », note Frank Rosenthal.
Durabilité rime avec désirabilité
L’un des points communs des magasins que vous découvrirez dans les pages suivantes est l’écoconception. Mobilier en bois écosourcé chez Everso, plastique recyclé et bois de récupération pour The Body Shop… Les matériaux durables ont le vent en poupe. « La RSE devient réellement visible en magasin. Cela se voit par le mobilier mais aussi l’offre avec des stations de recharge en cosmétique, avec le reconditionné et la seconde main », précise Frank Rosenthal. En effet, côté offre, Du Bruit dans la Maison veut se faire une place dans l’univers de la maison en privilégiant le local et le durable. Miliboo revendique une part croissante de produits made in France dans son catalogue. Pharmabest Carré Opéra propose aussi des marques cosmétiques françaises et naturelles.
Et durabilité peut rimer avec désirabilité. Le design est soigné avec des sols aux allures de parquet et une starification des produits. Chez Kilo Shop, près de la place de la République, à Paris, les vêtements ne sont pas présentés en tas mais sur des cintres. « Aujourd’hui, on peut tout acheter en e-commerce. Le rôle du magasin doit donc être repensé : il doit être plus fluide, plus beau, plus inspirant », souligne Frank Rosenthal. L’expert constate aussi « plus de mise en avant des services digitaux. La pandémie a accéléré l’omnicanalité ». Chez Pharmabest Carré Opéra, à Paris aussi, cela se traduit par l’installation de casiers au milieu du magasin pour récupérer sa commande click & collect. Chez Miliboo et Ikea, des bornes tactiles permettent d’accéder à l’ensemble du catalogue de l’enseigne. Chez The Body Shop, des affichettes expliquent que les clients peuvent aussi faire leurs achats en ligne, en call & collect et en click & collect. À ces tendances de fond, s’ajoutent de nombreuses bonnes idées à découvrir dans les pages suivantes de ce dossier.
«L’essentiel est de se fixer des limites acceptables» : cet été, apprenez à déconnecter du travail !
Même en vacances, la tentation de regarder ses mails professionnels est forte et oublier le boulot un sacré challenge…
Témoignages et conseils de Jean-Claude Villette dirigeant du cabinet Ekilibre
Lire l’article ICI
Electricité, routes, train: la France mal préparée à un «dôme de chaleur»
Au Canada, en Colombie-Britannique principalement, et au nord-ouest des Etats-Unis, un rare phénomène météorologique aggravé par le réchauffement climatique a engendré ces derniers jours un « dôme de chaleur » : la ville de Lytton, au nord-est de Vancouver, a ainsi enregistré une température record de 49,6 °C. Parallèlement, en France, le Conseil d’Etat a jugé jeudi que le gouvernement ne prenait pas assez de mesures pour atteindre son engagement de réduire de 40% les émissions de CO2 du pays d’ici 2030, par rapport à 1990. Vincent Balouet fondateur et dirigeant du cabinet Maitrisedescrises.com livre son analyse à l’Opinion
Pour l’article c’est ICI
Monsieur le Premier ministre, déconfinez les informations de préparation aux catastrophes naturelles !
#climat – #catastrophesnaturelles – #entreprise
Tout le monde en convient, le déclenchement de la dérive climatique est irréversible et la succession des épisodes climatiques comme les crues, les orages et tornades, hors saison, est en passe de devenir une réalité quotidienne des français mais également des entreprises.
Le sujet météo-climat fait son entrée à l’agenda court terme des entreprises. Elles ne peuvent plus repousser l’échéance et doivent se préparer. C’est-à-dire prendre en compte l’équation climat-météo dans leur fonctionnement (organisation des ressources y compris humaines) et leurs opérations (gestion de la production, des imports et ventes) sur le territoire national, mais aussi avec les pays tiers où elles opèrent, ou se fournissent.
Pour entreprendre rapidement et de manière sérieuse la prise en compte des risques majeurs qui pèsent sur leurs installations, en particulier les catastrophes naturelles, parmi lesquels le scénario d’une crue majeure en région parisienne, elles ont impérativement besoin de disposer de données détaillées.
Donner l’accès aux données pour émanciper les entreprises
Comprendre comment les réseaux vitaux pour les entreprises (énergie, transports, télécommunications, eau et assainissement, etc.) vont résister à de tels chocs et quelles seraient leurs trajectoires probables de remise en service après un événement hors normes, est indispensable pour leur permettre de prendre les dispositions nécessaires et se prémunir au maximum de ce risque.
Or, ces informations, dites de préparation, sont classifiées par le Secrétariat Général de la Défense et la Sécurité Nationale (SGDSN) et sont réservées à certains services de l’État et opérateurs d’importance vitale (OIV).
Pourquoi l’immense majorité des entreprises ne peuvent-elles accéder aux informations de préparation dont elles ont pourtant un impérieux pour sécuriser leurs plans de continuation ?
Il est aujourd’hui impossible de savoir même approximativement combien de temps les réseaux seraient gravement affectés dans le cas d’une crue majeure à Paris de type 1910, (autour de 6,20 m), ou au-delà de type Prague 2002 (au-delà de 8,50m). De nombreux pays font mieux que nous en ce domaine, avec bon sens….
A l’heure de l’open data, adapter aux risques d’aujourd’hui et de demain, les règles de circulation des informations de préparation, parait urgent si l’on souhaite que les acteurs économiques puissent se prendre en charge et … poursuivre leur activité !
A propos maitrisedecrises.com
Fondé en 2013, par Vincent Balouet, le cabinet maitrisedescrises.com propose à ses clients grands groupes, banques, assureurs, industriels un abonnement à un service d’analyse recommandations sur les principaux risques systémiques, par le biais d’une émission quotidienne en vidéo chaque matin à 8h à partir d’un studio équipé installé à Fontenay/bois. maitrisedescrises.com intervient également directement en entreprise dans le cadre de formation des équipes en présentiel et à distance notamment sur la prise en compte du risque « catastrophes naturelles ». Vincent Balouet a fait ses armes au Clusif avant d’être appelé au Cigref pour piloter la crise passage à l’an 2000 avant de rejoindre à sa demande, Denis Kessler au Medef. Il a été détaché par le Medef comme conseiller crise à Bercy (époque Strauss-Kahn) puis a intégré la Fédération des Assurances pour traiter les mêmes thématiques.
Agence Ozinfos – Esteban ALGRAIN – 07 72 21 56 48/ / Amine MOUSSAOUI- 06 27 26 49 64 – maitrisedescrises@ozinfos.com
Jean-François DUBOST, nouveau directeur du plaidoyer du CCFD-Terre Solidaire
Jean-François DUBOST est nommé directeur du plaidoyer du CCFD-Terre Solidaire (ONG de lutte contre la faim et pour le développement intervenant dans près de 70 pays). Alors que l’ONG vient de fixer pour les six prochaines années, le cadre de ses interventions au travers de la publication de son rapport d’orientation, le recrutement d’un nouveau directeur du plaidoyer confirme son souhait de poursuivre le travail vis-à-vis des décideurs, acteurs publics et privés. La mission de Jean-François DUBOST s’articulera autour de quatre champs d’action complémentaires : construire la souveraineté alimentaire, promouvoir le développement fondé sur la justice économique, accompagner les migrations internationales et enfin promouvoir la Paix et le vivre-ensemble. Il était dernièrement responsable du programme protection des populations au sein d’Amnesty International France.
Un spécialiste des questions de plaidoyer
Titulaire d’un DESS de droit international des droits de l’homme et droit humanitaire de l’Université Paris 2 Panthéon-Assas, Jean-François DUBOST est un expert des problématiques de plaidoyer pour le compte d’organisation de la société civile. Il a notamment été responsable du programme Protection des populations (2016/2021), responsable du programme Personnes déracinées (2010/2015) et responsable du service Réfugiés (2006/2010) au sein d’Amnesty international France
« La crise sanitaire a exposé de façon criante et aggravée les inégalités qui défigurent nos communautés. Dans ce contexte, la solidarité constitue plus que jamais un rempart pour préserver la dignité de chaque être humain. Fort de ses liens avec ses partenaires, le CCFD-Terre Solidaire doit alerter et pousser les décideurs à agir dans le sens du Bien commun pour que nul homme ni femme ne soit une variable d’ajustement de choix politiques, économiques et financier » déclare Jean-François DUBOST.
A propos du CCFD Terre Solidaire
Acteur historique du changement dans près de 70 pays, le CCFD-Terre Solidaire agit contre toutes les formes d’injustice. Nous œuvrons pour que chacun voie ses droits fondamentaux respectés : manger à sa faim, vivre dignement de son travail, habiter dans un environnement sain, choisir là où construire sa vie, etc. Un monde plus juste et plus fraternel est déjà en action, car chacun porte en lui une force de changement. Notre engagement pour plus de justice et de solidarité prend racine dans l’Évangile et la pensée sociale de l’Église. Par notre action individuelle et collective, nous proposons et soutenons des solutions politiques et de terrain.
- 485 organisations partenaires
- 580 projets internationaux dans 67 pays
- 15 000 bénévoles
- 2,4 millions de bénéficiaires
Contacts presse :
Agence Ozinfos
Amine MOUSSAOUI
Tel : 06 27 26 49 64