La FIRPS présentera ses recommandations pour une meilleure prise en charge de la santé mentale au travail.

#SantéTravail #QVT #Événement

Salon Préventica 30 novembre-décembre 2021

 

Paris, le 8 novembre 2021 – La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), partenaire pour la 6ème année du salon Préventica sera présente à l’édition parisienne du rendez-vous majeur de la prévention en milieu professionnel qui se tiendra du 30 novembre au 2 décembre prochain au Paris Expo Porte de Versailles. La FIRPS contribuera à la réflexion sur les enjeux des RPS dans le cadre de la nouvelle organisation du travail. Plusieurs de ses membres participeront aux ateliers afin de débattre des politiques de Qualité de Vie au Travail (QVT) et la FIRPS animera une session spécifique sur l’organisation du travail en post Covid-19 et son impact sur les RPS.

Dans un contexte de crise sanitaire entrainant de fortes transformations du monde du travail et des conditions d’emploi, la FIRPS contribue à la réflexion sur les enjeux des RPS dans le cadre de la nouvelle organisation du travail.

« Participer au salon Préventica est l’occasion pour la FIRPS de prendre part aux réflexions du moment sur la santé au travail en montrant comment la prévention des risques psychosociaux (RPS) et l’attention à la qualité de vie au travail (QVT) s’insèrent dans la réflexion collective autour de la meilleure articulation entre santé au travail et efficacité de nos entreprises ou de nos administration » souligne François Cochet, Président de la FIRPS.

Préventica Paris du 30 novembre au 2 décembre – Paris Expo Porte de Versailles 

Mercredi 1 décembre de 9H45 à 10h30 en salle PLENIERE, conférence sur le thème :  Organisation du Travail Hybride (télétravail, flexoffice), quels enjeux et quels facteurs de risque pour les salariés ?  Co-animée par François Cochet, Président de la FIRPS et Directeur des activités Santé du cabinet Secafi, et Emmanuel Charlot, Secrétaire de la FIRPS et Directeur Général du cabinet Stimulus.

La FIRPS organisera également son point presse annuel le même jour de 11h30 à 12h30 ; ce rendez-vous sera l’occasion de revenir sur l’impact de la crise sanitaire sur la santé mentale des Français. La FIRPS viendra notamment rappeler le rôle et la responsabilité des entreprises en matière de santé au travail, dans un contexte de transformation de l’organisation du travail avec l’irruption du télétravail, et recommandera de déployer des politiques de prévention et d’accompagnement des salariés, des managers et des organisations.

Il sera également possible de retrouver les membres de la FIRPS au salon :

  • Le Groupe JLO : sera présent sur le stand R08 et animera une conférence le mercredi 1 décembre de 11h15 à 11h45 en salle AS1 sur « Prévenir les situations de violence au travail, de conflit et d’incivilité », animée par Laetitia Giron, Experte santé au travail du Groupe JLO
  • Moodwork : sera présent sur le stand R05 et animera une conférence le jeudi 2 décembre de 14h00 à 14h45 en salle A sur “Les fondamentaux d’une démarche QVT réussie”, animée par Fabienne BROUCARET, Rédactrice en chef chez Moodwork

À propos de la FIRPS 

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), créée en 2011 et présidée par François Cochet, (groupe SECAFI), compte une vingtaine d’acteurs significatifs et reconnus, regroupant plus de 600 consultants spécialistes de la prévention des RPS et du management de la QVT, réunis autour du partage de valeurs fortes pour l’exercice de leur métier. Elle s’est dotée dès sa création d’un code de déontologie qui régit un mode d’exercice de ses membres dans le respect d’une éthique commune. Elle a depuis 2016, publié une série de travaux visant à promouvoir des bonnes pratiques au sein d’une profession encore jeune. Ces travaux destinés en priorité aux professionnels en entreprise ou en cabinet, abordent des questions présentes à l’agenda des DRH : la question du suicide au travail, la prévention des RPS lors des restructurations, la déontologie dans la pratique de l’assistance psychologique à distance. Elle prend également part au débat public par la publication de manifestes :  Six propositions pour faire de la santé au travail un enjeu national, propositions pour la mission Santé au travail ». Tous sont accessibles en téléchargement gratuit sur le site de la FIRPS – www.firps.org – @firps_org

Cabinets membres de la FIRPS au 1er novembre 2021

ABSILIA, ACTEMS CONSEIL, AXIS MUNDI, BELLEDONNE RH, BE POSITIVE, ÉKILIBRE CONSEIL, ÉLÉAS/SEST, GAE CONSEIL, IAPR, ICAS FRANCE, INC/ IME, ISAST, GROUPE JLO, MOODWORK, QUALISOCIAL, REHALTO/ WORPLACE-OPTIONS, SANTÉ PARTNERS, SECAFI, STIMULUS/ PSYA, USIDE.

Contacts médias

Agence Ozinfos : Marie-Céline Terré / Robinson Lebrun

Tél : 06 09 47 47 45 / 06 75 08 15 53 – firps@ozinfos.com

 

L’Assofac partenaire de l’Agefiph pour l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap

Emploi & Handicap

Alors que l’apprentissage et l’accès au 1er emploi des travailleurs handicapés seront au cœur des enjeux de la 25ème édition de la semaine pour l’emploi des personnes handicapées (15 au 21 novembre) l’Assofac, acteur de référence dans le domaine de la formation des publics éloignés de l’emploi annonce qu’il a été retenu par l’Agefiph pour mettre en œuvre en Ile de France, trois parcours (mobilisation, insertion, reconversion) du dispositif « Inclu’Pro » représentant un potentiel de 800 personnes handicapées accueillies en 2021/2022 dans 4 implantations franciliennes de l’Assofac (Créteil, Nanterre, Champigny-sur-Marne, Boulogne)

« Une récente étude [1] le démontre, alors que les travailleurs en situation de handicap ont les mêmes aspirations et un état d’esprit semblables aux salariés valides, l’embauche des travailleurs handicapés met en lumière des jugements partagés et ambigus. Si 76% des dirigeants considèrent qu’il s’agit d’une opportunité, ils sont cependant aussi nombreux à considérer qu’il s’agit d’une difficulté objective ou une charge supplémentaire dans l’organisation de l’entreprise (63%). C’est pourquoi avec les équipes de l’Assofac au nom du principe d’égalité des chances, nous nous mobilisons pour accompagner les personnes handicapées vers et dans l’emploi » déclare Anthony Brice, Président de l’Assofac.

Trois parcours pour améliorer l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés

Engagé depuis son origine dans l’insertion des publics éloignés de l’emploi, l’Assofac a été retenu par l’Agefiph à la suite d’un appel d’offres, pour mettre en œuvre trois parcours spécifiquement dédiés aux personnes handicapées : mobilisation, insertion, ou reconversion. Qu’il s’agisse d’une recherche d’emploi ou d’une alternance, de définir son projet professionnel en adéquation avec ses compétences ou encore de se projeter dans une reconversion professionnelle, l’Assofac accompagne les personnes en situation de handicap vers et dans l’emploi.

Si vous souhaitez réaliser un reportage ou rencontrer des personnes en situation de handicap dans une des implantations franciliennes de l’Assofac contactez Robinson Lebrun au 06 08 80 82 01 

ou Amine Moussaoui au 06 27 26 49 64

À PROPOS DE L’ASSOFAC

L’Assofac, est un acteur de référence dans le domaine de la formation, depuis plus de 50 ans en Ile de France et en Centre Val de Loire. Fidèle à sa vocation première de faciliter l’accès de tous aux savoirs fondamentaux, l’Assofac déploie son expertise aux côtés de tous les acteurs (pouvoirs publics, collectivités territoriales, entreprises…) qui agissent en faveur de la promotion sociale, de l’insertion et de la reconversion. Historiquement centrée sur l’accompagnement et la remobilisation des publics fragilisés, l’Assofac élargit progressivement ses champs d’intervention, pour prendre en compte les évolutions de la société, des métiers et des organisations du travail. C’est pourquoi ses missions s’étendent aux salariés, dans la perspective d’un accompagnement au changement et d’une valorisation des compétences tout au long de la vie. L’Assofac propose une offre de service globale, structurée autour de trois expertises : former, professionnaliser, piloter. Cette offre n’a qu’un seul objectif : la réussite du projet individuel d’insertion, de reconversion ou de retour à l’emploi. Pour cela, l’Assofac s’appuie sur une équipe de plus de 100 professionnels et dispose d’un large réseau d’implantation.

Information : https://www.assofac.org

Contacts Mediaş

Agence Ozinfos

Amine Moussaoui : 06 27 26 49 64

Robinson Lebrun : 06 08 80 82 01 – Groupe39@ozinfos.com

[1] Enquête miroir Ifop pour l’Agefiph, le FIPHFP, LADAPT, l’UNML, le CNCPH, les associations Droit au savoir et 100% Handinamique réalisée auprès de 973 jeunes français en situation de handicap et 1014 répondants, représentatif de la population française âgée de 18 à 30 ans. L’enquête a été réalisée du 24 au 30 septembre (volet jeunes âgés de 18 à 30 ans) et du 17 septembre au 6 octobre 2021 (volet jeunes en situation de handicap).

 

La FIRPS s’alarme de la dégradation de la santé mentale des salariés en France et appelle les entreprises à davantage de vigilance.

#SantéTravail – #SantéMentale – #ConditionsDeTravail – #QVT

Alors que la reprise est attendue par tous, comment espérer accompagner ce regain d’activité « post pandémie », avec des salariés déprimés, désabusés, voire désengagés ? Confirmant nos constats de terrain, les dernières statistiques publiées par Santé Publique France* montrent une forte dégradation des indicateurs de santé mentale des Français :

  • 15 % montrent des signes d’un état dépressif, en croissance de 5 points par rapport au niveau hors épidémie,
  • 23 % montrent des signes d’un état anxieux, en croissance de 10 points par rapport au niveau hors épidémie,
  • 63 % déclarent des problèmes de sommeil au cours des 8 derniers jours, en croissance de 14 points par rapport au niveau hors épidémie,
  • 10 % ont eu des pensées suicidaires au cours de l’année.

Face à ces données inquiétantes, dans un contexte de changement des organisations du travail avec l’irruption massive et soudaine du télétravail, la Fédération des Intervenants des Risques Psychosociaux (FIRPS) est totalement mobilisée et rappelle le rôle et la responsabilité des entreprises en matière de santé au travail.

La santé des salariés, n’est pas qu’un sujet adressé aux Directions des Ressources Humaines ; elle doit être plus que jamais un sujet prioritaire des Comex/Codir, qui doivent interroger leurs organisations pour qu’elles deviennent plus attentives aux conséquences sur les conditions de travail en lien avec les évolutions en cours. C’est en effet aux entreprises de jouer pleinement leur rôle de garant de la santé mentale des salariés.

Dans ce contexte, la FIRPS recommande les actions suivantes :

  • La mise en place d’une politique de Santé et de Qualité de Vie au Travailà la hauteur du défi qu’imposent les conséquences de la crise Covid et des transformations des organisations ;
  • La mise en place d’études d’impact et l’accompagnement au changement pour les entreprises confrontées à des transformations accélérées avec parfois une évolution brutale de leur modèle économique ;
  • La formation des managers comme acteur de la prévention, face aux nouvelles formes de management (à distance, hybride, etc.) et aux risques et difficultés de leurs équipes
  • La formation du personnel de santé et des managers à la détection et à l’orientation des personnes concernées par des pratiques addictives ;
  • La mise à disposition de lignes d’écoute, de conseil et d’accompagnement psychologiques, qui permettent un accès immédiat 24h/24, 7J/7 à des psychologues qualifiés et des orientations auprès des professionnels identifiés ;

La prévention des RPS est indispensable à l’efficacité des entreprises. La Firps rappelle que des salariés désengagés se traduit bien souvent par une interrogation sur le sens du travail et que cette interrogation croît de façon inédite, les liens à l’entreprise ne se sont jamais autant distendus. L’essor des nouvelles organisations, le télétravail, le flex-office, sont porteurs de nouveaux risques. S’ils ne sont pas identifiés et prévenus aujourd’hui par le management et les directions, ces risques vont conduire à des tensions accrues dans les équipes et à des difficultés importantes en termes de gestion des ressources humaines.

*source : Santé Publique France- le 17 septembre 2021.

À propos de la FIRPS 

La FIRPS (Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux), créée en 2011 et présidée par François Cochet, (groupe SECAFI), compte une vingtaine d’acteurs significatifs et reconnus, regroupant plus de 600 consultants spécialistes de la prévention des RPS et du management de la QVT, réunis autour du partage de valeurs fortes pour l’exercice de leur métier. Elle s’est dotée dès sa création d’un code de déontologie qui régit un mode d’exercice de ses membres dans le respect d’une éthique commune. Elle a depuis 2016, publié une série de travaux visant à promouvoir des bonnes pratiques au sein d’une profession encore jeune. Ces travaux destinés en priorité aux professionnels en entreprise ou en cabinet, abordent des questions présentes à l’agenda des DRH : la question du suicide au travail, la prévention des RPS lors des restructurations, la déontologie dans la pratique de l’assistance psychologique à distance. Elle prend également part au débat public par la publication de manifestes :  Six propositions pour faire de la santé au travail un enjeu national, propositions pour la mission Santé au travail ». Tous sont accessibles en téléchargement gratuit sur le site de la FIRPS – www.firps.org – @firps_org

Cabinets membres de la FIRPS au 1er novembre 2021

ABSILIA, ACTEMS CONSEIL, AXIS MUNDI, BELLEDONNE RH, BE POSITIVE, ÉKILIBRE CONSEIL, ÉLÉAS/SEST, GAE CONSEIL, IAPR, ICAS FRANCE, INC/ IME, ISAST, GROUPE JLO, MOODWORK, QUALISOCIAL, REHALTO/ WORPLACE-OPTIONS, SANTÉ PARTNERS, SECAFI, STIMULUS/ PSYA, USIDE.

Contacts médias

Agence Ozinfos : Marie-Céline Terré / Robinson Lebrun

Tél : 06 09 47 47 45 / 06 75 08 15 53 – firps@ozinfos.com

 

« Office Manager 2021 : Profil, métier et perspectives d’une fonction à (re) connaître »

L’ARSEG publie la 1ère étude sur les offices managers 

Paris, le 21 octobre 2021 – Avec l’hybridation des modes de travail depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises doivent plus que jamais adapter leurs habitudes de travail. Pour continuer à animer leurs espaces de travail et assurer un lien pérenne entre l’entreprise et son collaborateur, la fonction Office Management est au carrefour de nombreux enjeux majeurs des entreprises (retour au bureau, qualité de vie au travail, santé /sécurité du collaborateur, attractivité et fidélisation des talents, enjeux RSE…) tout en souffrant d’un déficit de reconnaissance. Pour structurer les connaissances sur le métier et pour valoriser son rôle au sein des entreprises, l’ARSEG (Association des Directeurs de l’Environnement de Travail) sort sa première étude sur la Fonction des Offices Managers, réalisée entre mars et juin 2021.

Une fonction transversale, à la croisée des enjeux de demain

Les Office Managers, dont 86% d’entre eux sont des femmes et 90% de la profession exercent dans le secteur privé, participent à la performance globale de l’entreprise, en permettant aux différents services de bénéficier des meilleures conditions de travail. Au carrefour d’enjeux primordiaux, 67% des Offices Managers pensent que le télétravail est l’enjeux majeur de leur fonction. Ils se doivent d’adapter leurs missions pour l’intégrer et créer la meilleure expérience de travail pour l’ensemble des équipes.

Autres enjeux dominants : la RSE. 38% des Offices Managers la considère, avec la diversité et l’inclusion, comme un des enjeux prédominants dans les 5 prochaines années.

Accroître la visibilité et notoriété de la profession pour mieux définir son cadre d’intervention
49% des Offices Managers admettent que faire connaître la profession est l’un de leurs principaux enjeux à venir. En cause, le périmètre très large de leurs missions et le caractère transversal de leur fonction due à de multiples raisons et de natures différentes : manque d’objectifs, de connaissance des enjeux par la direction générale, de tableaux de bord, une mauvaise dénomination et encadrement de leur fonction…

Leur polyvalence peut être également un problème à leurs missions : 71% des Offices Managers, font face à des difficultés et seulement 4% n’en rencontrent pas !

Une profession qui se développe et étend son périmètre de responsabilité

Avec l’évolution rapide de nouveaux modes d’organisation du travail et des nouvelles missions qui en découlent, 66% des Office Managers pensent que la digitalisation de la fonction ou encore l’automatisation des tâches à faibles valeur ajoutée doivent être envisagées prioritairement pour être davantage performant.

L’étude affirme également que 54 % des Office Managers pensent déployer des procédures garantissant la réactivité de leur organisation face à une pandémie ou à toute autre catastrophe pour être en capacité de protéger leurs organisations et leurs collaborateurs. Enfin, 44% des Office Managers pensent pouvoir mener des projets de digitalisation comme le déploiement d’outils numériques et digitaux.

Autre point important, l’étude met en avant la croissance dynamique de la fonction de l’Office Manager par l’élargissement de leurs responsabilités : 57% des Offices Managers déclarent que leur périmètre de responsabilité a augmenté au cours de ces 5 dernières années :

  • 55% de l’élargissement de leurs responsabilités se sont élargies avec l’apparition de nouveaux enjeux (transition numérique, qualité de vie au travail, RSE, hybridation des modes de travail)
  • 45% dû à la croissance, ou décroissance de l’entreprise
  • 45% dû à des réorganisations internes.

Méthodologie de l’étude :

Etude réalisée entre mars et juin 2021. Administrée sur internet sur un panel de 150 Office Managers dans des entreprises privées et publiques françaises et une série de 10 entretiens individuels avec des représentants du métier en mai 2021.

A propos de l’Arseg

L’Arseg est l’association professionnelle représentant la filière de l’environnement de travail, elle revendique 46 ans de savoir-faire et œuvre à la professionnalisation et à la promotion du métier de directeur/responsable de l’environnement de travail. Rassemblant plus de 2000 adhérents (directeur/responsable environnement de travail) répartis dans 7 délégations régionales, l’Arseg organise près de 150 évènements annuels.

Alors que la fonction de Directeur de l’Environnement de Travail (DET) est au cœur de la performance des entreprises, (l’environnement de travail est un secteur financièrement et socialement important pour l’économie française puisqu’il représente en 2020 un marché de 204 milliards d’euros et génère plus d’un million d’emplois directs, non délocalisables [1]) elle demeure encore méconnue du fait notamment de son périmètre d’intervention très large allant de la rationalisation des dépenses des entreprises (immobilier, nettoyage, prestations externes…) en passant par les économies d’énergie (lutte contre le gaspillage des consommables …) jusqu’à la santé et au bienêtre des salariés (informatique, restauration, services aux usager, QVT, transformation des espaces de travail …).

En savoir plus : www.arseg.asso.fr / Twitter : @ARSEG_asso

Contacts médias

Esteban Algrain et Amine Moussaoui

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64

arseg@ozinfos.com

[1] Etude Arseg « Odyssée d’une profession : directeurs de l’environnement de travail 2020 »

Les salariés Français sont épuisés après 18 mois de crise sanitaire et aspirent à changer de vie

Principaux résultats de la 8ème vague du baromètre :

  • 38 % de salariés sont en situation de détresse psychologique (-6 depuis mai) dont 12% de détresse psychologique élevée (-5)
  • 33% de salariés sont en situation de dépression nécessitant un traitement médicamenteux (-3) dont 18% risquent une dépression sévère
  • 2 500 000 de salariés en situation de burnout sévère (+25 depuis mai)
  • 47% des salariés indiquent avoir donné une nouvelle orientation à leur vie
  • 19 % des salariés déclarent avoir déménagé depuis le début de la crise dont 35% des télétravailleurs

Paris le 20 octobre 2021 – Depuis juin dernier, les salariés sont nombreux à revenir au bureau, leur regard sur leur travail est-il toujours le même ? Le niveau de détresse psychologique est-il durablement élevé ?  Les nouvelles attentes des salariés trouvent-elles des réponses ? Quel est l’avenir du travail : hybride, full présentiel ou full distanciel ? La 8ème vague du baromètre de la santé psychologique des salariés en période de crise réalisé par OpinionWay pour Empreinte Humaine suit l’évolution de la santé mentale des salariés alors que le travail et son environnement immédiat sont profondément marqués par la crise sanitaire.  Verdict : si la situation s’améliore légèrement avec le retour au bureau, les salariés français sont épuisés par 18 mois de crise et aspirent à changer de vie.

« Ces chiffres sont riches d’enseignements car ils expriment un vrai changement du rapport au travail et des priorités des salariés Français. Ils sont épuisés par ces mois de crises, par les confinements suivis des déconfinements et aspirent à changer en particulier pour préserver leur santé mentale au travail. Mais au-delà cela démontre un changement de rapport au travail et pose une question de fond celle du sens du travail. » pointent Christophe NGUYEN, psychologue du travail et président d’Empreinte Humaine, et Jean-Pierre BRUN, co-fondateur d’Empreinte Humaine et expert conseil.

La santé psychologique des salariés s’améliore mais demeure inquiétante

Les indicateurs de l’état psychologique des salariés demeurent inquiétants même si l’on observe une diminution par rapport au mois de mai 2021. Ainsi leur détresse psychologique reste importante à 38% (-6 pts) dont 12% de détresse psychologique élevée (-5 pts) de même que le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés qui atteint 33%, soit 3 points de moins (dont 18% (-3) risquant une dépression sévère).

Cette légère amélioration s’explique principalement par une baisse pour les managers de leur taux de détresse psychologique (-14 points) qu’on peut attribuer à une forte diminution du 100% télétravail pour eux.

Malgré cette amélioration, après plusieurs mois de crise, au total 2 500 000 de salariés sont en burnout sévère (soit 25% de plus par rapport à mai 2021 et 2,7X plus qu’en mai 2020). Les managers demeurent les plus touchés : 18% d’entre eux sont en burnout sévère. Les niveaux élevés de burnout s’expliquent par l’épuisement de leurs ressources personnelles.

Enfin, sans surprise, les femmes et les jeunes continuent d’être gravement touchés avec respectivement 44% de situation de détresse psychologique (33% pour les hommes) et 50% de détresse psychologique chez les moins de 39 ans.

Cette amélioration est due aussi à des actions des organisations/ entreprises 

L’étude montre également que les actions de sécurité psychosociale, quand elles existent, ont un effet bénéfique sur la santé psychologique. Environ 1/3 des organisations ont mis en œuvre des mesures de fond notamment avec l’implication du top management, ce qui améliore de 30 points la santé psychologique des salariés, leur fidélité envers leur organisation.

Les salariés français, les déménagements post covid et leurs nouveaux modes de vie

L’atteinte de la santé mentale expliquant bien des changements de priorité de vie et les nouvelles attentes des salariés, ce sont 19 % des salariés qui déclarent avoir déménagé depuis le début de la crise (ce taux monte à 35% pour les télétravailleurs). Les télétravailleurs ayant déménagé présentent quant à eux, 15 points de détresse psychologique de moins que les autres (28 % vs 43%).

Enfin, parmi les 20% des salariés déclarant avoir été en arrêt maladie pour des raisons psychologiques 69% d’entre eux déclarent avoir déménagé. Ce qui confirme le lien en santé mentale et volonté de changement de vie.

Le télétravail se maintient mais n’est pas encore tout à fait installé

Selon les résultats de l’étude 46% des salariés français télétravaillent (-4) dont :

  • 39% en hybride (+11)
  • 7% en 100% télétravail

Souvent évoquée comme source de frein au télétravail, la confiance du management est présente pour 8 télétravailleurs / 10 et 7/10 disent que leur management a évolué positivement avec le télétravail. La moitié doit retrouver des repères professionnels, 6/10 que les rituels d’équipe ont disparu et 7/10 réclament encore plus de clarté dans les droits et devoirs des télétravailleurs. Autant pense que le droit du travail doit s’adapter avec le télétravail.

Le retour au bureau : le paradoxe des salariés français

12% des salariés interrogés disent n’être jamais retournés dans les bureaux depuis le début de la crise.

Le niveau de détresse psychologique étant de 56% pour ces deniers contre 36% quand ils y sont retournés.

50% des télétravailleurs disent être plus efficace au bureau pour certaines tâches et 2/3 d’entre eux pensent que le retour serait bénéfique pour l’organisation de leur travail.

Mais 2/3 des salariés sont malgré tout réticents à venir dans les locaux comme le demande leur employeur et disent que si le climat de travail était meilleur ils reviendraient plus volontiers.

Les managers qui sont conscients de l’importance du retour dans les bureaux sont 6 sur 10 à ne pas savoir comment donner du sens aux télétravailleurs pour les faire revenir.

Prise de conscience et rééquilibrage des choix de vie

La croissance post-traumatique (la résilience mesurée grâce à un questionnaire scientifique) se confirme et continue avec la sortie de crise : si le retour au bureau a permis une légère amélioration de la santé psychologique des salariés, elle a nettement changé les équilibres et les hiérarchies de valeurs en provoquant des prises de conscience. Ce sont ainsi par exemple :

  • 69% des salariés qui apprécient mieux la valeur de la vie
  • 60% qui sont plus enclins à changer ce qui doit l’être
  • 58% qui ont changé leurs priorités
  • 50% qui ont de nouveaux centres d’intérêt
  • 47% qui ont donné une nouvelle orientation à leur vie

Une vague de départs si pas de changement de qualité de vie au travail ?

Nouveaux choix de vie, déménagement, plus forte exigence de bien-être psychologique… Tout contribue à des nouvelles velléités professionnelles : 16% déclarent avoir quitté leur entreprise par choix depuis le début de la crise.  Ils sont 31% à souhaiter activement rechercher un autre emploi après la crise.  Parmi eux, 55% sont en détresse psychologique (55%).  La sortie de crise semble avoir encore renforcer les attentes des salariés envers leur entreprise : 82% (+12 points) veulent que les politiques de qualité de vie au travail de leur entreprise évoluent.

  Empreinte Humaine sort son livre : « Santé psychologique au travail et Covid-19 : le pouvoir des bonnes pratiques » 

L’apparition de la pandémie à la fin de l’hiver 2020 a pris tout le monde de court, et les différentes mesures sanitaires imposées aux entreprises, allant des gestes barrières au confinement généralisé, n’ont tenu compte que du risque de transmission du virus et des impacts économiques. Mais une autre épidémie est en cours, moins fulgurante mais potentiellement plus durable, celle de la santé psychologique au travail. Christophe Nguyen et Jean-Pierre Brun, cofondateurs du cabinet Empreinte humaine ont souhaité proposer à travers cet ouvrage, une analyse des enseignements de la crise sanitaire en matière de santé mentale des salariés, assortie de pistes de solutions et d’actions à mettre en œuvre par les entreprises.

 

En librairie depuis le 28 septembre 2021

240 pages I 9782807337442 I 24,90 €

Méthodologie de l’étude :

La 8ème vague du Baromètre « Santé psychologique des salariés en période de crise » OpinionWay pour Empreinte Humaine, a été réalisée en ligne. Le recueil a été fait du 28 septembre au 7 octobre 2021 auprès d’un panel représentatif de 2016 salariés représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.  

La mesure de la détresse psychologique se base sur un indicateur validé scientifiquement traduit en 25 langues dans des centaines de publications scientifiques. Il est un indicateur précoce d’atteinte à la santé mentale qui évalue la dépression et l’anxiété. Il s’agit d’un indicateur qui identifie, dans une population, les personnes qui sont plus à risque d’être atteintes de troubles mentaux sérieux.  Le questionnaire utilisé pour mesurer la résilience est également un questionnaire validé et qui a fait l’objet de nombreuses publications internationales.

Empreinte Humaine, un cabinet engagé pour la santé psychologique et la qualité de vie au travail

Créé en septembre 2012, le cabinet Empreinte Humaine est un des leaders de son secteur et rassemble des experts qui œuvrent à améliorer la qualité de vie au travail pour prévenir les risques psychosociaux. Couvrant les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire, les interventions du cabinet visent à promouvoir trois domaines d’intervention :

  • Le premier domaine d’intervention est le bien-être des personnes qui comprend la prévention des risques psychosociaux et du stress au travail, la reconnaissance, la motivation et l’engagement.
  • Le second domaine se centre sur le bien-vivre des collaborateurs et des managers. Pour cela, les actions d’Empreinte Humaine portent sur le respect au travail, la gestion des conflits, le climat d’équipe et les relations interpersonnelles.
  • Le troisième domaine s’articule autour du bien-faire qui concentre les actions sur les processus de travail, la charge de travail, la clarté des rôles, la conduite des changements.

Empreinte Humaine dispose de toute l’expertise nécessaire ainsi que d’un réseau de consultants opérationnels sur toute la France et dans plus de 20 pays à travers le monde pour accompagner les entreprises et organismes publics lors de leurs actions en matière de qualité de vie au travail. Parmi ses innovations, Empreinte Humaine a développé HuCare© un programme de promotion de la santé individuelle pour ancrer et augmenter une culture de la sécurité psychologique dans les entreprises et Klimat©, un outil numérique innovant permettant d’anticiper et agir collectivement et en continu sur la qualité de vie au travail.

Contacts presse

Agence Ozinfos

Esteban ALGRAIN / Amine MOUSSAOUI

07 72 21 56 48 / 06 27 26 49 64 – empreintehumaine@ozinfos.com

 

 

De nouveaux acteurs publics et privés font appel à Oxand et sa solution décisionnelle Infrasim, pour maîtriser les risques et objectiver les besoins en investissements de rénovation des ouvrages et des chaussées.

Alors que les contraintes budgétaires et réglementaires pèsent sur les décisions des exécutifs territoriaux, la question du maintien en bon état des infrastructures routières (ouvrages d’art et chaussées) devient un enjeu majeur pour ces derniers.

Oxand, leader européen de la PredTech, démocratise la gestion prédictive, digitalise les processus de décision, valorise les données utiles de ses clients et accompagne les gestionnaires à passer d’une approche corrective au prédictif. Sa solution Infrasim a été retenue par de nombreuses collectivités telles que le Conseil Départemental des Côtes d’Armor, de la Meuse, la ville de Lyon, etc. Mais également la Banque des Territoires et le concessionnaire APRR ou encore A’liénor. En évaluant l’état des ouvrages d’art de la France, la solution Infrasim permet la simulation de stratégies d’investissement avec une approche coût – performance – risque et se révèle un outil indispensable à une prise de décision éclairée et efficience.

La gestion du patrimoine : un enjeu de sécurité et de finances publiques 

La gestion et la conservation du patrimoine immobilier et des infrastructures sont un défi pour les collectivités territoriales qui ne disposent bien souvent pas d’une vision prédictive, mais uniquement d’un inventaire de l’état de ce patrimoine et sont conduites à intervenir en urgence, pour préserver la sécurité des usagers. Cette méthode ne permet pas de piloter avec efficience le coût de détention, d’objectiver la prise de décision, d’allonger la durée de vie des infrastructures et de maîtriser les risques. La meilleure réponse pour répondre à cette problématique est l’anticipation, prévoir plutôt que subir, agir en amont plutôt que dans l’urgence.  La solution Infrasim, fruit de l’expertise d’Oxand permet justement d’évaluer les risques à date et de simuler le vieillissement à venir du patrimoine des détenteurs d’actifs. Puis de simuler des stratégies d’investissement des travaux de rénovation à prévoir en fonction de contraintes, qu’elles soient budgétaires, de trafic ou en fonction de note IQOA par exemple. La comparaison de ces scénarios permet de faire émerger des recommandations et une stratégie optimisée, plus efficience et plus durable (moins de consommation de matière première et d’énergie) avec un meilleur bilan carbone et source d’économie pour les finances publiques.

 

Poursuivant son développement au cœur des territoires, Oxand accompagne de plus en plus d’acteurs publics et privés  

Déjà présent auprès de grands acteurs publics et gestionnaires d’infrastructures comme les sociétés d’autoroutes APRR ou la Métropole de Lyon, Oxand poursuit l’implantation de sa solution prédictive Infrasim auprès d’acteurs clés de nos territoires.

• La Banque des Territoires 

La Banque des Territoires fait le constat que 10% des ouvrages en France sont théoriquement en mauvais état structurel. C’est de cette analyse qu’est né le projet PrioRénoPonts en partenariat avec Oxand et la solution Infrasim, un outil dédié aux collectivités pour évaluer l’état et les risques de leurs ponts et d’estimer les besoins d’investissements à court et long terme. Cet outil sert de base objective sur l’attribution de prêt par la Caisse des Dépôts et Consignations dans le cadre de l’initiative du « Plan de relance pour la transition écologique et énergétique ».  L’outil 100% gratuit PrioRénoPonts a déjà permis à plus d’une centaine de collectivités de définir le montant des investissements à réaliser afin de maintenir les ouvrages dans un bon état de fonctionnement avec un niveau de risque maîtrisé.

• Le Conseil Départemental des Côtes d’Armor 

Le Conseil départemental des Côtes-d’Armor a fait appel à Oxand sur deux enjeux : le premier sur la programmation pluriannuelle des investissements dynamique sur les ouvrages ; le deuxième sur la construction une méthodologie de priorisation des actions à risques. Ce territoire est riche de plus de 1800 ouvrages particulièrement diversifiés dans la typologie de ces derniers.  Le logiciel Infrasim a permis de réaliser l’inventaire des ouvrages et d’en évaluer le vieillissement. Le Département a pu simuler la meilleure gestion du parc des actifs. Ainsi, le Conseil départemental optimise ses budgets d’investissement et construit une vision prédictive du vieillissement du parc.

• A’liénor et l’autoroute A65 

A’liénor a choisi Infrasim afin de définir une stratégie d’entretien des ouvrages et des chaussées dans le cadre de leurs obligations de concession, qui prendra fin en 2066. Grâce aux collectes de données sur les 157 ouvrages et les 150km d’autoroutes, A’liénor détient un véritable inventaire de son parc d’actifs, associé aux notes IQOA et peut donc simuler des trajectoires d’investissement d’entretien et de rénovation. Les investissements priorisés par les risques permettront d’aligner les enjeux budgétaires du concessionnaire ainsi que les enjeux d’exploitation et de sécurité de l’État.

La solution Infrasim

Infrasim permet aux propriétaires, gestionnaires et concessionnaires de bénéficier d’une solution logicielle de pilotage de leurs décisions d’investissement et des actions de maintenance et travaux.  La solution offre à ses utilisateurs un écosystème technologique complet autour de l’optimisation des plans de maintenance et travaux relatifs aux ouvrages d’art et aux chaussées : inventaire, diagnostic, simulation de stratégie de maintenance, programmation pluriannuelle d’actions, mobilité et tableaux de bord.    Infrasim accompagne aujourd’hui plus d’une vingtaine de collectivités : par exemple le Conseil Départemental des Côtes d’Armor, le Conseil Départemental de la Meuse et la métropole du Grand Lyon.

À propos d’Oxand 

Fondée en 2002, Oxand est le leader européen de la PredTech spécialisée dans la gestion prédictive et l’optimisation durable de la performance des actifs immobiliers et des infrastructures. La société a constitué depuis près de 20 ans une base de données prédictive unique sur le vieillissement et les coûts de maintenance des infrastructures et des bâtiments à partir de laquelle elle simule le cycle de vie des bâtiments et des infrastructures privés et publics. Oxand permet aux gestionnaires de ces actifs de mieux les gérer et les rendre plus durables. La société a déjà réalisé 3000 projets en Europe et possède 10 000 modèles prédictifs. Oxand a réalisé 14 M€ de chiffre d’affaires en 2020 et compte quatre-vingts collaborateurs, dont 2/3 de consultants métier, data scientists et experts en France, Suisse et aux Pays-Bas. Oxand est lauréat du prix Systematic et dispose du Label FrenchTech. Elle est dirigée par Rémy Jacquier. Plus sur www.oxand.com/fr

Anthony Brice, fondateur de Tutos’Me, lauréat du Réseau Entreprendre

Paris, le 13 octobre 2021 – François-Xavier Thailly Directeur Général Délégué de Tutos’Me (Organisme de formation et collectif de formateur) et Anthony Brice Président du Groupe 39 et notamment de Tutos’Me seront distingués le 14 octobre 2021, à l’occasion de la 9ème édition de la soirée des Lauréats du Réseau Entreprendre Val d’Oise pour leur esprit d’initiative dans l’univers de l’insertion et de la formation professionnelle.

« Je suis très honoré d’être ainsi distingué comme entrepreneur. Mais je suis surtout fier d’avoir créé une entreprise dans le secteur de la formation et de l’insertion professionnelle car la solidarité au service de la collectivité fait partie de mes priorités personnelles » commente Anthony Brice Président et fondateur de Tutos’Me.

Créateur de lien

Après différentes expériences professionnelles notamment dans la restauration, Anthony Brice décide en 2015 de se lancer dans l’entrepreneuriat en créant Tutos’Me, avec pour ambition la mise en relation de particuliers en quête d’apprentissage et de formateurs en quête de transmission. Après quelques mois expérimentaux à chercher équilibre et modèle économique efficients : l’entreprise change de braquet et bifurque sur l’idée de la délégation de formateur en conservant au cœur du projet l’envie de créer du lien.

La force du collectif

Véritable connecteur au service des organismes de formations Tutos’Me se définit comme un collectif de 13 000 formateurs proposant 300 domaines expertises. Couronnée de succès dès la première année, Tutos’Me est passée d’un chiffre d’affaires de 300 000 d’euros en 2015 à près de 5 000 000 d’euros en 2020. Rassemblant plus de 50 salariés Tutos’Me représente aujourd’hui ¼ des formateurs indépendants du marché.

Démarrage de l’hypercroissance

Le succès de Tutos’Me a permis de faire naître le Groupe 39, famille d’entreprises portées par un objectif commun : la formation pour tous. Crée en 2020 par Anthony Brice son président, il rassemble cinq entreprises (Assofac, C2F, DstancieL, Tutos’Me, Campus des Carrières) qui interviennent sur l’ensemble de la chaîne de la formation professionnelle : organisme de formation, délégation de formateur, développement des compétences, conception de supports, ingénierie pédagogique, formation à distance, apprentissage, e-learning… Le groupe accompagne plus de 5000 personnes tant en formation initiale qu’en formation continue, avec un objectif commun : l’insertion professionnelle. Au quotidien, ce sont ainsi plus de 2500 personnes qui travaillent, agissent, forment et transmettent, grâce au Groupe 39. En 2020, le groupe a revendiqué un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros.

Plus d’informations sur le Groupe 39 : https://www.groupe39.org

Plus d’informations sur Tutos’Me : https://www.tutos.pro/

 

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Enquête : Les Français sont conscients de tout, mais ne sont prêts à rien

Paris, le 7 octobre 2021 – Souvent présentés comme désarmés face aux grandes tendances économiques et sociétales, les Français se révèlent en réalité conscients des enjeux et éclairés quant à la trajectoire à suivre. Pourtant, ces derniers ne sont individuellement que peu enclins à l’idée de prendre à bras le corps ces problématique stratégiques.

C’est ce que montre le sondage OpinionWay pour le Printemps de l’économie qui dresse un portrait du rapport des Français à la souveraineté.

La crise du Covid-19 a été l’occasion d’un vif débat sur la production des denrées stratégiques sur le territoire national. Au-delà de la question sanitaire, c’est de la place de la France dans une économie mondialisée et dans une société aux enjeux de plus en plus globalisés dont il était question. C’est en gardant en tête cette problématique que le Printemps de l’économie, dont le thème de cette 9ème édition est « Bifurcations, l’heure des choix » a interrogé[1] les Français sur leur conception de la souveraineté.

 

CHIFFRES CLÉS :

  • IMPORTATION
  • 87% des Français estiment qu’il est nécessaire de réduire la dépendance de la France et de l’Europe aux importations de certains biens stratégiques (santé, semi-conducteur etc…).
  • Mais seuls 41% des Français se déclarent favorables à payer plus cher les produits importés.
  • Par contre, 51% des français seraient prêts à payer plus chers les produits importés à la condition que le prix reflète le coût qu’il font peser sur l’environnement dans les pays où ils sont produits (émissions de carbone, pollutions, atteintes à la biodiversité…).

 

  • NUMÉRIQUE
  • 56% des Français estiment que l’Etat doit se doter des moyens de contrôler les informations personnelles dont disposent les plateformes numériques sur leurs clients.
  • 79% des Français désire par exemple que l’Etat intervienne pour imposer le statut de salarié aux travailleurs des plateformes de livraison
  • 58% des Français ne souhaitent pas démanteler les GAFAM

 

  • FISCALITÉ
  • 62% des Français se déclarent défavorables à une augmentation du niveau de protection sociale
  • 50% des Français estiment que la fiscalité est un mauvais moyen pour réduire les émissions de CO2 en France
  • 53% des Français sont favorables à ce que les firmes multinationales aient un taux d’imposition supérieur.

 

Les Français sont conscients des enjeux contemporains…

Le premier enseignement de cette enquête est que les Français sont conscients des grands enjeux contemporains, qu’ils soient économiques, sanitaires, numériques ou environnementaux.

En matière de mondialisation, la crainte d’une pénurie pendant la crise du Covid-19 et de tension sur les chaines de production a provoqué une prise de conscience vis-à-vis de la trop grande dépendance du pays à l’importation de produits stratégiques. Ainsi, 87% des Français estiment qu’il est nécessaire de réduire la dépendance de la France et de l’Europe aux importations de certains biens stratégiques (santé, semi-conducteur etc…).

Les Français se trouvent également particulièrement alertes quant à l’essor des géants du numérique. La problématique des données personnelles est en effet assimilée par les Français qui, pour la majorité, expriment une crainte vis-à-vis de l’utilisation de ces éléments personnels. 56% d’entre eux estiment que l’Etat doit se doter des moyens de contrôler les informations personnelles dont disposent les plateformes numériques sur leurs clients.

 

… mais restent nombreux à refuser de payer eux-mêmes le prix de l’action

Si les Français sont conscients des enjeux, peu se déclarent prêts à agir pour corriger les tendances qu’ils mettent eux même en lumière. On remarque tout ce paradoxe sur la question de l’indépendance de la France vis-à-vis des importations. Si une grande majorité des Français estiment qu’il est nécessaire de conserver davantage de marge de manœuvre sur les biens importés, ils ne sont que 41% à se déclarer favorables à une hausse des prix issus de l’importation.

 

De même, les Français rejettent l’idée d’une hausse des cotisations sociales et une augmentation des dépenses publiques, même si ces dernières sont corrélées à davantage de prestations sociales. Ainsi, 62% des Français se déclarent défavorables à une augmentation du niveau de protection sociale (revenu universel, RSA jeune etc).

 

La question climatique cristallise cette ambivalence de l’opinion publique. Les Français sont concernés par le réchauffement climatique mais peu enclins à payer le prix d’une réduction des émissions de CO2. Pour un Français sur deux (50%), la fiscalité est ainsi un mauvais moyen pour réduire les émissions de CO2 en France, rejetant ainsi l’idée d’une taxe carbone par exemple.

 

A noter que sur ces sujets, on observe une dichotomie générationnelle où certains positionnements minoritaires à l’échelle de la société française, s’avèrent plus répandues chez les jeunes adultes. C’est le cas en matière fiscale où 72% des 18-24 ans estiment que la fiscalité est un bon moyen pour réduire les émissions de CO2 (contre 49% tout âge confondu) ; ou concernant l’augmentation du niveau de protection sociale plébiscitée par 59% des 18-24 ans, contre 37% à l’échelle de la société.

 

Les Français sont en revanche demandeurs de certaines interventions à l’Etat, principalement réglementaires

Bien que les Français soient réfractaires à l’idée d’un interventionnisme diffus, ils réclament davantage de régulation de la part de l’Etat. Ce positionnement est l’expression du besoin d’un cadre normatif encadrant les mutations de la société.

En matière d’économie numérique et de protection sociale une grande majorité (79%) des Français désire par exemple que l’Etat intervienne pour imposer le statut de salarié aux travailleurs des plateformes de livraison. Toujours en matière numérique, les Français estiment que l’Etat doit légitimement intervenir pour protéger les données personnelles mais sans pour autant démanteler les géants du numérique. En effet, 58% des Français ne souhaitent pas démanteler les GAFAM, illustrant un attachement de la population aux services numériques offerts par ces géants. La demande de régulation s’observe également en matière fiscale puisque 53% des Français sont favorables à ce que les firmes multinationales aient un taux d’imposition supérieur.

 

Les Français estiment donc que l’intervention de l’Etat doit se cantonner à des prérogatives réglementaires, accompagnant sans porter atteinte à leur pouvoir d’achat, les nouveaux grands enjeux contemporains.

 

Conclusion

« Les Français sont conscients de tout, mais ne sont prêts à rien »

Pierre-Pascal Boulanger, président-fondateur du Printemps de l’économie.

« Les jeunes adultes expriment des demandes différentes, et parfois minoritaires dans le reste de la population, comme le renforcement de la protection sociale, la fiscalité écologique ou le démantèlement des grandes sociétés du numérique »

Rémi Jeannin, vice-président du Printemps de l’économie

[1] Enquête réalisée par Opinion Way mi-septembre 2021 sur un échantillon de 1011 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

« Compensation carbone : tout sauf neutre !

Le CCFD-Terre Solidaire publie un rapport qui analyse et dénonce l’inaction climatique de 3 multinationales via la compensation carbone

Paris, 6 octobre – A quelques semaines de la COP 26, le CCFD-Terre Solidaire (ONG de solidarité internationale) publie ce jour « Compensation carbone : tout sauf neutre ! » un rapport qui analyse et dénonce l’inaction climatique de TotalEnergie, Nespresso et Air France. Alors que les scientifiques s’accordent à dire qu’il est urgent de réduire les émissions de gaz à effets de serre, la compensation carbone est devenue le levier en particulier des multinationales pour atteindre la neutralité carbone. Pourtant, il est urgent de démontrer que cette fausse solution en plus d’être inefficace peut se révéler dangereuse du point de vue du climat, de l’environnement et des droits humains. C’est pourquoi, ce rapport révèle le vrai visage de ces politiques climatiques d’affichages, à travers l’analyse de trois cas de multinationales issues des secteurs de l’énergie, de l’agriculture et du transport, (2/3 des émissions de gaz à effet de serre mondiales) : TotalEnergie, Nespresso et Air France.

« La compensation carbone n’est pas une réponse à la crise climatique, et en plus cela risque d’avoir un impact majeur sur les droits humains et la biodiversité. A la veille de la COP26, il faut que les Etats et les citoyens ne soient pas dupes face à ce que cachent réellement les stratégies de neutralité carbone des entreprises. L’heure n’est plus aux fausses solutions ! Seule la réduction réelle des émissions et le respect des droits peut garantir la justice climatique » interpelle Myrto Tilianaki, chargée de plaidoyer au CCFD-Terre Solidaire

TotalEnergie et le revers de la neutralité carbone

TotalEnergie revendique une neutralité carbone à l’horizon 2050. Tout en poursuivant des activités fortement émettrices, l’entreprise s’engage à développer de manière accélérée des projets de compensation grâce à des approches technologiques dont l’efficacité est largement questionnée (Projet Northern Lights). Elle envisage également des projets de plantation d’arbres, comme c’est le cas sur plus de 40 000 hectares sur les plateaux Batéké en République du Congo, territoire à la biodiversité riche et essentiel pour les populations riveraines et autochtones.

Nespresso a une politique climat qui boit la tasse

Pour séduire des consommateurs de plus en plus sensibles à l’impact de leur consommation, l’entreprise communique de façon pro-active sur la neutralité carbone de chacune de ses tasses de café. En réalité une large partie de sa politique de neutralité se fonde sur la compensation carbone et non sur la réduction réelle de ses émissions.

Air France ne vole pas au secours du climat

Le poids du secteur aérien dans les émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial est connu et documenté. Pourtant, Air France ne met en place aucune initiative d’ampleur pour réduire ses émissions. Changement de vaisselle de bord, numérisation des manuels destinés aux pilotes, Air France ne recule devant rien ! Même pas de mettre à contribution le passager et sa bonne conscience. Chacun est ainsi invité à soutenir, sous forme de don à une association cocréée par Air France, des projets de compensation carbone que l’entreprise pourra inscrire à son bilan Climat, avec en prime l’aide des contribuables français.

Pour lire le rapport cliquer ICI

 

Compenser n’est pas réduire 

La solution de la compensation (naturelle ou technologique) du carbone sert à ne pas modifier d’une ligne, ou de manière tout à fait anecdotique, les émissions de gaz à effets de serre. Face à des émissions aux effets certains, la compensation offre une politique de neutralisation aux effets eux tout à fait incertains ! La neutralité poursuivie ne sert que de paravent pratique pour assurer le statut quo et non une réelle action climatique.

Carbone versus Droits humain et souveraineté alimentaire

Ce sont des dizaines de millions d’hectares qui seraient nécessaires pour assouvir l’appétit féroce de la compensation pour séquestrer le carbone. Cette ruée vers les terres risque irrémédiablement d’amener à une financiarisation accrue de la Nature. Avec pour conséquence : une mise sous cloche de larges pans de territoire au détriment des populations locales, de leurs modes de vie et de leur souveraineté alimentaire.

Il est essentiel de mettre en place des mesures importantes et intégrées pour assurer que soient considérées de pair justice climatique et justice sociale. Ni la mise sous coupe réglée de la nature au service d’une croissance destructrice et porteuse de danger pour l’humanité, ni la financiarisation de la nature pour pouvoir dessiner de nouvelles perspectives de profits pour quelques-uns au détriment des populations ne sont la solution. Seule une approche systémique, menant de concert la réduction réelle des émissions et la défense des droits humains et de la biodiversité, permettra de garantir la justice climatique.

A propos du CCFD-Terre Solidaire

ONG de solidarité internationale et de développement, le CCFD-Terre Solidaire est mobilisé depuis 60 ans aux côtés de celles et ceux qui luttent quotidiennement contre toutes les causes de la faim et qui font face aux injustices du modèle de développement actuel. Pour faire face à ces fléaux, il a été parmi les premiers à choisir d’agir autrement et durablement. C’est pourquoi il a reçu le label Grande Cause Nationale en 1993.

  • 485 organisations partenaires
  • 580 projets internationaux dans 67 pays
  • 7 200 bénévoles
  • 2,4 millions de bénéficiaires

 

Contacts presse :

Agence Ozinfos                                                                

Amine MOUSSAOUI

Tel : 06 27 26 49 64

ccfd@ozinfos.com

Jeantet conseille Inventory Planner dans le cadre de sa cession au groupe Brightpearl

Paris, le 4 octobre 2021Jeantet, a conseillé la société Inventory Planner, leader de gestion et prévision des stocks en e-commerce, et ses actionnaires, dans le cadre de la cession d’Inventory Planner au groupe Brightpearl, permettant à ce dernier d’élargir son offre technologique en intégrant un logiciel de gestion des stocks pour les acteurs du e-commerce.

Il s’agit d’une première étape dans sa stratégie à plus long terme visant à faire de Brightpearl le leader sur le marché du e-commerce de détail.

Créée en 2007 au Royaume-Uni, Brightpearl a développé une plateforme de gestion automatisée dédiée aux professionnels du commerce : gestion financière, CRM (Customer Relationship Management), traitement et exécution des commandes, gestion des achats et des fournisseurs, et outils de gestion de stock et d’inventaires, et enfin solutions logistiques.

Inventory Planner compte 2.060 clients  dont 60 % ont un chiffre d’affaires compris entre 1 et 100 millions de dollars. Ses clients sont des acteurs de l’e-commerce qui utilise son logiciel pour visualiser rapidement les tendances et les aider à gérer leurs stocks.

L’équipe Jeantet était dirigée par Stephen Walters (associé), assisté de Victoria Régis et Stanislas Chaudun (collaborateurs), Jean-Guillaume Follorou (associé) et Gabriel di Chiara (counsel) sur les aspects fiscaux.

ANPERE devient partenaire du Prix Initiatives Aidant.e.s

6 OCTOBRE 2021 : JOURNÉE NATIONALE DES AIDANTS

Paris – le 1er octobre 2021 – A l’occasion de la 11ème journée nationale des aidants, ANPERE, acteur majeur de l’épargne, de la retraite et de la prévoyance, annonce soutenir le Prix Initiatives Aidant.e.s remis par le  collectif « Je t’aide ». Ce prix entend récompenser, des structures proposant des solutions concrètes aux aidant.e.s. En devant partenaire de ce prix ANPERE contribue à changer le regard sur les aidants.

De l’invisibilité au changement de regard sur les aidants

Si la question des proches aidants passe progressivement de l’invisibilité totale à une meilleure prise en compte par les politiques publiques, il n’en demeure pas moins que les 8,3 millions de personnes (source DREES) qui, en France, accompagnent un proche malade, en situation de handicap, ou de dépendance, sont encore plongés dans une invisibilité sociale cruelle. ANPERE se mobilise depuis plusieurs années sur la question des aidants qui est cruciale pour l’équilibre de vie des familles et analyse les comportements et attentes des Français en la matière à travers son observatoire[i] des liens intergénérationnels dont elle publie les résultats dans sa collection « Nouveaux regards ». [ii] Acteur engagé socialement ANPERE a souhaité aller plus loin en soutenant cette année l’initiative du collectif « Je t’aide » et son prix.

« Soutenir ce prix nous a semblé naturel et essentiel car la solidarité est au cœur de l’ADN d’ANPERE. Cette solidarité s’est révélée plus que nécessaire avec la crise sanitaire qui a décuplé les besoins de solidarité auprès des plus fragiles et renforcé l’aide entre les générations comme le révélait la 3ème édition de notre observatoire des liens intergénérationnels » déclare Hervé Raquin délégué général d’ANPERE

Un prix pour soutenir les initiatives en faveur des aidants

Le collectif « Je t’aide » porte la voix des 11 millions d’aidants en France et se mobilise chaque jour pour que les aidants soient reconnus et épaulés, qu’ils aient des droits concrets et que leur apport à la société soit reconnu. Depuis 2018, le collectif remet un prix à des structures proposant des solutions concrètes aux aidant.e.s qui ainsi bénéficient d’un coup de projecteur mais également d’une dotation de 4000 euros.

Un épisode du podcast « Bien entendu » dédié aux liens intergénérationnels 

« Bien entendu » le podcast de l’association consacre un numéro aux liens intergénérationnels. Accessible sur le site d’ANPERE le podcast est disponible également sur toutes les plateformes de diffusion.

Focus les grands enseignement de la 3ème édition l’« Observatoire des liens intergénérationnels » réalisé par OpinionWay :

  • La crise du Coronavirus a eu un impact significatif et finalement positif sur les liens intergénérationnels, qui se sont fortement renforcés par rapport à 2018 (+9 pts).
  • Cette aide se fait principalement à destination des plus âgés (72%), avec une jeune génération de plus en plus solidaire envers leurs aînés (+15 pts).
  • Dans les faits, ce sont 2 Français sur 5 qui ont effectué des actions d’entraide en dehors de leur famille : une implication en hausse significative par rapport à 2018, chez les plus jeunes et dans des régions très touchées par le Coronavirus (Ile de France, Nord-Ouest).
  • Ces gestes d’entraide concernent principalement une aide aux tâches du quotidien (35% ; +13 pts), faire des courses en particulier (28% ; +12 pts), une action qui a pu progresser avec le confinement, au détriment de rendre visite ou partager des loisirs (12% ; -10 pts).
  • Au sein de la famille, ces gestes d’entraide se stabilisent à un niveau élevé (60%), avec un renforcement de l’aide aux tâches du quotidien (faire les courses 17% ; +6 pts) et beaucoup plus de présence, de relationnel (27% ; +10 pts).
  • Au final, ces gestes solidaires sont plus valorisants (+6 pts), particulièrement pour les plus jeunes.

A propos d’ANPERE

ANPERE (Association nationale pour la prévoyance, l’épargne et la retraite) est l’une des principales associations françaises d’assurés, avec 1,4 million d’adhérents. Elle souscrit pour ses adhérents des contrats d’assurance-vie et de prévoyance distribués par AXA France. Elle informe ses adhérents sur les actualités économiques et règlementaires et a mis en place un programme d’éducation financière pour mieux comprendre les enjeux de l’assurance vie. www.anpere.fr 

Contact médias

Amine Moussaoui – 06 27 26 49 64

anpere@ozinfos.com

[i] L’Observatoire des « liens intergénérationnels » OpinionWay pour ANPERE, a été réalisé en ligne. Les interviews ont été faites du 26 au 30 août 2020 auprès d’un échantillon de 1000 Français représentatif et constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de secteurs d’activités, de nature d’employeur et de taille d’entreprises.

[ii] Accessible sur le site www.anpere.fr

Le Groupe 39 présent au salon « Paris pour l’emploi » du 7 au 8 octobre 2021 !

Le Groupe 39, acteur majeur de la formation au service de l’emploi participera, les 7 et 8 octobre prochains, à la 19ème édition du salon « Paris pour l’emploi ». Couvrant toutes les étapes de la formation, grâce à ses cinq marques (Assofac, Tutos’Me, DstancieL, Campus Des Carrières, et C2F) le Groupe 39 présentera aux visiteurs du salon sur le stand A200 son offre globale allant de la formation initiale à la formation continue en passant par l’apprentissage et la délégation de formateurs.

« La formation est le chaînon manquant du plan de relance de notre économie. Je suis personnellement animé par l’idée que nous devons faire de la formation un véritable tremplin pour l’insertion et le développement professionnel pour contribuer efficacement à la compétitivité des entreprises » précise Anthony Brice, président du groupe.

Les équipes d’Assofac et Campus des Carrières seront également présent à distance sur la plateforme numérique  jusqu’au 30 octobre 2021.

Groupe 39 : la formation au service de l’emploi :

Le Groupe 39 est une famille d’entreprises portée par un objectif commun : la formation pour tous. Crée en 2020 par Anthony Brice son président, il rassemble cinq entreprises (Assofac, Tutos’Me, DstancieL, Campus des Carrières et C2F) qui interviennent sur l’ensemble de la chaîne de la formation professionnelle : organisme de formation, délégation de formateur, développement des compétences, conception de supports, ingénierie pédagogique, formation à distance, apprentissage, e-learning… Le groupe accompagne plus de 5000 personnes tant en formation initiale qu’en formation continue, avec un objectif commun : l’insertion professionnelle. Au quotidien, ce sont ainsi près de 2500 personnes qui travaillent, agissent, forment et transmettent, grâce au Groupe 39. En 2020, le Groupe a revendiqué un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros. Plus d’informations : https://www.groupe39.org

 

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