Month: novembre 2019
Les pratiques addictives1 en milieux professionnels : une réalité compliquée pour les salariés français
–> 44 % des salariés déclarent comme fréquentes les pratiques addictives au travail
–> 70 % des salariés se sentent démunis sur la manière d’aborder le sujet
–> 57 % des salariés sollicitent en priorité les proches si leur collègue est en situation d’addiction
–> 60 % des salariés jugent les outils de e-sante utiles pour la prévention des addictions
Paris, le 6 novembre 2019 – A l’occasion de la 1ère édition des Rencontres de l’Addictologie, le 12 novembre à Paris, GAE Conseil (cabinet conseil indépendant spécialiste de la prévention des pratiques addictives en milieux professionnels) dévoile les résultats exclusifs d’un sondage ELABE relatif au regard que portent les salariés français sur les addictions en milieux professionnels. Alors que près d’un salarié français sur deux considère les pratiques addictives comme fréquentes (44%) dans son milieu professionnel, 70% d’entre eux se sentent démunis et mal informés sur la manière d’aborder le sujet. Des résultats qui témoignent d’une trop faible prise en compte par les entreprises du risque addictif comme un sujet de santé, de sécurité et de prévention prioritaire.
« Les résultats de cette étude prouvent que les entreprises ont un vrai rôle à jouer en matière de Santé Publique. Nous appelons à une plus grande mobilisation de leur part pour concevoir des politiques de prévention plus ambitieuses et pour faire prendre conscience à leurs salariés que le silence tue plus que les addictions » commente Alexis Peschard, co-fondateur et Président de G.A.E Conseil.
Les pratiques addictives jugées fréquentes en milieu professionnel
44 % des salariés français estiment fréquentes les pratiques addictives dans leur milieu professionnel. Il apparait que l’âge influence la perception du niveau d’exposition à ces risques en milieu professionnel. D’un côté, les salariés de plus de 50 ans, les estiment moins fréquentes (37 %) ; tandis que les moins de 50 ans les jugent plus fréquentes (46 % des 15-24 ans et des 25-49 ans).
Les salariés les plus jeunes sont potentiellement les plus exposés aux pratiques addictives ; c’est chez eux que l’on retrouve statistiquement le plus de consommateurs de produits psychoactifs. Ce niveau d’exposition et de consommation engendre donc une connaissance et une reconnaissance du sujet plus importantes que chez des salariés plus âgés avec une expérience et un rapport à ce sujet différent ce qui explique cette corrélation entre des facteurs d’âge et d’exposition.
Enfin, si l’on prend en compte la situation financière des salariés, les écarts sont davantage liés à une exposition directe aux pratiques addictives, et non à une question de représentation. Ce sont ainsi 53 % des salariés déclarant se restreindre pour finir leurs fins de mois qui estiment fréquentes les pratiques addictives dans leur milieu professionnel, contre 40 % pour les salariés les plus aisés.
Des salariés démunis pour aborder le sujet
Dans l’hypothèse où ils seraient confrontés à une situation liée à une addiction, 70 % des salariés se déclarent mal informés sur la manière d’aborder le sujet avec le collègue ou collaborateur concerné. Ce manque d’information touche l’ensemble des catégories d’âge et des catégories socio-professionnelles salariées. Par ailleurs, plus la taille de l’entreprise augmente et plus ce sentiment de manque d’information est répandu : il est supérieur à 75 % chez les salariés d’entreprises de 1 000 salariés et plus, alors qu’il est de 64 % dans les petites et moyennes entreprises (10 à 249 salariés).
Le recours aux proches plébiscités par les salariés
Lorsque l’on demande aux actifs vers quel interlocuteur ils se tourneraient en priorité dans la situation où un collègue ou un collaborateur aurait des problèmes liés à une addiction, ils seraient 57% à solliciter en premier les proches (dont 31 % qui citent cette option comme 1er choix). Ils se tourneraient ensuite pour 52% vers la médecine du travail, avant le supérieur hiérarchique (44%) et les représentants du personnel (36%) et enfin le service prévention, santé-sécurité (HSE)[2] (34 %).
Quelles actions contre les pratiques addictives au travail ?
Le ressenti des salariés sur l’efficacité des mesures de prévention et de lutte contre les pratiques addictives au travail se répartit en 3 catégories :
Les mesures ciblées sont des mesures qui visent à agir directement auprès de la personne ayant des problèmes d’addictions au travail en lui fournissant des canaux de communication et de confrontation. C’est parmi ces mesures que se trouve la mesure jugée la plus efficace par l’ensemble des catégories d’âge et sociales salariées : l’entretien individuel avec la personne concernée (77% efficace).
Les mesures globales sont des mesures qui sont liées à une démarche collective de la part de l’entreprise (formation, actions ponctuelles, etc.). Le fait de mettre en place dans l’entreprise une politique globale de santé, de sécurité et de prévention des addictions est jugée efficace par 75 % des salariés, et l’intervention d’un consultant externe en addictologie par 73 %, des actions ponctuelles de sensibilisation (journées sécurité et qualité de vie au travail, mois sans tabac, etc.) (67 %).
« Faire la prévention des conduites addictives en milieux professionnels est un enjeu national au sein du dispositif global de prévention des risques professionnels. C’est aussi créer et produire de la santé et de la qualité de vie pour tous les français ! » commente Alexis Peschard,
Les mesures coercitives sont des mesures visant à encadrer, dépister ou interdire les pratiques addictives. Parmi ces mesures ce sont les dépistages de stupéfiants (62 %) et d’alcool (60 %) qui sont jugés les plus efficaces suivis de près par l’interdiction de la consommation d’alcool (59 %).
Les outils numériques de santé jugés utiles
Interrogés sur l’utilité d’un certain nombre d’outils de e-santé pour la prévention des pratiques addictives, les salariés sont plus de 6 sur 10 à les juger utiles.
Les outils numériques d’écoute et de dialogue enregistrent des scores très élevés :
- Une ligne spécialisée d’écoute en addictologie pour avoir des conseils pratiques sur la manière d’aborder le sujet avec un collaborateur ou collègue est jugée utile par 82 % des salariés (25 % tout à fait et 57 % plutôt)
- Une consultation avec un patient-expert est jugée utile par 75 % des salariés (19 % tout à fait et 56 % plutôt).
Les outils numériques qui permettent de réaliser une auto-évaluation et de pouvoir faire ses propres recherches sur les services de soins sont aussi très bien jugés par les salariés :
- Un test en ligne d’auto-évaluation de ses comportements addictifs est jugé utile par 74 % des salariés (22 % tout à fait et 52 % plutôt).
- L’accès à un annuaire national géolocalisant les services de soins en addictologie est jugé utile par 73 % des salariés (21 % tout à fait et 52 % plutôt)
Enfin la téléconsultation avec un spécialiste via visio-conférence et l’accès à la législation et les procédures en vigueur dans l’entreprise sont jugées utiles respectivement par 65 % et 63 % des salariés.
« Moins de 20% des personnes en situation d’addiction accèdent aujourd’hui aux soins spécialisés. La e-santé permet de répondre en partie à ce déficit en facilitant l’accès à des ressources et des professionnels de l’addictologie ; c’est tout l’objet de la plateforme mutli-services GAE Phone Line® que nous déployons aujourd’hui auprès des entreprises. » conclut Alexis Peschard, co-fondateur et Président de G.A.E Conseil.
Méthodologie de l’étude :
L’étude « Regards des salariés français sur les pratiques addictives en milieu professionnel » pour GAE Conseil, a été réalisée en ligne. Les interviews ont été faites du 16 au 20 septembre 2019 auprès d’un échantillon de 1001 salariés d’entreprises publiques et prives de plus de 10 salariés, représentatif des salariés français âgés de 15 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.
GAE Conseil, l’acteur de référence de la prévention des pratiques addictives au travail
Fondé en 2014, GAE Conseil est un cabinet de conseil indépendant spécialiste de la prévention des pratiques addictives en milieux professionnels (produits psychoactifs et addictions comportementales). Autour des associés du cabinet et des responsables des différents pôles d’expertises (Pôle Audit et Conseil, Pôle Formation, Pôle d’Aide aux salariés en difficultés) les équipes de GAE Conseil accompagnent les entreprises privées et publiques de toutes tailles et de tous secteurs d’activités en prévention primaire, secondaire et tertiaire afin de construire un projet ambitieux de santé-sécurité, de qualité de vie au travail et de RSE. GAE Conseil intervient sur l’ensemble du territoire national et en Europe auprès de ses clients en favorisant des implantations régionales dans un souci de proximité avec les entreprises accompagnées. GAE Conseil est implanté à : Paris, Strasbourg, Lyon, Marseille, Bordeaux et Angers.
Contacts média
Agence Ozinfos
Sothany TUM / Amine MOUSSAOUI
06 27 26 49 64 – gaeconseil@ozinfos.com
[1] On parle de pratiques addictives dès lors qu’il y a consommation d’un produit (alcool, tabac, médicaments, autres produits psychoactifs) et/ou d’un comportement pouvant rendre dépendant (téléphone, dépendance au travail, jeux vidéo, etc.)
[2] Cet item n’a été proposé qu’aux salariés d’entreprises de plus de 1000 salariés soit 323 personnes, sur un échantillon de 1001 salariés.
Liens :
- Communiqué de presse : CP SONDAGE ADDICTION GAE ELABE 2019
- Dossier de presse : dossier de presse
#Egalité Femmes-Hommes – Jeantet co-organise la 4ème conférence Inter-Réseaux qui s’intéresse à la mixité en entreprise. Sur le thème : « Le management de demain »
– Communiqué de presse –
Paris, le 5 novembre 2019 – Pour la quatrième année consécutive, le Cabinet Jeantet s’associe aux réseaux de mixité de 11 grandes entreprises (AccorHotels, American Express, EDF, Hewlett Packard Entreprise, Legrand, Sodexo, SNCF, Siemens, RATP, Total et Orange Business Services) pour organiser la conférence annuelle Inter-Réseaux, qui aura lieu lundi 25 novembre 2019, au siège du Médef. Cette année, le thème retenu porte sur le « Management de demain ».
Les conférences Inter-Réseaux ont pour objectif de promouvoir la mixité au sein des entreprises. Ce sera l’occasion de mettre en avant, cette année, la question d’un nouveau type de management et de montrer en quoi ce dernier pourrait être un élément important pour la promotion et l’avancement de la mixité managériale.
Anne Toupenay-Schueller, associée au sein du cabinet Jeantet, spécialisée en Corporate et Fusions & Acquisitions, prendra la parole afin de donner son point de vue sur le sujet.
Elle participe activement au programme créé en 2014 destiné à guider le parcours professionnel des avocates du cabinet et à favoriser leur accès à l‘exercice de responsabilités.
« Nous nous investissons dans les réseaux en faveur de la mixité et de la diversité, afin de pousser les réflexions au-delà des murs du Cabinet et de notre métier. L’objectif est de partager nos expériences et apprendre de nos partenaires… », nous confie Martine Samuelian, associée et membre du Conseil des Associés de Jeantet.
Cette année, Patrick Scharnitzky docteur en psychologie sociale et consultant, est le parrain de la conférence. Ses travaux de recherche portent sur le management intelligent de la diversité, ainsi que sur l’impact des stéréotypes sur les interactions sociales et professionnelles.
Inès DAUVERGNE, consultante et experte Diversité et Inclusion animera les tables rondes. Fondatrice de Inclusion et Diversité et CO fondatrice de #Meandyoutoo, elle accompagne des grands groupes et les pouvoirs publics sur des sujets liés aux stéréotypes, à la mixité et sur le déploiement de politique Diversité.
À propos de Jeantet
Jeantet est l’un des principaux cabinets d’avocats d’affaires français indépendants, délivrant des services personnalisés et à forte valeur ajoutée, avec un attachement à l’éthique et aux valeurs humaines.
Conscients des évolutions économiques, technologiques, sectorielles et juridiques qui s’imposent à nos clients, nos avocats ont la capacité d’anticiper, de s’impliquer et d’imaginer des solutions fiables, pratiques et adaptées à leurs enjeux.
Ancré dans son marché grâce à de solides fondations, Jeantet associe une expertise juridique d’excellence, en conseil et en contentieux, à une culture entrepreneuriale, au service du succès des projets de ses clients.
Jeantet à Paris, Budapest, Casablanca, Genève, Kiev, Luxembourg et Moscou, compte plus de 150 avocats dont 26 associés.
Site : http://www.jeantet.fr
Contact presse :
- OZINFOS : Manon Vautier Tél : 01 42 85 47 30 / 07 72 21 56 48 jeantet@ozinfos.com
Le groupement Pharmabest accélère vers l’omnicanalité et déploie le Click & Collect
Paris, le 4 novembre 2019 – Alors que physique et digital se croisent de plus en plus dans les parcours d’achats des français, Pharmabest accélère vers l’omnicanalité et fait évoluer sa vitrine en ligne www.pharmabest.com en proposant le click & collect sur des produits de parapharmacie disponibles en 2 heures. Déjà disponible dans 21 pharmacies, le service va progressivement être étendu à l’ensemble du réseau d’ici fin 2019.
En début d’année, le groupement Pharmabest lançait Pharmabest.com, vitrine en ligne unifiée et commune aux 87 pharmacies du réseau, avec la volonté de la faire évoluer pour qu’il occupe une part importante de l’expérience client globale Pharmabest. Après son service de scan d’ordonnance, le groupement franchit aujourd’hui une nouvelle étape dans sa stratégie omnicanale en proposant un service de Click & Collect, en 2 heures sur plus de 10.000 références en parapharmacie.
« Proposer le Click & Collect s’inscrit dans notre réflexion entamée dans notre plan 2025 autour de la transformation du retail et de la santé afin de ré-imaginer l’expérience client en officine. Ce service est le fruit de deux années de recherche et développement » rappelle Alain Styl, Directeur Général de Pharmabest
Le Click & Collect, nouvelle avancée dans la stratégie omnicanale ambitieuse de Pharmabest
Alors que la commande sur internet s’invite dans le secteur de la « santé et de la parapharmacie », Pharmabest continue de déployer sa stratégie de digitalisation en « gommant » la frontière entre le online et le offline. Le Click & Collect développé par Pharmabest est un service propre à chaque pharmacie et porte sur les seuls produits de parapharmacie. Avec 25 000 références en parapharmacie au global et 10 000 en moyenne par pharmacie proposant le click & collect – répertoriées selon des catégories spécifiques (soins du visage – corps – cheveux, soins dentaires, produits pour bébé, nutrition…) – Pharmabest fait figure de référence dans la distribution de ces produits qui permettent aux Français de prendre soin d’eux.
«Le click & collect est un service qui correspond aux nouvelles habitudes de consommation des français, en recherche de services qui leur facilitent la vie, qui soient immédiats et locaux. Le pharmacien, en tant qu’acteur de santé de proximité, doit s’adapter à ces besoins » affirme Alain Styl, directeur général de Pharmabest.
Un parcours client fluide et sécurisé, de la recherche au retrait de la commande
Une recherche optimisée
Le Click & Collect Pharmabest bénéficie d’un des moteurs de recherche les plus fluides et intelligents du marché, développé par Valwin en partenariat avec Algolia, avec une catégorisation, une correction orthographique et une saisie semi-automatique ayant peu d’équivalents. La fonction recherche avancée étant également des plus complètes, les filtres proposés s’adaptant en fonction du type de produit recherché. Résultat : il est possible de trouver des produits en tapant une simple requête par marque, par produit ou même par usage.
« Notre volonté ; une démarche client aisée, intuitive et un site très qualitatif » souligne Renaud Méjean, leader du projet Internet chez Pharmabest
Un accès équivalent aux produits et aux offres promotionnelles
Sur Pharmabest.com, les clients pourront commander en ligne toutes les marques et références en parapharmacie existantes dans leur pharmacie, et bénéficier des offres promotionnelles qui sont proposées à l’officine tout au long de l’année.
La sécurité au cœur des préoccupations
Le site pharmabest.com permet d’effectuer ses achats en tout sécurité avec sa fonction de paiement sécurisé Payzen. De plus, la collecte des données faite à travers les recherches des clients, est en conformité avec la réglementation stricte liée à l’hébergement des données de santé.
Comptoirs dédiés et disponibilité en 2 heures, un retrait facilité
Disponibles 2h après avoir passé commande sur le site de la pharmacie, les produits pourront être récupérés en magasin par le client sans qu’il ne fasse la queue grâce aux comptoirs spécifiquement dédiés au Click & Collect.
« Afin de développer le meilleur site de Click & Collect pour Pharmabest, nous avons combiné technologie, design UX et expertise santé de manière à offrir la meilleure expérience utilisateur aux clients et un back-office simple d’utilisation pour les pharmaciens. » souligne Camille Freisz, Fondatrice et CEO de Valwin, la société qui a développé le Click & Collect pour Pharmabest.
< FIN >
A propos de PHARMABEST
Pharmabest s’est hissé en trois ans parmi les tout premiers réseaux organisés de pharmacies en France. Il regroupe en juin 2019, 87 des plus importantes pharmacies françaises et est présent sur l’ensemble de l’Hexagone en Corse et à la Martinique. L’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 740 millions d’euros en 2018. 2600 salariés dont 610 pharmaciens inscrits à l’ordre accueillent plus de 120 000 clients par jour dans le réseau, et servent environ 14 millions d’ordonnances. Pharmabest, c’est une enseigne qui innove au service des patients : avril 2017, lancement d’une carte de fidélité qui compte 550 000 abonnés et 70 marques – juillet 2017, lancement de Pharmabest@home, premier service de livraison de médicaments à domicile avec La Poste – avril 2018, lancement de Pharmascience, la première marque propre du groupement 100% naturelle autour d’une gamme de compléments alimentaires et d’huiles essentielles – juin 2018 lancement du premier service de pré-dépistage du mélanome en pharmacie – janvier 2019, lancement du site internet national www.pharmabest.com.
Pharmabest c’est une marque forte, déclinée en magasin, sur internet, dans une application et avec un magazine mensuel distribué à 500 000 exemplaires. Le groupement est une SA dont les associés sont les pharmaciens. Elle a pour Président le Dr David Abenhaim, associé de la pharmacie Pharmabest Prado-Mermoz à Marseille, et pour Directeur Général Alain Styl.
A propos de Valwin
Lancée en 2013 par une pharmacienne et un ingénieur centralien, VALWIN est la société qui accompagne les pharmacies dans leur virage numérique et leurs nouvelles missions, en développant leurs plateformes numériques. L’équipe pluridisciplinaire et passionnée allie santé, technologie et design au service des professionnels et des patients. Leurs objectifs : améliorer la coordination des professionnels de santé autour du patient et rendre le patient acteur de sa santé et porteur de ses informations médicales. VALWIN Pharma, le premier produit lancé par VALWIN, destiné aux pharmaciens, est la plateforme web et mobile qui connecte les patients à leur pharmacie.
En 2019, VALWIN a complété son offre et lancé son second produit : VALWIN Group, destiné aux groupements, leur permettant ainsi de collaborer en toute simplicité avec leurs adhérents.
Contacts médias
Agence Ozinfos Marie-Céline Terré / 06 09 47 47 45 – Manon Vautier / 07 72 21 56 48 – Sothany Tum / 01 42 85 47 30 pharmabest@ozinfos.com
Communiqué de presse : Pharmabest – CP ClickandCollect
Pharmabest invité sur le plateau de BFM Paris
Pour promouvoir la campagne de vaccination au sein des officines lancée le 15 octobre 2019, Alexandre Jamois, titulaire de la pharmacie Centrale située au sein du Centre Commerciale de la Ville du Bois (91620 La Ville du Bois) était l’invité de Fanny Wegscheider et Tanguy de Lanlais, dans l’émission « Bonsoir Paris« , mercredi 30 octobre 2019.